Les malheurs d'autrui, je les ressentais comme miens lorsque je les écrivais.Il n'en existait pas d'autres.
Je trouvais magnifique et terrible de faire entrer les souffrances des autres dans les paroles que je traçais jusqu'à ce qu'elles deviennent les maux dont on souffre soi-même. Exprimer le malheur au moment même où il se produit.
L'odeur douloureuse de la mémoire.