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Citations de Avery Flynn (44)


- Enfin ! lança-t-elle en riant. Un homme capable d'admettre qu'il a tort.
- Je suis un spécimen plus rare qu'un papillon en février.
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Il y avait un truc chez Zack ; caché sous toutes ces couches de mauvaise humeur et de défensive, elle reconnaissait en lui des choses qui résonnaient en elle.
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— Lucy, je suis déjà perdu, mais chaque fois que je suis avec toi, je me retrouve.
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Être avec Ford, c'était comme sentir la chaleur du soleil après un hiver interminable, et c'était le sentiment le plus heureux et le plus optimiste qu'elle ait jamais ressenti.
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J'aimerais que tu sois capable de voir la femme que je vois quand je te regarde.
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Elle est parfaite comme elle est, elle a juste besoin d'être aimée comme elle le mérite.
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- Quel romantique vous faites.

Elle adoucit sa remarque acerbe d'un sourire.

- Une KissCam ? A un mariage avec open bar ? Où 53% des invités appartiennent au département de police de Waterbury ?

Il ricana, ce qui était étrangement sexy, magie de la beauté.

- Je n'emploierai pas vraiment le terme "romantique", ajouta-t-il.
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- Je suis passé par là moi aussi, lâcha-t-il sans réfléchir.

Le coin de sa bouche s'étira, formant presque un sourire.

- Tu t'es retrouvé dans une chambre d'hôtel avec ta culotte dans ton sac à main ?

Il pouffa de rire, surpris.

- Pas vraiment.
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La porte claqua derrière lui, le laissant seul avec pour toute compagnie le parfum de Gina. Dommage que ce soit l'unique chose d'elle qu'il posséderait jamais. Une Luca et un inspecteur de l'unité de lutte contre le crime organisé étaient aussi bien assortis qu'un gilet pare-balles et un cours de yoga.
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Il avait remarqué qu'elle était toujours prête à venir en aide aux autres, mais qu'elle ne s'occupait jamais d'elle et ne demandait rien à personne. Il était temps qu'elle vive quelque chose de différent, et à défaut de lui dire ce qu'il ressentait - il n'était pas encore prêt -, il voulait le lui montrer.
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C'était toujours plus facile pour elle de réconforter les autres plutôt que d'accepter d'être consolée.
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Elle n'était pas effrontée, grande gueule et casse-couille depuis toujours. Elle l'était devenue pour survivre.
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Clover was finally going to learn how to fold a fitted sheet. Of course, she was going to gain that skill set in the prison laundry after she killed Sawyer.
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That woman, she deserves something a little more special than the default flower for people who’ve never had an original thought in their head, don’t you think?
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Quand je te regarde, je ne vois pas une belle femme. Je te vois, toi, et c’est mieux que n’importe quelle foutue reine de beauté.
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Elle prit une profonde inspiration, tourna les talons et sortit de la cuisine.Le sol s'était enfin ouvert sous ses pieds, sauf qu'elle n'était pas tombée dans le trou et il était hors de question qu'elle en perde ses manières - même si elle avait été élevée par des criminels.
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S'il entendait par là "fais de beaux rêves frustrés de Ford Hartigan nu", alors, oui, elle en ferait. Heureusement, son instinct de survie s'enclencha avant que cette réplique ne franchisse ses lèvres ; elle se précipita hors de la pièce et gravit les marches de l'escalier quatre à quatre. Elle savait pertinemment qu'elle surfait sur une corde raide avec lui.

Mais elle ne pouvait pas s'empêcher de tomber quand même un tout petit peu amoureuse de lui.
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— Finissons-en, murmura Ford, d’une voix lasse.

Elle leva les yeux vers son beau visage à la mâchoire parfaite, aux yeux vert sombre et aux pommettes hautes, et sentit l’humiliation lui chauffer les joues. Personne n’avait jamais dû se moquer de lui de toute sa vie, et il ignorait ce que ça faisait que d’être la risée d’un groupe. Alors qu’elle elle avait été appelée « lapin » pendant longtemps à cause de ses dents en avant. Elle croyait qu’une fois les bagues enlevées tout ça ne serait plus qu’un lointain souvenir, mais c’est alors qu’elle s’était vu affubler d’un autre surnom, bien pire : Tronche-de-Cake. Pourquoi ? Parce que, si elle était bien foutue, son visage, lui, était laid. L’irritation qu’elle ressentait devant toute cette injustice la piqua.

Il fallait effectivement en finir.

— Voilà ce que toute femme rêve d’entendre, ironisa-t-elle tout bas, afin que lui seul puisse saisir. Je refuse de vous embrasser.

Contrairement à elle, il ne chercha pas à dissimuler son agacement, ce qui le rendait encore plus sexy.

— Et pourquoi ça ?

Parce que ! Elle pinça les lèvres avant qu’une idiotie ne les franchisse, ravie d’avoir remporté cette bataille. Comme elle avait l’esprit d’escalier, parvenir à garder la bouche close était une victoire absolue. Lorsqu’il haussa un sourcil interrogateur, elle se hâta d’inventer une explication différente de : parce que vous êtes trop sexy.

— Je travaille, prétexta-t-elle.

Ford inclina la tête et lui adressa une expression typique de flic, ce regard inexpressif qui voulait dire : « espèce de menteuse ».

— Vous ne pensez pas que notre gentil marié, Porter, était en service quand il a rencontré Meg aux urgences après qu’un type qu’il venait d’arrêter l’avait assommé avec un tasseau ? Ce n’est qu’un baiser. Ensuite, ils passeront à une autre victime.

Plutôt que de croiser le regard inflexible de Ford, elle reporta son attention sur l’écran géant qui immortalisait cet instant terriblement gênant.

— Respecte la KissCam, Hartigan ! cria quelqu’un, alors que les encouragements de la foule devenaient plus fébriles.

Et plus forts.

— Un baiser rapide, plaida-t-il d’un ton résolu, qui dissimulait quelque chose de plus vulnérable. Après, ils nous ficheront la paix.
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On fait des trucs bizarres pour les gens qu'on aime.
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La vie est trop folle pour suivre les règles tout le temps, répliqua-t-elle. Parfois, il faut s'adapter et être flexible.
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