Malik invente un poème sur le ciel criblé d’étoiles qui paraît à portée de main. Il clame que c’est un saule pleureur bourré de guirlandes qui pendouillent comme des lucioles pour éclairer les Terriens. Il pense que les étoiles sont des mégots de cigarettes incandescents que les ancêtres partis au ciel balancent à terre pour qu’on ne les oublie pas. Il a lu ça dans un roman grec.