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Critiques de Baptiste Pagani (33)
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Doggybags, tome 11

Après un dixième tome en demie teinte, la série des "Doggybags" revient avec ce onzième tome qui suit le même chemin que le dixième.

Même si ce n'est vraiment pas mauvais pour autant. Je lui ai accordé quatre étoiles car je suis un inconditionnel fan de ce format de Comics indépendant à la française et j'ai beaucoup de respect pour les divers artistes qui paraissent dans tous les numéros de Doggybags.



La première histoire nous fait prendre la direction de l'Afrique du Sud où ce qui devait être une simple observation de Grand Requin Blanc ne va pas se passer comme prévu.



La seconde histoire nous plonge dans la peau de Lucho, petit malfrat californien qui se retrouve sous le feu des balles et s'exile dans un patelin paumé du Mexique où un étrange trafic à l'air d'avoir lieu.



La troisième histoire, direction Haïti dans une prison haïtienne où se mélange vengeance et magie vaudou.



Pour résumer, malgré les quatre étoiles que j'ai accordé à ce tome, il y a une petite baisse de forme sur le fond.

En espérant que les prochains tomes de Doggybags me feront retrouver toute la magie et l'adrénaline que j'ai découvert à l'époque des premiers numéros. Ce n'est vraiment pas mauvais sur les deux derniers tomes, loin de là, mais on sent un petit essoufflement. Rien de bien grave en soi, car ça reste kiffant tout de même.
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The golden path

Cette lecture et les dessins de Baptiste Pagani m'ont beaucoup touché.



Entre la joie et le plaisir de voir Jin Ha progresser dans son rêve de devenir cascadeuse, puis actrice... et la tristesse de la voir abandonnée de tous et toutes, alors qu'elle s'est donné à fond pour eux et qu'ils savent tous qu'elle ne sait pas lire... puis de tomber dans les mains d'un rapace qui n'aura que pour but de l'exploiter comme l'ont fait ses anciens collègues mais en plus pervers. C'est vraiment triste.



On se rend compte qui sont vraiment nos ami.es quand on en a besoin.



Même si, ici, ce n'est qu'une fiction inspirée de faits réels, puisque ça arrive à d'autres pour de vrai, il y a plusieurs sujets intéressants et importants dans ce livre qui sont des parallèles à notre quotidien. Entre autres, nous n'avons pas tous les mêmes chances de réussite, ni les mêmes chances d'esquiver les monstres d'humains qui nous veulent du mal.



Heureusement qu'il y a un happy end :)
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Les lames d'Ashura

L'histoire des lames d'Ashura nous transporte dans les vastes steppes de Kalandra. A l'heure où un nouveau monde commercial et culturel s'ouvre aux habitants, une bande de guerriers survoltés et déterminés font régner la peur en pillant "les trains de la liberté".



Alors que nous pensions la mécanique des lames d'Ashura bien rodée, un rebondissement va venir perturber les affaires de la matrice Ashura et de son gang...



Riche d'une palette colorée et envoutante, les planches sont très bien réalisées. L'omniprésence féminine et les silhouettes des personnages androgynes en font un ouvrage très originale.



L'écriture est décomplexée, à la hauteur des personnages haut en couleurs. L'auteur s'inspire surement de l'univers du manga dans les expressions des visages des protagonistes.



Malgré la haine et la violence, pirateries oblige, cette bande dessinée nous offre un panel d'émotions où s'illustre aussi l'amour et la poésie.



Cependant, je noterai un petit bémol pour la couverture que je trouve très peu attrayante.
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The golden path

Je le dis tout de suite : nous avons là de la grande bd comme on en fait aussi rarement. J’avoue que pour une fois, je suis tombé sur le gros lot.



Nous avons une jeune femme d’origine chinoise Jin Ha qui migre vers Hong-Kong pour pratiquer les arts martiaux dans des productions avec un célèbre acteur ressemblant à s’y méprendre à Jackie Chan. Nous sommes dans la période de la fin des années 80 puis ensuite 90, à savoir avant la rétrocession de ce bout de territoire à la Chine communiste. Bref, l’âge d’or de cette grande cité avec un cinéma florissant dans le genre action.



Ce n’est pas Hollywood mais les espoirs des jeunes actrices sont les mêmes. On peut également tomber sur un magnat du genre Harvey Weinstein mais en pire. La déchéance de cette actrice cascadeuse sera faramineuse. Elle va tomber aussi bas que possible pour mieux se relever. Elle ne se rendra pas compte des mises en garde de ses anges protecteurs. On assiste impuissant à ces mésaventures dans ce milieu peu scrupuleux. Le regard de l’auteur est d'une profondeur fascinante, parfois critique et cynique mais décortiquant cette industrie du cinéma pour mieux la retranscrire.



J’ai bien aimé les différentes références à des films de kung-fu ayant marqué cette époque particulière. C’est la première fois que je lis une œuvre abordant ce sujet particulier ce qui la rend original de par son traitement. On ne peut que tomber sous son charme. Le dessin est magnifique dans sa précision et dans son exercice de style. Le découpage est des plus réussi pour une qualité de lecture exceptionnelle. Par ailleurs, les couleurs sont superbes et participent très largement à la beauté de cet album.



Cet album mérite vraiment d'être connu car on pourrait malheureusement passer complètement à côté. C'est vraiment une petite mine d'innovations avec des éléments utilisés à bon escient. Cette lecture a été un pur moment de bonheur.

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The golden path

Ça se passe dans le milieu du cinéma des arts martiaux à HK dans les 90's, où l'on suit Jin Ha qui est spécialisée en kung fu et qui devient cascadeuse. L'histoire est intéressante, j'étais accrochée pendant toute ma lecture. L'univers m'a beaucoup plu, d'autant plus que j'apprécie particulièrement les films d'art martiaux. Le dessin est assez agréable. Plutôt une bonne surprise !
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The golden path

Jin Ha est une jeune diplômée d’art martial de 21 ans, fascinée par la magie du cinéma et toute juste sortie de la grande école de Kung-fu de la province chinoise de Henan. Grâce à la recommandation de son ex-formatrice, Madame Ma, Jin va débarquer à Hong-Kong se présenter chez Golden Path, un des studios de cinéma d’action les plus en vogue des années 80-90. Engagée par Shimo Hueng, sur le film « opération Alpha », où il officiait en tant que réalisateur, Jan va réaliser son rêve de devenir cascadeuse. C’est sa première rencontre entre elle et quelques acteurs à succès du cinéma hongkongais des années 90 qui va lancer sa carrière et changer sa vie…



J’avoue que je n’avais jamais entendu parlé de Baptiste Pagani avant d’acheter l’album. Ce n’est pas vraiment son coup de crayon qui m’a fait « rêver » mais plutôt le pitch original qui a attisé ma curiosité. Puis, c’est cette histoire sur les coulisses pas forcément reluisantes du cinéma d’action des 90’s ainsi que la destinée de Jin Ha, jeune cascadeuse idéaliste qui va découvrir les « 2 faces d’une même pièce », qui m’a passionné. Certains personnages à l’instar de Jin sont plutôt sympathiques et touchant pendant que d’autres comme Monsieur Weing sont assez détestables.



Quand je dis que le style graphique de Baptiste Pagani n’a pas été décisif dans le choix de l’album, il ne m’a pas rebuté non plus et s’est avéré totalement adapté à la narration. Son style assez rond, un peu « manga », permet de ne pas rendre trop réaliste cet album sur l’envers du décor des films d‘action, qui aurait pu paraitre trop documentaire. Parce que oui, on en apprend sur les ficelles du métier de cascadeur mais aussi sur les conditions de travail assez dures des acteurs du cinéma d’action asiatique de cette période (bien que j’en avais une petite idée, connaissant un peu l’histoire et les films de Jackie Chan, rebaptisé ici Eagle Chan). Par contre, en tant qu’européen, je ne connaissais pas vraiment les nanars à petit budget, tournés pour le marché Chinois, par des producteurs peu scrupuleux. Pourtant c’est une réalité que ce marché parallèle où sévissent les acteurs US de seconde zone ainsi que les acteurs et cascadeurs chinois surexploités avant d’être jetés comme des kleenex au moindre coup dur. Le « Golden Path » ne l’ai pas pour tout le monde.



J’ai beaucoup apprécié cet album truffé de références et de clin d’œil à ces films d’actions hongkongais de mes « années lycée ». Même si le sujet traité se rapproche d’un drame sur le destin brisé de certaines stars montantes du cinéma d’action de cette époque-là, l’humour permet de dédramatiser un peu. La fin ne fait pas pleurer dans les chaumières et laisse plutôt une bonne impression d’ensemble. A intervalle régulier, on peut découvrir des pages sous forme de « tips » pour les cascadeurs en herbe et des affiches de vrais-faux films. D’ailleurs, pour les personnes qui voudraient approfondir le sujet, Baptiste Pagani propose une filmographie sélective de films les plus représentatifs de la période faste du cinéma d’action Hongkongais.



Encore une très bonne découverte du label 619 de chez Ankama, gage de qualité et d’originalité dans le monde de la bande dessinée. Un bel hommage à une époque révolue où les films utilisaient les astuces et chorégraphies pour créer de la magie plutôt que les effets numériques hors de prix.




Lien : http://www.artefact-blog-bd...
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Arcade club, tome 1 : Vicky

Une trilogie très sympa pour se plonger dans l'univers des jeux vidéos et des bornes d'arcade.

On suit Vicky, Sam et Roberto qui passent tout leur temps dans la salle de jeux de leur quartier. Leur rêve ? Se faire recruter par L'arcade Club, un club mythique et top secret. Mais existe-t-il vraiment ?

Juliette et Annaëlle ont adoré cette série aux illustrations colorées et inspirées des mangas. Malgré une thématique plus masculine, elles ont accroché facilement à l'histoire et aux différents personnages dont Vicky la gameuse androgyne.

Quant à moi, j'ai beaucoup aimé me replonger dans les années 80/90 (et oui, toute ma jeunesse ) et découvrir les multiples références aux jeux vidéos "vintage".



En bref, une agréable surprise pour cette bd jeunesse parfaite pour les "geeks" mais pas que... Une histoire qui n'appréhende pas les jeux vidéos de manière négative mais qui au contraire souligne le fait qu'ils peuvent rapprocher des personnes très différentes.

À découvrir avec plaisir !
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Les lames d'Ashura

Les lames d’Ashura est une bande dessinée one-shot trépidante et accrocheuse qui nous propose une intrigue faisant la part belle aux femmes. Western vitaminé et histoire de guerre fratricide nous emportent du début à la fin. Le dessin à l’identité très marquée pose quelques problèmes en termes de lisibilité des actions mais fait preuve d’une originalité indéniable.



Critique complète sur yuyine.be!
Lien : https://yuyine.be/review/boo..
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The golden path

Une belle bd sur l'envers des décors de cinéma et sur le métier de cascadeur ( cascadeuse) dans un contexte particulier, celui des film d'action hongkongais (ceux qui ont révélé Jackie Chan, pour ne citer que lui). On suit les succès et les déboires de Jin Han, une jeune cascadeuse passionnée qui va finir entre les griffes d'un producteur vérex. c'est émouvant et passionnant! Un très bon moment de lecture.
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Arcade Club, tome 2 : Bilel

Une trilogie très sympa pour se plonger dans l'univers des jeux vidéos et des bornes d'arcade.

On suit Vicky, Sam et Roberto qui passent tout leur temps dans la salle de jeux de leur quartier. Leur rêve ? Se faire recruter par L'arcade Club, un club mythique et top secret. Mais existe-t-il vraiment ?

Juliette et Annaëlle ont adoré cette série aux illustrations colorées et inspirées des mangas. Malgré une thématique plus masculine, elles ont accroché facilement à l'histoire et aux différents personnages dont Vicky la gameuse androgyne.

Quant à moi, j'ai beaucoup aimé me replonger dans les années 80/90 (et oui, toute ma jeunesse ) et découvrir les multiples références aux jeux vidéos "vintage".



En bref, une agréable surprise pour cette bd jeunesse parfaite pour les "geeks" mais pas que... Une histoire qui n'appréhende pas les jeux vidéos de manière négative mais qui au contraire souligne le fait qu'ils peuvent rapprocher des personnes très différentes.

À découvrir avec plaisir !
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Arcade club, tome 1 : Vicky

Je n'avais jamais entendu parler de cette BD et je dois avouer que la couverture ne me tentait pas plus que ça, mais je dois dire que cette lecture a été une agréable surprise.



J'y suis entrée un peu à reculons parce que j'avais du mal avec les dessins. Enfin, non, les dessins en eux-mêmes ne me dérangeaient pas. Au contraire, j'aime assez ce côté tout en rondeur. En revanche, ce sont les choix de couleurs que je n'aimais pas trop. C'était un peu trop "bonbon" à mon goût, des couleurs trop vives, un peu trop irréalistes. C'est joli, mais ce n'est pas ce que je préfère. Et ça fait que du coup, je partais avec un mauvais à priori.



Alors qu'en fait, l'histoire est plutôt sympa. Nous suivons principalement Vicky et sa bande de copains, fans de jeux vidéos, qui rêvent de participer (et gagner) à un concours de jeux vidéo pour intégrer le prestigieux Arcade club. L'intrigue se suit bien. Nous voyons les trois amis faire leur bonhomme de chemin, s'entraîner, rêver. Et puis il y a la trahison et une nouvelle amitié qui naît.



J'ai aimé la façon dont le jeu vidéo rapproche les personnages. Et en particulier, comment il intègre l'élève étranger qui ne parle pas très bien français et dont j'ai oublié le nom (je suis vraiment désolée). J'ai apprécié aussi cette vision du jeu vidéo comme étant autre chose qu'un simple loisir. C'est presque un sport, pour lequel on s'entraîne dur, on élabore des stratégies. L'histoire est cohérente, les personnages aussi.



Belle surprise que cette BD !



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Les lames d'Ashura

Voici un très bon one-shot plein de rythme et d'action mais qui sait aussi se faire sensible et émouvant. Un univers qui pour mon plus grand plaisir ma parfois fait penser à Hokuto no Ken, autant dans la carrure extrême des personnages que dans les situations qu'ils animent. 👍👍👍👍
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Doggybags, tome 11

Un très bon tome.

j'ai adoré la première histoire, une sorte de remake des dents de la mer avec une fin grinçante à la doggy bags.

la 2eme histoire a une chute amusante mais j'ai franchement préféré la nouvelle de Tanguy Mandias sur le même thème avec une chute aussi inattendue que savoureuse.

la dernière histoire mélange vaudou et golem vengeur.

Ce tome bénéficie de bonus sur les requins, le vaudou et les films de Zombies. J'ai bien aimé le quizz sur les zombies, le Mutafukaz en mode Zombie avec la méthode très originale du personnage pour se déplacer sans se faire voir des autres zombies. Quand au top 10 des durs à cuire, ils sont bluffants!!

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The golden path

Jin est une passionnée. Ce qu'elle aime ? Le danger, le combat, la discipline. Elle intègre vite la Golden Path, un studio producteur de grands films de kung-fu. En suivant sa carrière, on découvre la production des films d'action hongkongais des années 90, des combats glorieux aux déboires des nanars à bas budget. Une BD captivante et une héroïne qui en jette !
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Doggybags, tome 11

Après un dixième tome plutôt décevant, j’attendais ce onzième volet de pied ferme. Force est de constater que cela démarre plutôt bien avec une superbe couverture signée Ed Repka. Puis, le lecteur a de nouveau droit à trois histoires courtes d’une trentaine de pages chacune, qui rendent hommage au cinéma Grindhouse des années 60-70.



La première (Carcharodon), signée David Hasteda et Ludovic Chesnot, propose une expédition en mer qui tourne forcément mal. En proposant de suivre un groupe de jeunes en mal de sensations fortes, qui rêvent de voir des requins de près, David Hasteda livre un récit classique au déroulement assez prévisible. Le dessin de Ludovic Chesnot contribue à insuffler beaucoup de dynamisme à l’ensemble, même si j’avais parfois du mal à distinguer ce qui se déroulait dans les cases.



La seconde histoire (Sagrado Corazon), imaginée par Valérie Mangin et mise en images par Loïc Sécheresse, invite à suivre un jeune truand qui échappe de justesse à un règlement de compte entre gangs rivaux. Afin de se mettre définitivement à l’abri de cette vendetta, il trouve refuge dans un petit bled mexicain uniquement composé de femmes. Une petite mise au vert qui sent bon le paradis, mais qui tournera inévitablement au cauchemar… Doggybags oblige ! Un récit sympa au dessin efficace !



Le dernier récit (Prizon), signé David Hasteda et Baptiste Pagani, se déroule dans un univers carcéral, saupoudré d’une bonne dose de vaudou. Une prison de haute sécurité se retrouve en effet assiégée par une foule en colère, qui réclame la tête d’un prisonnier soupçonné d’avoir tué une enfant. La tension monte au fil des pages et lorsqu’une prêtresse vaudou se joint aux manifestants, l’émeute vire très vite vers au carnage… Une histoire efficace, admirablement bien servie par la mise en images de Baptiste Pagani.



Si ce onzième volume de Doggybags propose à nouveau trois scénarios bien trashs et sans concessions, qui mêlent violence, horreur et une bonne dose d’hémoglobine, le lecteur a également droit à une nouvelle (Annie) de Tanguy Mandias et à un mini-récit de Run qui met en scène les héros de l’excellente saga « Mutafukaz ». Pour le reste, l’ambiance est à nouveau soignée jusque dans les moindres détails, de la maquette du livre au style rétro, en passant par les fausses publicités, un poster détachable en fin d’ouvrage… et même un sticker offert gratuitement.



Un bon tome et une excellente saga se terminera malheureusement après treize numéros…
Lien : https://brusselsboy.wordpres..
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Arcade Club, tome 2 : Bilel

Le deuxième tome de l’Arcade Club nous fait découvrir tout un univers d’ancien jeux d’arcades avec ses personnages sympathiques de tous les âges. C’est une jolie histoire racontée en bandes dessinées sur j’ai suivi avec beaucoup de plaisir. J’attends la suite avec impatience.
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Les lames d'Ashura

Les larmes d’Ashura

Avec Les Lames d'Ashura, Baptiste Pagani fait une nouvelle fois montre de ses talents de conteurs et de metteur en scène…



L’auteur y esquisse les contours d’un univers dense et foisonnant dans lequel il faut évoluer des personnages complexes et cohérents sur lesquels il fait reposer une tragédie où se déchaînent les passions… Alternant avec art scènes d’action virevoltantes chorégraphiées avec une folle inventivité et séquences plus contemplatives, l’auteur signe un récit joliment orchestré aux accents délicieusement shakespeariens…



Après son saisissant Golden Path, ce nouvel album confirme tout le bien que l’on pensait de l’auteur…
Lien : http://sdimag.fr/index.php?r..
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Les lames d'Ashura

Nous voilà immergés dans un univers graphique singulier, où les corps sont plutôt androgynes et toujours avec une musculature très développée. Pourtant, une certaine grâce émane de ces personnages, souvent sanguinaires, mais fascinants. Le traitement de la couleur, parfaitement maîtrisée, contribue à apporter de la douceur. Pourtant, le cadre de l'histoire est loin d'être rose ! Dans une contrée inspirée de l'Inde, se jouent des rivalités et de violents combats. L'album est rythmé par des cavales dynamiques et des scènes sanglantes, ponctuées par des dialogues bruts et sans filtres, et quelques scènes libertines. Il explore la complexité des relations familiales, les rivalités qui peuvent refaire surface, mais aussi la difficulté de composer avec des proches aux idéaux bien différents des nôtres. La violence et la vengeance n'en sont finalement qu'une conséquence. Il déconstruit aussi l'image standardisée de la femme, en nous montrant des personnages féminins forts, caractériels.
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Les lames d'Ashura

Encore une réussite pour le Label 619, et plus particulièrement pour Baptiste Pagani. Il nous livre une nouvelle oeuvre peut être plus riche encore que sa précédente ! Un titre hautement recommandable pour un auteur à suivre de très près !
Lien : https://www.lescomics.fr/rec..
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Les lames d'Ashura

Après un premier titre complet avec The Golden Path sur la vie d'une cascadeuse, un titre très surprenant. Baptiste Pagani revient avec une nouvelle oeuvre qui marque une vraie évolution de l'auteur, surtout graphiquement.



Dans Les Lames D'Ashura, on suit un groupe de pilleuses de train, les plus redoutées. Mais dans ce groupe, l'histoire va principalement s'axer sur trois membres dont les destins vont les mener a des rencontres surprenantes et à des révélations inattendues.



Ce tome est sublime graphiquement, surtout au niveau des couleurs et des lumières. Une réelle progression également dans le dynamisme des dessins et dans la retranscription des mouvements.
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