Benjamine Weill est philosophe, formatrice et consultante autour des questions sociales et médicosociales notamment en protection de l'enfance et sur les liens entre culture hip-hop et travail social.
Elle titulaire de DEA/Master 2 Philosophie contemporaine sur la psychopathologie de l'Université Panthéon Sorbonne (Paris I) (1998-2005).
Elle est responsable de structures pour adolescents et s’est spécialisée dans la philosophie appliquée aux questions sociales. Travailleuse sociale en Seine-Saint-Denis, elle analyse et écrit sur le rap depuis près de dix ans.
Dans son livre "À qui profite le sale : sexisme, racisme et capitalisme dans le rap français" (2023), l'autrice explique comment les luttes antiraciste et féministe ne peuvent être dissociées l'une de l'autre dans le courant musical le plus populaire chez les jeunes.
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Le Hip-Hop est donc une performance au sens fort du terme : un exploit d’abord, une victoire sur l’académisme. Sortir l’art de son élitisme culturel et financier, le rendre à la rue.
[À] qui profite tout ce sale qui nous est présenté comme l'essence même du rap ? Quels messages subliminaux sont transmis par les caricatures sexistes qui nous sont présentées ? Il serait temps de se poser les bonnes questions, non ? Parce que le rap le vaut bien. (17)