Si j'écris, c'est d'abord par amour.
Pour Martin ; que puis-je faire d'autre pour lui aujourd'hui ?
C'est aussi peut-être afin de ne pas succomber à l'hébétude, à cet effondrement qui vous laisse stupide, muet comme une tombe ; afin d'habiter les mots (les mots anciens, les mots nouveaux) avec lesquels nous vivons.