Dans sa chambre, il me parle de la Coupe d'Afrique des nations qui a eu lieu dans son pays cet hiver. Il parait que chaque quartier de Bamako supportait une équipe étrangère en signe d'hospitalité. Je ne veux pas le croire et il me montre un journal où c'est écrit. Alors là, j'applaudis, parce que si le foot a un défaut, c'est bien les supporters débiles.