C'est toujours la même idée d'une jeunesse qui, qu'elle soit oubliée ou pas encore née, en amont ou en aval, incarne de toute façon les valeurs du Juste et du Vrai. Au point que je me demande s'il n'y aurait pas dans ce juvénisme, plus encore que dans "la volonté de pureté", l'essence ultime de ces phénomènes que le siècle a appelé "totalitaires". La barbarie à visage juvéniste? (p.325)