La raison de la si grande douceur de cette vie est qu’elle est pétrie de bien des rêves et des illusions. Qu’importe que le rêve soit trompeur, l’imagination vide de réalités ! Sans eux l’homme serait sans cesse harcelé par la nécessité. Ce sont les plus grandes richesses de la vie. Qu’ils viennent donc, que leur place dans l’existence soit éternelle ! Vile nécessité ! Vil profit !