Il s'agissait seulement de sexe. De sexe coquin et très imaginatif, de quoi lui faire oublier toutes les autres femmes qu'il avait connues avant elle. Peut-être réussirait-elle dans la foulée à graver son empreinte sur lui, si elle s'appliquait. Elle avait toujours été bonne élève.
Il lisait bien trop de choses dans ses yeux, des choses qui l'attiraient, éveillaient en lui des envies qu'il ne s'était jamais autorisé à assouvir. Elle n'était pas comme une série de chiffres dans un registre, qu'il pouvait dompter en les classant dans un tableau. Aucun plan rationnel ne pouvait avoir le dessus sur les besoins très irrationnels qu'elle lui inspirait.
Ils faisaient semblant d'être un vrai couple, d'être dévoués l'un à l'autre. L'amour entrait souvent dans l'équation, dans ce genre de cas. Ce n'est pas parce qu'elle n'avait jamais vécu de grande histoire d'amour qu'elle ne savait pas comment cela fonctionnait.
Il existait toutes sortes de façons d'atteindre un but, après tout, et un fin stratège restait toujours à l'affût
La vie veut que les parents s'éloignent de leurs enfants lorsque ceux-ci deviennent grands.
Loué soit le yoga. Cette discipline l'aidait toujours à retrouver son calme. Elle l'avait découverte quelques années plus tôt, alors qu'elle désespérait de trouver un bon moyen de rester zen.
Une femme délicate a besoin d’un homme pour s’occuper d’elle.
Quand on était un homme bien, on ne mentait pas à une fille juste pour pouvoir l’embrasser à en perdre haleine.
J’aime les femmes qui n’exigent pas qu’on les aide séance tenante.
Chapitre 1 :
"- Pourquoi ? C'est ton nom, pourtant, insista-t-il en lui écartant une mèche violette plaquée sur sa joue. T'as peut-être un peu changé, mais tu restes toujours la même fille innocente...
- Je ne suis pas innocente, bordel.
Et pour le prouver, elle empoigna fermement son membre à travers son jean. Un frisson parcourut Bryan de la tête au pied ; elle serra encore.
- Tu disais ? susurra-t-elle, un sourire triomphant aux lèvres.
...
- Jill, dit-il, et il attendait qu'elle ouvre le yeux. (Ses paupières paraissaient bien lourdes et il eut un coup au cœur en voyant son regard rêveur.) On est en public. N'importe qui pourrait nous voir. Bon sang, on s'et à peine dit bonjour que je t'ai sauté dessus.
Après qu'elle lui eut mis a main au paquet, mais là n'était pas la question.
- Et alors ? répondit-elle en levant le menton.
- La dernière chose dont j'ai besoin, c'est d'alimenter les rumeurs sur ma vie privée. Figure-toi que j'essaie de redorer mon image.
Ce n'était pas comme s'il avait le choix. Même avant que son contrat se termine, il tentait de limiter les dégâts. Quelques potins sur ses soirées de débauche pouvaient booster sa carrière, mais en trop grosse quantité cela avait l'effet inverse.
- Je rêve ou t'es en train de me dire que je salis ta réputation ?
Loin de se sentir insultée, elle semblait plutôt amusée. Voire intriguée.
Bon. De toute évidence, ça marchait pas. Il était temps d'y aller franchement, de lui balancer le raison number one pour laquelle il n'irait jamais plus loin avec elle. puisqu'elle avait l'air de ne pas comprendre.
- Tu es la meilleure amie de ma sœur."