Carl Barks

Picsou pense : " Je pense qu'on devrait clouer au pilori les profiteurs qui ne paient pas leurs dettes !
Voici un de ses mauvais payeurs qui me doit 10 cents... 10 malheureux cents... Depuis 1950 !
C'est scandaleux ! Celui qui me doit moins de deux millions est un pingre !"

Une dame dit : " Oh! Dieu du ciel ! Des lutins !"
Les neveux disent : " Des bonbons ou des bobos, m'dame !"
Une dame dit : " Oh, des bonbons ! J'ai bien trop peur !"

Donald dit : " La vue doit être magnifique, mais je n'ose pas quitter la route des yeux !"
Les neveux : " Prends garde au camion derrière !
- Attention au ravin !
- Range-toi ! Ce gros machin bruyant aboie derrière !"
Donald dit : " Baissez-vous ! Gare aux pièces détachées !"

- Grâce aux Castors Juniors, les petits Donaldvillois ne rateront pas un jours de classe !
- N'êtes-vous pas fous de joie ?
- Euh... On est tellement content qu'on en a la tête qui tourne !

- Mon mari me dit que je vieillis ! Je vais demander au premier qui passe s'il voit des rides sur ma figure !... Eh ! Vous ! Regardez-moi en face ! Est-ce que j'ai des rides ?
- 21760...

- Des signaux de fumée ! Et d'autres par là !... Des Indiens envoient des messages.
- Alors ce sont des Indiens sauvages ! Les Indiens modernes ont le téléphone, eux !

- [...] Je serai le premier homme à transformer l'au-delà en quelque chose de déjà vu !
- J'aurais préféré qu'il transforme aujourd'hui en hier ! Le dîner me manque !

L'oncle Picsou! Ce pauvre vieil oncle Picsou... Les gens croient qu'un archimultimilliardaire comme moi peut tout s'offrir.

"Tu gagneras dix millions de centimes, si tu me rapportes l'animal !"

Je suis fichu ! Si je ne trouve pas une pelleteuse pour les enfants, ils me mépriseront jusqu’à la fin de mes jours !

Je suis Picsou et si tu fais quelque chose qui me déplait, j’achète toute la ville et je te renvoie !

Si quelqu'un dans un autobus bondé vous regarde de travers parce qu'il se demande comment vous pouvez être aussi serein quand il n'y a vraiment pas de quoi rire, offrez-lui une BD de Carl Barks.

Préface de la dessinatrice et scénariste Silvia Ziche