Albert songea aux paroles que le garçon avait dites à la tête réduite. Knud Erik avait tiré sa propre morale à partir des miettes de ce qu’Albert lui avait raconté. C’était aussi une sorte de sagesse, voire peut-être la plus fondamentale. « Tu as fini par mourir, mais tu t’es d’abord bien battu. » S’il s’y tenait, les choses ne tourneraient pas trop mal pour lui. La vie pourrait toujours, au fur et à mesure, ajouter ses propres nuances. (p. 345, Chapitre 3, “Le Garçon”, Partie II).