Il éclata en sanglots bruyants, mais ses traits demeuraient étrangement placides. Les larmes roulaient sous le masque, traversaient le latex et le cuivre. Il les buvaient au fur et à mesure, elles lui laissaient dans la bouche un goût métallique. C'en devenait un supplice insupportable et il s'imaginait que cette torture répondait à celle de son âme.
Nul ne prêta attention à cet ivrogne qui avait le vin triste.