Mais peut-être est-il encore possible, avec beaucoup de soin, de science et de patience, de rendre la terre aux hommes et les hommes à la terre ? De rogner les tours à défaut de les abattre, épurer nos sols, nos eaux et notre air pour y relâcher, ressuscitées, toutes les Espèces dont nous conservons l’adn avec un soin pathétique ? Et ensuite, oser risquer un œil hors du Réseau sous un ciel moins jaune de crasse ? La tâche est immense, il y faudrait une parfaite maîtrise du présent, une connaissance intime des erreurs passées et beaucoup de temps.