Mac apprit que les tribunaux étaient tous pleins de la même histoire : des malfrats ramassaient des cheveux chez un coiffeur pour en saupoudrer leurs scènes de crime. Ça avait permis à bon nombre d'entre eux de passer à travers les ennuis. Mais l'astuce était éventée, parce qu'un cheveu coupé se distingue facilement d'un cheveu arraché. Certains délinquants ignares l'employaient encore – on appelait ça "saler une scène". On trouvait même, sur le net, des salières emplies de cheveux et de poils.
("Bobbidi-Boo")