Citations de Céline Holynski (74)
Cet homme m'avait jetée comme on jette un vieux munster qui pue dans le frigo... avec précipitation et dégoût! Et malgré notre rupture, il se donnait encore le droit de m'indiquer la marche à suivre ! Et toujours à sa façon bien sûr, sous couvert de bienveillance... Et puis, affectueusement ? Affectueusement ?! Mais de quelle affection tu parles?! Elle pue ta bienveillance, Éric ! Elle pue encore plus fort que ce fromage de quatre semaines, oublié dans le compartiment à légumes du frigidaire !
Je n'ai plus de larmes. Rien. Nada ! Ça pique plus qu'autre chose. Et pleurer en rajoutant du collyre ce n'est pas pleurer .... C'est du cinéma !
Ma grand-mère disait toujours :" quand ça ne coule plus c'est qu'il est temps de passer a la suite!"
Certes, elle disait ça au moment de monter ses blancs en neige... Mais je pense que la sagesse des anciens est applicable a bien d'autres domaines que la cuisine.
Ma grand-mère disait toujours :" quand ça ne coule plus c'est qu'il est temps de passer a la suite!"
Certes, elle disait ça au moment de monter ses blancs en neige... Mais je pense que la sagesse des anciens est applicable a bien d'autres domaines que la cuisine.
Depuis, nous nous sommes rapprochés et j'ai suivi son virage de vie à 180. C'est d'ailleurs le même virage a 180 que je prends quand je la vois surgir comme une furie au détour d'un arbre, les yeux exorbités, une pelle a la main ! Je tourne le volant pour éviter de lui rentrer dedans et finis par piler sec.
- ah la connasse ! La connasse ! La connasse !
Inutile d'avoir les fenêtres ouvertes pour entendre distinctement les doux mots vociférés par Val'.
- ah la connasse ! La connasse ! La connasse !
Inutile d'avoir les fenêtres ouvertes pour entendre distinctement les doux mots vociférés par Val'.
Miroir, mon beau miroir, dis-moi ce qui te dérange chez les autres, je te dirai qui tu es...
- J'ai toujours eu la sensation de me sentir chez moi quand je suis proche d'elle... Comme si je retrouvais un membre de ma famille. D'ailleurs, c'est adorable quand les enfants disent qu'ils veulent voir la mer... On pourrait croire qu'ils réclament leur maman. C'est un bel homonyme.
- Bon sang ! Vous avez planqué un micro sur moi ou quoi ?
- Non, j'écoute aux portes...
- Non, j'écoute aux portes...
- Mais ne boudez pas votre plaisir...
- Ah mais je ne bouge pas mon plaisir. Je boude tout court !
- Ah mais je ne bouge pas mon plaisir. Je boude tout court !
- Voulez-vous que je vous prête un slip ? Il monte au-dessus du nombril mais, voyons le bon côté des choses, cela donne un effet ventre plat.
- Vraiment, il n'y en a pas deux comme toi...
- Et heureusement ! Je suis clairement le seul prototype. Ils ne sont pas fous, là-haut, après m'avoir créée ils ne se sont pas risqués à en sortir toute une série...
- Et heureusement ! Je suis clairement le seul prototype. Ils ne sont pas fous, là-haut, après m'avoir créée ils ne se sont pas risqués à en sortir toute une série...
Je t’assure, tu n’as pas démérité. L’idée, tu vois, c’est que tu as choisi du beau, de l’esthétique et tu as accompli ta mission, poursuis-je en la talonnant. Mais moi, je me suis tournée vers la vraie originalité : le cadeau de niche ! C’est le petit truc en plus quoi …
Traverser le pire pour vivre le meilleur
Les non-dits sont comme des mauvaises bactéries qui prolifèrent dans l'organisme durant longtemps. On peut les laisser tout ravager ou un jour décider d'assainir le tout.
Certains aveux sont comme un barrage qui vient de rompre, il vaut mieux laisser s'écouler le flot des mots.
La famille c'est comme les branches d'un arbre. Nous grandissons tous dans des directions différentes, mais nous avons les mêmes racines.
Les Anglais ont peut-être la réputation d’être des spécialistes du tea-time, mais essayez d’ôter sa tasse de thé à un Polonais, vous seriez surpris.
Tu ne vas pas fêter Noël avec nous ?!
Mieux vaut une amère vérité qu'un doux mensonge, pas vrai ? Les non-dits sont comme des mauvaises bactéries qui prolifèrent dans l'organisme durant longtemps. On peut les laisser tout ravager ou un jour décider d'assainir le tout. Et je crois qu'il n'est jamais trop tard pour essayer.
La famille c'est comme les branches d'un arbre. Nous grandissons tous dans des directions différentes, mais nous avons les mêmes racines. J'imagine que l'on ne peut faire sans.
Lorsque tout semble aller contre toi, souviens-toi que les avions décollent toujours face au vent.
Souviens-toi, ce qui sera oublié dans un an ne mérite pas qu'on s'y attarde aujourd'hui
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Maupassant au café
La maison avait deux entrées. À l’encoignure, une sorte de café borgne s’ouvrait, le soir, aux gens du peuple et aux matelots. Deux des personnes chargées du commerce spécial du lieu étaient particulièrement destinées aux besoins de cette partie de la clientèle. Elles servaient, avec l’aide du garçon, nommé Frédéric, un petit blond imberbe et fort comme un bœuf, les chopines de vin et les canettes sur les tables de marbre branlantes, et, les bras jetés au cou des buveurs, assises en travers de leurs jambes, elles poussaient à la consommation. Indice : Maison
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Guy de MaupassantCréer un quiz sur cet auteur14 lecteurs ont répondu