Je voudrais te dire tant de choses !
Mais vois-tu, les mots ont trop de poids, trop de gras tout autour,
pour une réalité qui, elle, en a si peu :
une brise, un souffle ténu sur nos yeux ouverts
J'attends l'été, Yvan, notre été !
ta mère Liliane
j'ai refermé l'écritoire
autour de moi, la nuit retient son souffle.