Si mon passé était aussi sombre que présumé, je doutais que ma conscience puisse s’en accommoder. N’était-il pas préférable de vivre dans l’incertitude, en acceptant ce nouveau départ offert par le destin sans plus me poser de questions ? Je décidai d’écouter mon psy : dorénavant, je comptais considérer cette amnésie comme une seconde chance.