Sarah, Sarah, Sarah, Sarah.
Si belle sous ce voile qui proclamait son innocence perdue.
Tu aurais dû être vêtue de rouge, comme cette prostituée qui un jour m’aborda dans une ruelle obscure, marchandant mon plaisir et son abandon.
Tu aurais dû porter, brodée sur ton sein, la lettre écarlate de l’adultère.
Tu aurais dû marcher vers l’autel nue et chargée de chaînes, que j’aurais amoureusement, une à une, ôtées.
Sarah, tu as refusé ta délivrance. Tu as refusé ta rédemption.
Tu vas mourir.