Christophe Bertschy

Un tome assez faiblard. Cela tire dans tous les sens. Pas de ligne de gags récurrente où on pourrait capitaliser sur un certain comique de répétition.



Le seul apport plus ou moins comique, c'est le père de Nelson qui débarque. Il est à l'image de son fils, goinfre, égoïste et de mauvaise foi. A part ça, quelques gags avec Floyd et sa descendance sortent aussi du lot. Sinon, RAS.

- Je trouve les albums de Nelson de plus en plus drôles, est-ce grave, docteur?



- Evitez les substances hallucinogènes ou l'alcool avant de lire un tome...



Globalement, ce tome 18 se divise en 2 groupes de gags. D'abord, Julie passe ses vacances d'hiver à la montagne. Yéti, réchauffement climatique, pipi dans la neige et marmottes vicieuses au programme... Ensuite, elle devient secrétaire d'un cabinet vétérinaire. Hémorroïdes de moufette, fientes de perroquet bavard, cochon hébergé dans la baignoire... Et pour finir Julie échoue dans une galerie d'art contemporain.



A mon avis, le fait qu'il y a de plus en plus de gags "pipi-caca", cela doit influencer mon appréciation...

Comme toujours, la plupart des gags sont bâtis sur le trio infernal Julie-Nelson-Floyd avec quelques apparitions du collègue niais et lourdingue.



Signe des temps, le tome datant de 2023, une large proportion des gags aborde la nourriture, mais sous un angle soit diététique (sans que ce soit lié à un régime féminin, ouf!), soit de la malbouffe et de son impact sur la planète. Un bon pourcentage de gags se connecte aussi aux préoccupations environnementales, en ce comprises les problématiques de biodiversité, pollution, réchauffement... C'est assez étonnant, et cela tape souvent assez juste. Un tome qui me semble moins creux que les autres, qui étaient simplement basés sur un humour de situation ou de quiproquo.



Pourvu que cela dure.

C'est sur une méprise que Julie achète Floyd, un labrador idiot... Si le vendeur avait mieux tenu ses fiches, le destin de la famille en aurait été totalement changé... Donc, bienvenue à Floyd qui va devenir le souffre-douleur de Nelson pour une bonne partie des gags. Une autre partie non négligeable des gags met en scène la soeur gothique de Julie. Ce sont encore ceux qui m'amusent le plus... Oups...



Globalement, cela se feuillette distraitement, sans trop d'émotions, ni positives, ni négatives. L'art du strip est complexe.

Une véritable mécanique du rire à la redoutable efficacité. Une, deux, trois cases et le sourire sur le visage du lecteur est garanti, qu’il soit tout jeune ou adulte car il touche au quotidien de tout un chacun. Un enchaînement sans fin de gags à répétition déclenchant systématiquement la libération de l’hormone du bonheur appelée aussi la sérotonine. Même après 26 albums, on ne s’en lasse pas.
Lien : https://www.actuabd.com/Nels..

Qu'est ce que j'adore ce petit diablotin!!!! Qu'est ce qu'il me fait rire! Succession de gags de en général 1 ligne de 3 cases. Il est entouré de son humaine, à qui il fait les mille misères. Du chien avec qui il partage des liens fraternels pour le meilleur et pour le pire. Et de tout un monde autour de cette petite famille. Ça se lit bien, c'est tendre, piquant, audacieux. La lecture coule toute seule et met de bonne humeur. Je recommande

J’aime bien écrire une critique pour me souvenir de ce que j’ai pensé d’une histoire, d’une BD…

Force est de constater qu’après 25 tomes, Nelson ne permet pas de se souvenir de grand-chose…

C’est le genre de strip qu’on lit vite fait quand on a 5 minutes, qu’on peut même relire quelques semaines après en les redécouvrant tant il n’y a pas grand-chose…

C’est un instantané de trois cases, une blague à la Toto, jamais très légère ou super creusée, une blague de comptoir qui fait sourire sur le coup et qu’on oublie…

L’auteur étire parfois une idée sur plusieurs bandes, ça marche le temps qu’on passe devant et puis voilà, c’est déjà pas mal…

Nelson



Cette BD s’appelle Nelson. Les dessins sont très bien réalisés. L’auteur de ce livre est Bertschy. Cette histoire est très animée,très rigolote, très humoriste. Maintenant, on va passer aux personnages. Je vais vous parler de Nelson. C’est un diablotin très malin contrairement à Floyd (le labrador) qui se laisse avoir tout le temps. Les personnages de ce livre (Floyd le labrador et Nelson le diablotin) sont très bien dessinés.

Je vous conseille de lire ce livre.



Emilien.

Le titre, comme à chaque fois, on s’en fiche : les gags en 3 cases s’enchaînent, peu importe le sujet… C’est vif, c’est pas hilarant mais j’ai parfois souri… C’est un truc à picorer de temps en temps, quand on a cinq minutes à tuer parce que ça se lit vite…

Entre deux lectures plus "sérieuses" se replonger dans les strips en trois cases du suisse Bertschy est un bon moment de détente. Avec ce vingt-deuxième tome les personnages sont maintenant bien en place, les gags entre Nelson, Julie et Floyd prévisibles, mais le charme opère toujours.

Bon, c’est redondant, à force, mais moi, ça m’amuse toujours un peu, Nelson…

Je n’éclate jamais de rire mais c’est comme du Droopy, du Garfield, du strip en 3 cases… Sujet, développement, chute.

Jamais réellement hilarant, souvent répétitif et prévisible, mais jamais désagréable non plus…

Distrayant, quoi.

Côté pile, nous sommes en 2010, et quelques gags abordent le réchauffement climatique et la pollution des océans. C'est déjà pas si mal.



Côté face, le malheur a voulu que j'enchaîne deux tomes de Nelson à la suite (le 9 et le 7)... et on a des gags assez semblables. Comme celui de la langue gelée collée à un poteau ou à une truffe. Quelques gags saisonniers autour du Père Noël aussi.



Ce qui est dommage dans les gags de Nelson, c'est qu'ils n'ont aucune suite. Dans Dilbert, les Peanuts, ou d'autres comic strips de très bonne qualité, même si ce sont des gags en 3 cases, on a parfois des gags qui constituent des suites de gags précédents. Chez Nelson, rien de tout cela. Sa maîtresse revient de la coiffeuse, un gag, et on ne revient pas dessus, alors que cela aurait été possible. Pas de running gag, et on est donc dans l'instantané, ce qui en dit long sur le type d'humour et l'optique poursuivie (d'où le fait que l'auteur se répète parfois d'un tome à l'autre, d'ailleurs).

Comme d'habitude, Nelson mélange un peu toutes les influences. Dans ce tome, on a pas mal de gags qui évoquent Dilbert, avec les rapports au travail et aux collègues.



On a la difficile cohabitation entre Nelson et sa maîtresse, fan de fitness et de nourriture saine, tout le contraire de Nelson. C'est la première fois que je vois Dolores, la soeur gothique. Et elle veut un diablotin, pour remplacer ses rats, bien sûr.



Sinon, peu de choses à se mettre sous la dent. Et comme le fromage fondu sur une mauvaise pizza, cela colle et on en a partout...

Je n'attendais pas grand chose de cette lecture sinon qu'elle essaye de me distraire un peu de cette triste période que nous vivons tous collectivement. Malheureusement, elle n'y est pas parvenue.



Pire que cela, c'est totalement affligeant ! Les gags sont vraiment médiocres et n'ont pas réussi une seule fois à m'arracher le moindre sourire. Au secours, Fabcaro !



Maintenant, il ne faut pas s'attendre à grand chose émanant de la bd de supermarché. Cela semble être juste une œuvre de commande et cela se ressent tellement. Bref, nous avons là le degré zéro de l'humour. La collection Tchô nous avait habitué à mieux.

L'origine de Nelson... le non-partage d'une chaîne via e-mail par sa future maîtresse... et le vol d'un rouleau de papier WC du bureau. Petit vol, petit démon...



Voilà les deux premiers "gags" du premier tome des aventures de Nelson.



Le reste met en place l'univers de Julie qui héberge malgré elle le diablotin Nelson. On a Floyd le labrador indolent et le bureau avec les collègues. Par rapport à d'autres tomes que j'ai pu survolé (soyons honnêtes, lire un tome de Nelson de A à Z est quasi impossible), on a davantage de gags quiu se font au détriment de Nelson. Et pas mal d'interaction avec Floyd, qui évoquent Garfield et son pote. Nelson découvre aussi le monde des humains et il se méprend souvent sur l'usage réel des objets ou des services. Cela fait sourire en amenant une réflexion sur les codes de notre monde.

Parce que Julie a "empreinté" un rouleau de papier toilette à son bureau, elle doit être punie. Arrive Nelson, tornade rousse qui enchaîne les gags , les tours et les mauvais coups; parfois à son détriment mais le plus souvent à celui de Floyd, chien labrador ayant quelques difficultés cognitives.

Drôle, sans prétention, un bon moment ed détente

Je viens de découvrir cette bande dessinée, grâce aux packs confinement des éditions Dupuis.

Nelson est un vrai petit diablotin qui en fait voir de toutes les couleurs à Julie, et à son chien Floyd, un peu bêta.

Les sketchs sont assez inégaux. J'ai globalement passé un bon moment de lecture, mais sans plus.

"La BD à lire quand on n’a rien à faire pendant un quart d’heure.

Les gags prêtent à sourire, mais légèrement.

Rien de notable, ça s’enchaîne comme les tomes précédents.

Léger mais pas inoubliable.

"

C'est gentillet et drôle.

Si peu marquant pour moi que j'avais oublié en avoir déjà lu un :-/ (Déplorable surprise)

Celui-ci m'a paru plus amusant, et plus adapté jeunesse même si on sent qu'au départ, c'était une BD tournée vers les adultes.



Ce qui m'a paru un peu surprenant, c'est que ce sont des strips distincts pour la plupart, une bande de 3 ou 4 cases qui se suffit à elle-même, mais en même temps, c'est toute une histoire qui court au long de la BD, la plupart des strips s'y intégrant :

Julie au travail, puis besoin de vacances, elle tente de partir aux Bahamas mais Nelson fait rater son départ, et ensuite vacances à la ferme. Puis retour et rencontre d'un musicien poète que va faire battre son coeur, et que Nelson tente désespérément de chasser.



Il y a pas mal d'idées fort bien vues et j'ai souri souvent.
Lien : http://livresjeunessejangeli..

19eme tome déjà!

Pas de nouveauté, on a toujours les mêmes personnages, les mêmes blagues, trés classique.