Cindy van Wilder et LivresHebdo vous donnent trois bonnes raisons de lire le roman,
Les Féeries d'Eshad !
En librairie le 18 janvier.
Comment je vois l’avenir ? C’est bien simple - 1 verre d’eau pas trop croupie en main, un rayon de soleil sur mon visage, un baiser de ma femme sur ma joue. Et la Brume qui vient me prendre dans mon lit.
Pour qui courtise le démon, il n'existe point de salut.
Ils retiendront que tu étais un monstre, aussi laid à l'extérieur qu'à l'intérieur. Ils se souviendront de ton absence de pitié, de ta férocité,de ton don de manipulation. Ils se rappelleront aussi que tu as reçu tes cicatrices parce que tu n'as cessé de combattre depuis que tu es venu au monde. Ils ne t'aimeront jamais, certains ne te respecteront même pas. Mais personne ne pourra t'enlever ce que tu es : un guerrier.
Vous figurez-vous que parce que vous êtes bon élève, vous détenez les secrets de l'univers ? [...]
Désolé de vous décevoir sur ce point, mais il vous reste encore beaucoup à apprendre.
Considérez donc ce qui va suivre comme un stage de survie, rétorqua le Balafré. Il paraît que vous y excellez ensemble, ajouta t-il ironique.
Un si joli bûcher, dressé au beau milieu de votre village… Les hommes s'en défendent, mais ils aiment rôtir la chair de leurs semblables !
Devait-il comprendre que les mystérieux ennemis qui lui avaient envoyé les molosses et les fés, lesquels tourmentaient leurs ancêtres, ne formaient qu'une seule et même personne? Des fés … Ils se révélaient bien différents de la fée Clochette dans le dessin animé de Disney ou des mignonnes illustrations qui ornaient les livres de contes !
Ce n'était qu'un rêve, avait pensé Noble. Un songe. Te raccroches-tu donc à des chimères, des illusions alors qu'autour de toi, ton monde s'écroule ?
Aujourd'hui ...est un jour important pour moi. Et c'est comme ça que j'ai décidé de le vivre.
« Que sont les Outrepasseurs en fin de compte? Des victimes d’une malédiction? Des gens qui ont dompté leur destin et pris leur revanche? Des exploiteurs d’autant plus féroces que personne ne connaître l’existence de leurs victimes? Qui sommes nous? En fin de compte, si on oublie le luxe de nos Maison et le poids de nos traditions, il ne nous reste qu’une double face: celle de l’homme de de la bête. Un être déchiré en deux, incapable de s’adapter dans le monde actuel, où il ne peut jouer qu’à faire semblant, tels les animaux du Roman de Renart, qui singeaient les puissants en se prenant pour des hommes. »
Fragment d’un journal retrouvé dans les archives du lion House- Auteur Anonyme