Comme une épine enfoncée dans le fond de ma chair. Parfois, je t’oublie. Et puis il suffit d’un geste, d’un mauvais mouvement, et la douleur revient, tellement vive.
Parfois aussi, la douleur n’est pas là et c’est moi qui la recherche. Je la trouve, je te réveille.
La douleur familière.