C à vous https://bit.ly/CaVousReplay
C à vous la suite https://bit.ly/ReplayCaVousLaSuite
— Abonnez-vous à la chaîne YouTube de #CàVous ! https://bit.ly/2wPCDDa —
Et retrouvez-nous sur :
| Notre site : https://www.france.tv/france-5/c-a-vous/
| Facebook : https://www.facebook.com/cavousf5/
| Twitter : https://twitter.com/CavousF5
| Instagram : https://www.instagram.com/c_a_vous/
Invité : Clément Ghys - Rédacteur en chef-adjoint de “M le magazine du Monde
• Sexe, drogue & poésie : l'histoire d'un immeuble pas comme les autres
• Basquiat, Warhol, Patti Smith & Mick Jagger à la même adresse !
• Une plongée dans le New York des années 60
• Clément Ghys nous réveille dans une ville qui ne dort jamais
• “New York Stories”
• Coup de foudre à Manhattan
• Visite d'un immeuble culte de New York
• 222 Bowery : l'adresse culte de Manhattan
+ Lire la suite
"J'aime le cinéma, parce que si, selon Truffaut, "les films avancent comme des trains dans la nuit", je peux courir à toute allure après eux et monter dans un wagon. Essoufflé, mais extatique d'être dans un monde ou les jeunes actrices sont bouleversantes et ou on rêve de les aider, ou les jeunes premiers et premières sont des doubles magnifiés"
Avec ces yeux doux, il se marre. De la vie, Vadim avait choisi de sourire.
« C’est quelque chose d’être au cœur du mouvement, de suivre son rythme, de le chevaucher comme une fidèle monture, d’avancer avec lui, sans savoir où cela nous emmène. Grisant, exaltant, jouissif. Les dictionnaires manquent d’adjectifs pour définir l’état d’esprit de celui qui figure son époque. »
" Pourquoi n'y a-t-il pas eu de grandes artistes femmes ?" Elle s'interrogeait, tout en connaissant les réponses, sur l'absence de femmes dans les musées, sur la nudité comme leur moyen pour elle d'y apparaître.
L'archéologue ne s'intéresse guère aux monuments ou aux trésors, il n'aime rien tant que le petit bout d'argile, signe, signe d'une civilisation oubliée maîtrisant telle technique, il adore les vestiges d'une habitation quelconque, qui l'informent du mode de vie des populations d'antan, les graffitis qui révèlent l'ironie des anonymes.
La peinture devait se regarder droit devant, comme un miroir. Pas en courbant la tête, comme si on était dans une église.
