Détentrice du record de « baisathlon », Chris est maintenant mariée à Joel. Il lui fait découvrir le bowling, le base-ball, elle lui parle de son record et de son enfance traumatisante.
Cette femme est somme toute assez drôle, elle a l’air un peu bête. Le record de 197 hommes ne semble être qu’un prétexte pour évoquer la peur de la routine du couple. D’ailleurs, ça s’éparpille un peu par moments. Elle parle de son passé, de l’attente de son père, et on revient à Joel. Parfois, je ne voyais pas où voulait en venir l’auteur. Mais c’est drôle, même si un peu déstabilisant par moments. Une bonne lecture mais pas inoubliable. J’essaierai peut-être un autre titre de l’auteur…
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— Son amie a rencontré son prince charmant dans une kermesse médiévale. Ce sera au bowling pour Christine. Une histoire d’amour porteuse d’espérance, émaillée de "split", "spare" et "strike". Mais la monotonie prend vite le dessus. L’impression de vivre avec un expert-comptable s’immisce, insidieusement. Christine trompe son ennui en lisant la liste des cours du City College, section anthropologie. Comment en est-elle arrivée là ? Ses cadavres dans le placard, pourtant, ne sont pas ordinaires. Le record concerne sa consommation d’amants : 197 en une nuit tout de même ! On ne se baigne jamais deux fois dans le même fleuve.
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Il s'agit d'un court roman dans chapitres, à lire d'un seul coup, comme une course contre la montre.
Narration d'une femme qui a battu un record de "baisathlon" sans vulgarité no pudeur, dialogue avec son mari qui l'incite et la provoque pour raconter son aventure et la piquer au vif en lui annonçant que son record a été battu.
Oui, 197 hommes en une seule nuit, un fantasme, une utopie, un poids sur la conscience?
Un livre amusant, truculent, ça m'a plu!
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