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Critiques de Cyril Pontet (27)
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Les Chroniques de la Lune noire, tome 8 : L..

Le Glaive de justice est le huitième tome des Chroniques de la Lune Noire de François Froideval (scénario) et Cyril Pontet (dessin). Haazeel Thorn intervient pour secourir Wismerhill dans la nécropole hantée. Un album typique de la série, grandiloquent mais néanmoins plaisant.
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Les Chroniques de la Lune noire, tome 7 : D..

De Vents, de Jade et de Jais est le septième tome des Chroniques de la Lune Noire de François Froideval (scénario) et Cyril Pontet (dessin). Fort de ses succès face à l'Empire, Wismerhill devient Grand Prêtre de la Lune Noire. Afin d'augmenter ses pouvoirs, il décide de se lancer avec ses amis dans l'exploration d'une dangereuse nécropole hantée. Un album typique de la série, grandiloquent mais néanmoins plaisant.
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Chroniques de la Lune noire - Intégrale III

De Vents, de Jade et de Jais démarre comme La Marque des Démons. Au lieu de l’Oracle, Whismerhill rencontre le mystérieux Methraton.

Whismerhill : J’ai des questions, pourriez- vous y répondre ?

Methraton : Oui, mais je ne le ferai pas.

Ben ça valait le coup de dessiner cinq pages autour de cette entrevue avec le “mage ultime” (et modeste par-dessus le marché) pour un tel résultat.

Seul passage à ressortir de l’album, l’initiation de Whismerhill à la prêtrise de la Lune Noire. Le reste du temps, il gouverne son fief… comme dans La Couronne des Ombres. Soit deux tomes consécutifs qui s’étirent alors qu’ils auraient pu être condensés en un seul.





Le Glaive de justice achève la parenthèse du voyage de Whismerhill au pays des morts-vivants initiée lors du volume précédent. Une dizaine de pages dans De Vents, de Jade et de Jais, une vingtaine ici. Presque l’équivalent d’un album complet pour une chasse au trésor anecdotique !

Le reste du volume est centré sur le paladin Parsifal et sa lutte contre l’ordre corrompu de Fratus Sinister. Il n’était pas besoin non plus de s’étaler autant sur le sujet, périphérique. Pire, dans le sillage du preux se glissent des références à Dieu et même une apparition de l’archange Gabriel. D’où ça sort ?!? L’univers des Chroniques était jusqu’ici certes très inspiré Donjons & Dragons et fantasy classique mais apportait sa touche d’originalité à travers la Lune Noire. Et là d’un coup, on se retrouve avec des bondieuseries ultra conventionnelles, qui amènent à penser que la suite de l’histoire ne sera qu’un énième et bête conflit entre Dieu et le Diable.

Donc après deux albums un peu moins denses, en voici un troisième vide et hors-sujet. Dans mon cas, ça a été le moment où la série a commencé à me décevoir, avec l’impression de patauger sans avancer ou alors dans la mauvaise direction.





Les Chants de la négation sont entonnés par une troupe de choristes auxquels on a coupé la langue. Résultat : le silence, le vide.

Rien que du déjà vu dans d’autres albums.

Un énième rituel offre à Whismerhill un statut supérieur, celui de seigneur de la négation, et de nouveaux pouvoirs. Sauf que des épreuves du même tonneau, il en a déjà passé un paquet, ça fait redite.

Une guerre s’annonce contre l’empire, une de plus. Chacun se cherche une nouvelle fois des alliés dans l’affrontement à venir. Tout le monde fourbit ses armes encore un coup. Et l’album s’achève, comme d’autres, sur des armées en route vers la castagne XXL.

Un tome inutile, compilation de moments déjà présents dans les opus précédents. En plus des doublons à répétition, le dessin accuse des traits brouillons.
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Les chroniques de la Lune Noire, Tome 13 : ..

La Prophétie n'annonce rien qu'on ne sache déjà et voit l'affrontement des anciens alliés, Whismerhill et ses compagnons versus la Lune Noire d'Haazheel Thorn.

Encore un changement de style dans le dessin de Pontet, plutôt sympa dans l'ensemble, même si le visage de Wis ressemble de plus en plus à celui d'un Michael Jackson gavé de McDo, réussissant l'improbable pari de paraître à la fois osseux et bouffi.

Comme d'habitude, la moitié du volume est consacrée aux préparatifs de l'affrontement et l'autre moitié à la bagarre. Ce qui est, comme d'habitude aussi, trop long dans les deux cas. Ce tome aurait dû être le dernier avec un découpage un tiers appel aux armes, un tiers baston, un tiers conclusion.

Je n'ai pas ressenti des masses de tension. D'une, on se doute bien que Whismerhill l'emportera sur Haazheel. De deux, la mort de certains personnages ne suscite aucune émotion, moitié parce qu'on les voit à peine depuis pas mal de tomes, moitié parce qu'on s'attend à une tripotée de résurrections pour les relever. De trois, l'intervention de Methraton en deus ex machina – enfin il sert à quelque chose après dix tomes à glander – torpille le caractère épique de la bataille. Quand tu as le “mage ultime” et ses pouvoirs de ton côté, tu triomphes sans difficulté ni gloire.

Un avant-dernier tome ni bon ni mauvais, qui se laisse lire sans atteindre les sommets qu'on était en droit d'espérer après des années à suivre les Chroniques. On se dit que c'est (encore) un tome de plus, qui s'étire (encore) un peu trop en longueur, et qu'il faudra (encore) patienter jusqu'au suivant pour avoir peut-être des réponses qu'on n'attend plus vraiment.
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Les Chroniques de la Lune Noire, tome 12 : ..

Dans La Porte des Enfers, Whismerhill rencontre enfin son père ! Du moins je suppose qu'il s'agit de Whismerhill vu à quel point son visage ne ressemble plus à rien. Quant à son paternel, censé être un prince démon, il lui sort un inattendu “fais ce qui te semble bon et juste, mon fils”. Enfin bon, cette entrevue, on l'attendait depuis longtemps, ça fait plaisir d'y assister, même si elle arrive comme un cheveu sur la soupe en mode deus ex machina.

Alors que Whismerhill devrait s'intéresser à la fameuse porte infernale qui crache des légions démoniaques plein son empire, l'album s'offre des appartés sur la gestion de leurs fiefs par Pile-ou-Face et Ghorghor. Bonne idée de Froideval que de remettre en avant des personnages qui étaient de plus en plus laissés en retrait, mais pas le meilleur moment pour ces parenthèses qui cassent le rythme et auraient été davantage à leur place dans le tome précédent.

Parmi les incohérences, on citera la présence de Parsifal pour refermer le portail des démons, alors que Dieu l'a projeté dans une autre dimension au cours du volume précédent. Au rang des passages inutiles, deux pages dispensables sur Methraton qui une fois de plus se contente de faire acte de présence invisible en se tournant les pouces.

Plus que la fermeture de la porte vers les enfers, objet d'une énième bataille, ce sont les premières tensions avec le culte de la Lune Noire qui sauvent ce titre, correct mais en dents de scie.
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Les Chroniques de la lune noire, tome 11 : ..

Ave Tenebrae s'ouvre sur un Whismerhill découpé en carpaccio par Haghendorf, lequel casse sa pipe dans la foulée. Haazheel Thorn ressuscite (encore) son champion et le place sur le trône impérial. Tada !

Mouais... Autant L'Aigle foudroyé s'achevait sur une image forte qui prenait le lecteur par surprise, autant là... Mis à part Hizin dans le premier tome et Fey dans le troisième, les personnages principaux ont une tendance à l'invincibilité et à la résurrection qui tue toute tension dramatique. Dur de s'attacher à eux quand beaucoup sont relégués au second plan (Ghorghor, Pilou, Murata...) et qu'en plus il ne peut rien leur arriver de grave.

Suite à la victoire de la Lune Noire, Dieu abandonne le monde, catapultant au passage Parsifal et son royaume de justes dans une autre dimension (ce qui causera une incohérence dans le tome suivant, puisque Parsifal sera là quand même). Il a dû abandonner Pontet aussi, parce que Whismerhill est pour ainsi dire méconnaissable, avec un visage de plus en plus lisse.

La suite du volume verra Whismerhill Ier faire ses premiers pas d'empereur et perdre son temps dans une quêtouse mineure (ladite quête étant un placement produit pour le titre Ghorghor Bey des Arcances de la Lune Noire). Soit une demi-fin, puisqu'il reste encore le cas de la Lune Noire et des démons à régler.
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Les Chroniques de la Lune noire, tome 10 : ..

L'Aigle foudroyé n'est pas sans rappeler La danse écarlate avec une bataille qui occupe les trois quarts du volume. Épique et homérique à souhait, plein de mouvements tactiques tout en tension, l'affrontement joue beaucoup des doubles pages pour donner sa mesure graphique.

J'avoue avoir eu un peu peur au long de ma lecture que cette confrontation annoncée comme décisive ne soit qu'une énième baston de délayage. Mais non, il s'agit bien de LA bataille finale, qui s'achève sur un duel entre Whismerhill et l'empereur Haghendorf. À la fin, il ne peut en rester qu'un... et le verdict est inattendu.
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Les Chroniques de la Lune noire, tome 8 : L..

Le Glaive de justice achève la parenthèse du voyage de Whismerhill au pays des morts-vivants initiée lors du volume précédent. Une dizaine de pages dans De Vents, de Jade et de Jais, une vingtaine ici. Presque l'équivalent d'un album complet pour une chasse au trésor anecdotique !

Le reste du volume est centré sur le paladin Parsifal et sa lutte contre l'ordre corrompu de Fratus Sinister. Il n'était pas besoin non plus de s'étaler autant sur le sujet, périphérique. D'autant que dans le sillage du preux se glissent des références à Dieu et même une apparition de l'archange Gabriel. D'où ça sort ?!? L'univers des Chroniques était jusqu'ici certes très inspiré Donjons & Dragons et fantasy classique mais apportait sa touche d'originalité à travers la Lune Noire. Et là d'un coup, on se retrouve avec des bondieuseries qui amènent à penser que la suite de l'histoire ne sera qu'un énième et bête conflit entre Dieu et le Diable.

Donc après deux albums un peu moins denses, en voici un troisième vide et hors-sujet. Dans mon cas, ça a été le moment où j'ai la série a commencé à me décevoir, avec l'impression de patauger sans avancer ou alors dans la mauvaise direction.
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Les Chroniques de la Lune noire, tome 7 : D..

De Vents, de Jade et de Jais démarre comme La Marque des Démons. Au lieu de l'Oracle, Whismerhill rencontre le mystérieux Methraton.

Whismerhill : J'ai des questions, pourriez- vous y répondre ?

Methraton : Oui, mais je ne le ferai pas.

Ben ça valait le coup de dessiner cinq pages autour de cette entrevue avec le “mage ultime” (et modeste par-dessus le marché) pour un tel résultat.

Seul passage à ressortir de l'album, l'initiation de Whismerhill à la prêtrise de la Lune Noire. Le reste du temps, il gouverne son fief... comme dans La Couronne des Ombres. Soit deux tomes consécutifs qui s'étirent alors qu'ils auraient pu être condensés en un seul.
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Les Chroniques de la Lune noire, tome 6 : L..

Changement de dessinateur à partir de La Couronne des Ombres, Olivier Ledroit laisse la place à Cyril Pontet. Je me rappelle, en ces temps jadis du XXe siècle, avoir été désarçonné par le nouveau style sur le moment... et avec le recul, la différence n'est pas si énormissime que ça.

Du côté de l'histoire, ce tome est plutôt pépère, limite mou comparé à la tonitruance de La danse écarlate. Whismerhill se taille un des plus grands fiefs de l'empire... sans qu'on ait trop l'impression qu'il soit un seigneur si puissant que ça. Un peu de diplomatie et de ruse, un peu de baston, beaucoup de banquets, une tonne de personnages ultra secondaires à l'utilité très relative, tout aurait pu tenir en moitié moins de pages.
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Les Chroniques de la Lune Noire, tome 14 : ..

La Fin des Temps marque la fin de... la première saison et non pas de la série qui se poursuivra sans qu'on sache trop pourquoi.

À noter le coup marketing d'avoir sorti ce “dernier” tome sous trois couvertures différentes qui forment un triptyque. Sinon, une couverture XXL sous forme de dépliant, ça aurait été bien aussi. Parce que, sérieux, qui va acheter trois fois le même bouquin ? Les fans ? En reste-t-il à ce stade de la saga ? Les lecteurs de la première heure sont usés depuis des lustres. Quand tu regardes les avis, les critiques, les discussions sur les forums, beaucoup ont commencé à s'essouffler à partir des tomes 6, 7 ou 8 et n'achètent plus les Chroniques que pour avoir le fin mot, sans grande conviction. La lassitude et la déception ont accompli leur œuvre. Quand on en arrive limite à se forcer pour investir dans une BD en craignant un autre tome poussif, c'est pas pour acheter trois fois la même juste pour la couv' !





Qu'y a-t-il de beau sous cette couverture à géométrie variable ?

La fin du monde approche et la Terre vit des heures sombres. Le lecteur aussi, les couleurs des dessins étant très foncées, limite lisibles. Comme prévu, les personnages importants tués au cours de La Prophétie sont ressuscités. L'évacuation de la planète vers un autre monde (donc encore une suite...) s'organise.

L'exode se poursuit au fil des pages, sans qu'on voit les réponses poindre le bout du nez. Les origines de Whismerhill restent un mystère, on n'en sait pas plus sur sa mère, son paternel n'a toujours pas repointé le bout du nez. La relation dudit paternel avec la succube restera un mystère. (Sur certains de ces sujets, faudra acheter le tome 0, En un jeu cruel, qui répond de façon très lapidaire vu la pauvreté de son contenu.) Lucifer est occupé à... on ne sait pas non plus. Pour Greldinard et ses origines mystérieuses, faudra aussi acheter un tome supplémentaire, celui qui lui dédié dans les Arcanes.

J'entends bien qu'il ne faille pas TOUT raconter et laisser une place à l'imaginaire du lecteur, mais là... Autant Greldinard, chacun pouvait inventer ce qu'il voulait pour combler les blancs, mais pour les interrogations autour de Whismerhill et son père, il FALLAIT des réponses ! Presque vingt ans qu'on les attendait ! En plus, Wis traîne avec Methraton et libère l'Oracle, présentés l'un et l'autre comme sachant à peu près tout sur tout. Les réponses, ils pouvaient les donner.

Quand arrive le moment de refermer la BD, on vérifie les numéros des pages des fois qu'il en manquerait à la fin, sauf que non, le compte est bon. Et en même temps, le compte n'y est pas. La fin ne finit rien et ne s'offre même pas le luxe d'être ouverte : elle est juste inachevée.

Tout ça pour ça...
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Les Chroniques de la Lune Noire, tome 9 : L..

Les Chants de la négation sont entonnés par une troupe de choristes auxquels on a coupé la langue. Résultat : le silence, le vide.

Rien que du déjà vu dans d'autres albums.

Un énième rituel offre à Whismerhill un statut supérieur, celui de seigneur de la négation, et de nouveaux pouvoirs. Sauf que des épreuves du même tonneau, il en a déjà passé un paquet, ça fait redite.

Une guerre s'annonce contre l'empire, une de plus. Chacun se cherche une nouvelle fois des alliés dans l'affrontement à venir. Tout le monde fourbit ses armes encore un coup. Et l'album s'achève, comme d'autres, sur des armées en marche prêtes à en découdre.

Un tome inutile, compilation de moments déjà présents dans les opus précédents. En plus des doublons à répétition, le dessin accuse des traits brouillons.
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La guerre des âmes

Une succube, des démons, du cul, des boobs, de la violence, de l'humour potache, soit un cocktail très marqué par l'esprit des premiers albums des Chroniques de la Lune Noire, comme une espèce de spin-off sous acide de la série phare de Froideval – on a d'ailleurs droit, l'espace d'une case, à un caméo de la succube rouquine. Sauf qu'ici les curseurs sont poussés encore plus à l'extrême, sans se prendre au sérieux, tout en déconne décomplexée à la manière du jeu de rôle In Nomine Satanis.

Le scénar est quelque peu décousu, on suit moins une histoire structurée qu'une succession de sketches raccordés entre eux parce que “c'est magique”. M'enfin, la BD fait le taf question détente, le portrait brossé de l'enfer joue assez bien du croisement entre éléments canoniques et fantaisies délirantes, et in fine on suit sans déplaisir les aventures loufoques de Sellenia et de ses deux acolytes démoniaques.

La guerre des âmes devait être le premier volume d'une série, Froideval ayant annoncé à l'époque travailler sur un tome 2, l'album sera finalement un one-shot. Alors autant Les Fées ou Methraton, c'est pas un mal d'avoir arrêté le tir et les dégâts, autant Succubus, je trouve dommage de ne pas être allé plus loin. Il y avait encore matière à raconter sur le fonctionnement de l'enfer sauce Froideval et le personnage de Sellenia pouvait se voir développé dans des directions aussi intéressantes que déjantées.
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Les Chroniques de la Lune noire, tome 10 : ..

Une des meilleures bande dessinée de fantasy, avec une plénitude de personnage et d'actions.



Vous aimez la fantasy, mais vous trouvez les romans trop longs. Cette série est pour vous, surtout les 10 premiers tomes. Le scénario est écrit par Froideval, un scénariste de jeux video, qui sait comment raconter une histoire. Et là, dans le tome 10, on parle d'un affrontement dantesque entre les forces de l'empereur et son adversaire, avec des dragons, des mages, des nains, des démons, etc.



On pourrait comparer à du Tolkien ou du Gemmel, en bande dessinée.



Rien que pour vous dire, j'ai lu les 10 premiers tomes en une seule soirée. Emballant !
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Les Chroniques de la Lune noire, tome 8 : L..

Et on recommence dans cet album. Nous nous retrouvons dans une bataille avec l’armée de Wismerhill contre les morts-vivants, puis Parsifal part en guerre pour rétablir la vérité, celle de Dieu. Et là, très clairement, nous assistons à la création d’armées immenses dont l’objectif sera indéniablement une guerre violente.

Le scénario semble plus clair, mais plus simple surtout, très linéaire. Mais cela ne fait pas beaucoup avancer le récit général, et la compréhension de ce monde fantastique. Je commence à ne plus trop apprécier cet humour décalé et ce style qui manque de sérieux. Malgré tout, le graphisme s’améliore nettement dans cet album dans lequel les scènes de guerre commencent à devenir intéressantes.

Un album qui je pensais allait faire monter d’un cran la série mais il n’en est rien, le scénario moins brouillon est devenu basique.
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Les Chroniques de la Lune noire, tome 7 : D..

Enfin le premier album de la saga dans lequel les pièces du puzzle commencent à se mettre en place. Le récit emmène Wismerhill rencontrer la Lune Noire. Quelques pointes d’humour font leur apparition mais nous sommes loin des albums un peu lourds. Un récit mieux construit donc, qui nous permet d’entrevoir un peu mieux ce qui se trame. Enfin devrais-je dire…

Même au niveau du graphisme, une nette amélioration est là, et ça fait plaisir. Pour un classique de la fantasy française, je commençais à m’ennuyer ferme dans cette série. Ce n’est pas transcendant, mais je continue encore un peu.
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Les Chroniques de la Lune Noire, tome 9 : L..

Neuvième épisode, Wismerhill s’allie, corps et âme à la Lune Noire, le rendant puissant, presque invincible. Un scénario encore simplifié, à sa plus simple expression, des pages et des pages qui n’amènent rien. La guerre se prépare encore. Et l’humour décalé devient pénible, agaçant. Soit c’est sérieux, soit ça ne l’est pas, et là, le mélange ne prend pas, en tout cas pour ma part, c’est définitif, j’arrête. Le graphisme en revanche grimpe encore d’un niveau avec des illustrations toujours mieux travaillées. Mais ça ne suffira pas. Je n’ai pas accroché, trop long à s’installer, trop brouillon.
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Les Chroniques de la Lune noire, tome 6 : L..

Dans cet épisode violent, Wismerhill prend du galon. Il règne sans partage sur un royaume grandissant et devient le pantin de forces bien plus puissantes et dont le dessein n’est pas encore bien défini. Le récit est assez linéaire mais laisse un peu plus de place à une histoire qui se pose enfin, et paraît moins fouillis. Le graphisme est en amélioration par rapport aux épisodes précédents. Même si ce n’est pas encore ce à quoi je m’attends, le dessin est plus sombre, mieux travaillé. Les personnages qui gravitent autour de Wis sont mieux traités pas le scénariste mais aussi par le dessinateur. Nous avons donc ici un album qui peut se définir comme le vrai grand départ de la saga. Un bon épisode même si certains points sont encore à améliorer.
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Chroniques de la Lune noire - Intégrale III

Plaisant à lire, à mon sens, Froideval manque de peu d'atteindre le niveau d'une grande série épique d’héroïc-fantaisy.
Lien : http://www.sceneario.com/bd_..
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Les chroniques de la Lune Noire, Tome 13 : ..

Je suis époustouflé ! Si j'aime la fantasy, c'est avant tout pour le souffle épique qu'elle me semble remettre à l'honneur en littérature et en bande dessinée. Et là, j'avoue être plus que comblé : ces "Chroniques de la lune noire" relèvent vraiment du grand art. Découpage majestueux tout en étant nerveux, propos parfaitement maîtrisé et jamais creux. Le tout mis au récit d'un affrontement qui semble prendre des proportions toujours plus gigantesque. Miam, miam...
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