Cendrars partageait sans doute ses nuits et ses cauchemars avec un bras coupé, Kisling avec la crosse qui lui avait démoli la poitrine, Braque et Apollinaire avec les lames, les scies et les marteaux qui leur avaient défoncé le crâne. Mais les blessures trouvaient des baumes dans les joies et les plaisirs. Il fallait oublier la guerre.