Dana Schwartz

J'attendais ce tome 2 avec impatience, et je ne suis pas décue!



Meme si je préfère le premier tome, c'était un plaisir de retrouver Hazel, et tout son petit univers cadavérique et macabre.



Jai trouvé ce tome un peu long, et parfois ça manquait un peu "d'actions", mais sinon on retrouve toujours cette ambiance macabre comme aime tant dans cette série !



Je n'ai rien d'autre à rien, ce n'est pas un coup de coeur comme le premier tome, mais ça reste une très bonne lecture que je recommande à 100 %

J’ai lu ce roman avec Audrey, du blog Light and Smell, et nous nous sommes très vite étonnées du décalage entre le ton résolument young adult et l’atmosphère très glauque du récit. Non pas que je le déconseille de manière générale aux jeunes lecteurs ; je sais que bon nombre d’ados aiment les films d’horreur et frémiront avec délice en lisant les scènes macabres qui se déroulent de nuit dans des cimetières. Non, ce qui nous a gênées, c’est que nous avons eu l’impression que l’autrice cherchait le juste équilibre entre gore et romance, entre sérieux et légèreté, sans réellement parvenir à le trouver.



Malheureusement, la liste des points négatifs ne s’arrête pas là. Nous avons flairé dès les premières pages l’une des grosses révélations finales. Pour que cela soit une surprise pour les lecteurices, il aurait fallu l’amener avec plus de subtilité. Et, surtout, surtout, il y a un gros problème d’invraisemblance historique. Afin que Hazel puisse mener à bien ses études, l’autrice fait en sorte qu’elle se retrouve seule dans son château (là aussi, sans la moindre subtilité). Or, à cette époque, jamais une aristocrate n’aurait laissé sa fille de 17 ans sans chaperon. Ce n’est absolument pas crédible et ça m’a empêché de m’investir totalement dans cette histoire.



Malgré tout, je suis allée au bout de ma lecture parce qu’Hazel est une héroïne attachante, courageuse et déterminée et qu’on lui souhaite d’aller au bout de son rêve, en dépit de tous les obstacles en travers de son chemin. Autre point positif, Dana Schwartz écrit très bien et a su me happer par moments, en dépit des invraisemblances. Au final, c’est peut-être ça le plus frustrant : Anatomy possédait un potentiel énorme, mais aurait gagné à être plus complexe, plus sombre et plus respectueux de son contexte historique. Malgré tout, je tenterai peut-être de lire la suite, en espérant la trouver plus convaincante !
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J'ai adoré être plongée dans cet univers de médecine et de chirurgie du XIXe siècle que l'autrice maîtrise parfaitement. Sa plume est incroyablement addictive et j'avais du mal à m'arrêter de lire. Le personnage de Hazel est touchant et badass en même temps. C'est une femme courageuse dans un monde sexiste. La romance n'est pas dominante dans le livre mais elle est puissante et profonde. J'ai failli verser ma petite larme. Tout au long de la lecture on a des petits indices pour résoudre les mystères qui planent sur la ville d'Édimbourg et j'ai adoré faire mes petites hypothèses.

Attention aux personnes sensibles au sang car il y a des passages assez gores qui m'ont plus d'une fois donné envie de me cacher les yeux (même si ça sert à rien car l'image est mentale).

Le point fort du roman pour moi c'est l'ambiance : la ville d'Edimbourgh au début du 19e siècle et une héroïne passionnée de chirurgie. Cependant je n'ai pas réussi à m'impliquer dans la romance, et la fin m'a moyennement convaincue. Néanmoins je lirai sûrement la suite, pour voir comment se poursuit l'histoire.

Bonjour, je reviens avec ce livre. J'ai réellement mis du temps à le lire, sincèrement, j'ai jamais autant bloqué, mais la fin est incroyable. Donc, un mal pour un bien. Comme je le dis, j'ai vraiment eu du mal au début, je pense qu'avant de m'accrocher, j'avais déjà lu, 1/4. Cependant arrivé ce moment, j'étais à fond jusqu'à la fin, j'ai vraiment hâte de lire sa suite. J'ai adoré le fait que ce soit d'ancienne époque, et que le passé reprend forme. Je le recommande malgré le début.

On suit Hazel, jeune aristocrate, qui rêve de devenir chirurgienne. Sauf que l’on est au XIX siècle à Edimbourg, donc tout ce qu’elle a le droit d’espérer c’est de faire un bon mariage. Mais elle refuse d’abandonner son rêve et finit par se travestir pour assister aux cours de médecine chirurgicale de son idole et à acheter des cadavres pour s’exercer.



Jack est un jeune résurrectionniste (aka, voleur de cadavres pour le compte de scientifiques et chirurgiens aristocrates) qui déterre et vend des corps pour survivre malgré la dangerosité du métier et les inquiétantes disparitions de ses pairs.



Tous deux vont donc se rencontrer et s’entre aider avant de tomber amoureux, puis soigner les pauvres sur un fond d’enquête de disparitions des personnes les plus précaires de la société.



C’est un livre sympathique qu’on lit sans difficulté. L’ambiance est chouette, dans une Ecosse des années 1810, avec château et ruelles sombres (bien que pas assez poussé à mon goût, on est très loin de l’ambiance Dracula que perso j’adore).



Petit bémol, on nous promet une romance gothique dans le titre du livre qui n’est pas franchement là, c’est un peu moue, on n’est pas plus pris dans la relation que ça, ce n’est pas hyper bien construit. Donc pas besoin de le vendre comme une romance… pour ceux que ça freine c’est un bon point : la romance n’est pas omniprésente et ne prend pas le dessus sur le fond de l’histoire. Ça peut en décevoir d’autre.



La fin n’est pas géniale non plus parce qu’un peu sortie de nulle part (c’est trop rapide et ça part limite sur du fantastique, sans plus d’explication que ça, on nous pose ça là et on se débrouille avec pour y croire…bon)



Malgré ces critiques, ça reste un chouette livre pour passer un bon moment et se détendre, avec une histoire un peu sanglante pour ceux et celles qui aiment ça. D’ailleurs, c’est bien de prévenir que certaines « images » sont bien gores pour les plus sensibles, même si on a lu pire ;). Pour tout ça je recommanderais à partir de 14 ans.



Ah et il y paraît qu’il va y avoir une suite !

Un excellent roman. Le cadre spatio-temporel est réaliste, avec une petite touche de fantastique à la fin avec la potion d’immortalité, j’ai adoré!



L’ambiance macabre et l’intrigue amoureuse qui se met lentement en place sont très bien rédigées. Une écriture facile à lire et addictive!



En plus de m’apporter du plaisir à la lecture de ce livre, Anatomy Love Story m’a appris quelques notions sur la médecine et la chirurgie.



Il est évident que l’autrice s’est beaucoup renseignée sur le sujet de la chirurgie.



Je recommande !

Cette lecture a été plutôt une bonne surprise ! J'ai beaucoup aimé Hazel, une jeune femme qui passe son temps à s'exercer sur des corps quitte à aller les déterrer et qui veut combattre les préjugés quitte à se déguiser en homme.



Le livre se lit rapidement et on ne s'ennuie pas. La romance est très légère, et est comme Hazel, sans fioriture, et c'est très agréable.



Par contre, la fin est pour moi une déception, avec le côté fantastique que je n'attendais pas du tout et que j'ai regretté.

Un second tome a été annoncé et s'il s'oriente vers cette voie, je ne le lirai pas.



La narration est bien sûr simple s'agissant d'un young adult, mais permet de passer un très bon moment.

Pffff ... tellement déçue. J'étais super hypée, on me l'a sur-vendu sur tiktok. J'ai pas du tout accroché.

Enfin, c'est peut-être un peu rude.

L'histoire et la romance sont chouette mais clairement c'est un livres pour les ados. Et je dis pas ça en terme de critique, je pense que je pourrais facilement le conseiller à ma soeur de 14 ans, ce sera parfait.

Mais là, trop culcul, trop facile pour moi. L'histoire est pleine de Deus ex Machina, y'a pas vraiment de grosse intrigues, la fin est assez attendue.

Je ne sais même pas si je lirais le 2, ai-je vraiment envie de savoir la suite ?

Ahhhhh (soupir de satisfaction) une belle découverte !



Après Dracula j'ai continué sur ma lancée de lectures ambiance automne-halloween et me suis lancée dans cette lecture d'Anatomy.



Et j'ai beaucoup aimé ! J'aurais mis 5/5 si certaines facilités dans le récit ne m'avaient pas un peu fait tiquer.

Mais à part cela ce fût vraiment une très bonne lecture.



Déjà j'ai adoré le côté historique. Même si ce n'est pas un roman étiqueté "historique" j'ai vraiment appris beaucoup de choses sur les débuts de la chirurgie.



Les personnages sont bien écrits et sont attachants (chose très importante pour que j'apprécie une lecture).

J'ai été indignée et révoltée pour Hazel écrasée par sa condition de femme a cette époque.

J'ai été choquée du traitement des pauvres et de l'exploitation de la misère humaine via le personnage de Jack.

L'ambiance est très bien décrite, j'étais vraiment dedans.

Le côté SF n'est pas très prononcé et arrive tardivement dans le récit mais est judicieusement utilisée (même si on peut voir venir la révélation finale).



J'ai tellement hâte de découvrir le tome 2 qui sortira en février 2023 (en VO).

1817. Hazel, jeune fille de noble famille écossaise se passionne pour l’anatomie. Profitant du désintérêt de sa mère enfermée dans son chagrin depuis la mort de son fils aîné, Hazel s’inscrit à des cours de chirurgie donnés par l’éminent Dr Beecham. Affublée des vêtements de son défunt frère, elle se mêle aux autres étudiants...Mais difficile pour elle de s’adonner à sa passion alors qu’elle est promise à un autre destin...



À cette même époque, Édimbourg connaît une épidémie de fièvre romaine. La nuit, des groupes d’hommes déterrent en cachette et sur ordre des médecins, des corps fraichement enterrés.



Lorsque Hazel est renvoyée de son cours par l’horrible professeur Straine, elle décide de faire équipe avec Jack qui lui fournira des corps sur lesquels approfondir la médecine et préparer son examen de médecine (en candidate libre). Profitant du départ de sa mère en Angleterre afin de soigner le plus jeune de la fratrie, Hazel installe un laboratoire dans les sous-sols du château ; puis sa notoriété grandissante, un hôpital pour les nécessiteux.



J’ai dévoré ce roman pour ados très original à l’ambiance gothique. Hazel est un personnage féminin fort au tempérament bien marqué et aux grandes ambitions, dans un monde où le patriarcat est roi. Un petit bémol cependant quant au personnage de Jack et à son histoire d’amour qui me semblent peu crédibles. Mais bon, l’intérêt du roman ne réside pas à mon avis ici mais bien dans l’intrigue plus médicale.



Je tiens à saluer également le graphisme de la 1ère de couverture qui est sublime, c’est d’ailleurs ce qui a attiré mon regard en premier !



Petit bonus : sachez que l’École de médecine d’Édimbourg est une des plus anciennes d'Écosse et de Grande-Bretagne (début 16ème S.) et que ce n’est qu’en 1869, qu’une femme a pu suivre les cours de médecine de cette école.

Pour information, un second tome sortira en 2023 et plongera notre héroïne dans la Cour du Roi Georges IV.



Pour les amoureux du gothique, de Tim Burton, de l’histoire de la médecine...

À partir de 13 ans.

Je ne suis pas forcément le public concernant la part de romance, pourtant, il m’intéressait de part l’histoire et la place de la médecine dans celui-ci. Allez je me lance et qu’est ce que j’ai bien fais. Je m’écoute, je savoure et je passe vraiment à un battement du coup de cœur.



J’ai adoré l’histoire. Je l’ai lu à la bonne période : il est vrai que l’automne s’y prêtait bien mais la douceur hivernale pourrait aussi convenir à cette petite pépite. J’ai pu apprécier les histoires de Hazel et celle de Jack séparément d’abord, puis ensemble.



L’ambiance a un petit côté macabre qui n’est pas sans me déplaire. Parler anatomie et médecine dans ce siècle est tout à fait fascinant. Je me surprends a émettre des hypothèses au fil des pensées d’Hazel, a faire le parallèle avec notre époque et à savourer de me dire que beaucoup de choses ont existé en 1817. Le rythme du récit s’intensifie en écho aux battements de mon cœur et me voilà à espérer qu’Hazel s’en sortira indemne car je commence sérieusement à trembler pour elle devant l’ampleur de ce que je découvre.



Je n’avais encore jamais lu de livres qui parlaient de cette thématique et je suis contente de pouvoir me dire que son seul défaut réside dans une fin bien trop rapide. Ouf : on me dit d’en l’oreillette qu’il s’agit en fait d’une duologie. Je reprends mon souffle, mon poul se stabilise.

Une romance gothique des plus originales !
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Alerte Énorme coup de cœur !

Bonjour à vous les amoureux des livres, aujourd'hui, je vous parle d'un roman absolument exceptionnel, de ceux qui viennent vous cueillir comme par surprise, qui peu à peu vous ensorcelent de leurs mots, qui vous plongent dans leur décor et qui emprisonnent à tout jamais votre esprit et votre cœur. Une histoire qui m'aura fait vibrer, frissonner, douter, espérer et aimer. Il s'agit de "Anatomy, a love story" de Dana Schwartz.

Edimbourg, 1817. Férue d'anatomie, Hazel n'a qu'un seul rêve : devenir chirurgienne. Mais cette passion n'est pas du goût de sa noble famille...

Jack lui, déterre des cadavres qu'il vend aux scientifiques pour tenter de survivre dans cette ville où il est trop facile de mourir.

Ils n'étaient pas faits pour se rencontrer, mais lorsque Hazel demande à Jack de lui procurer des corps pour étudier, il accepte...

J'étais dans un premier temps tombée amoureuse de la couverture si belle du roman. A elle seule, elle suffit à résumer si bien les multiples intrigues qui ponctuent ce roman young adult. Puis, j'ai tourné les premières pages et j'ai su...J'avais envie de tourner les pages à toute vitesse pour toujours plus avancer dans la nuit et la puanteur de la vieille ville d'Edimbourg avec Hazel et Jack, et en même temps, je voulais arrêter le temps, ralentir ma progression, effacer ma mémoire pour pouvoir tout recommencer et prolonger mes instants prisonnière des mots et des chapitres de cette histoire.

J'ai aimé Hazel, cette jeune femme forte, déterminée qui croit en ses rêves, qui fera tout pour échapper à un destin tout tracé qu'elle ne peut se résoudre à accepter. J'ai eu un coup de foudre pour Jack, ce jeune homme qui met toute sa rage, toute sa fougue pour tenter de survivre dans une ville aux multiples dangers. J'ai adoré leur relation faite de respect, de pudeur, de passion et d'amour pur et sincère.

Si on s'attend dans ce roman à suivre uniquement une romance gothique, il n'en n'ai rien, ce roman est très sombre et macabre et sonde l'âme humaine, vous conviera à des scènes où la puanteur des corps en décomposition, l'odeur du sang et de la mort s'inviteront dans vos narine jusqu'à vous donner la nausée.

L'auteure est vraiment une virtuose des mots qui de sa plume précise, vivante, tantôt douce ou macabre nous immerge totalement dans l'Ecosse du début du 19ème siècle. C'est bien simple, ce roman je ne l'ai pas lu, je l'ai vu, je l'ai ressenti, je l'ai vécu à travers Hazel et Jack.

J'ai refermé le livre avec des larmes perlant au coin des paupières et pourtant avec un sourire porteur de promesses.

Si vous aimez les héroïnes fortes, les thématiques telles que l'émancipation de la femme, les décors à la from hell et les histoires d'amour impossible, alors je ne peux que vous recommander de succomber à l'envoutement puissant de ce roman.

Pour une lecture d'halloween qui vous fera autant frissonner que rêver, n'hésitez pas un instant.

Pour ma part, je le sais déjà, cette histoire me restera longtemps et viendra encore et encore me hanter au point que je pense rendre certainement une nouvelle visite à ces merveilleux personnages d'ici quelques temps.

Hazel est une jeune fille de bonne famille, appelée à épouser son cousin, afin de conserver le titre de noblesse dans la famille. Mais Hazel n'a qu'une passion dans la vie : la médecine et la chirurgie. Elle a étudié de fond en comble le traité de médecine qu'elle a trouvé dans la bibliothèque de son père, et aimerait un jour en faire son métier.

Jack quant à lui est un résurectionniste : il déterre des cadavres pour les revendre aux étudiants en médecine afin qu'ils puissent étudier l'anatomie.

Lors d'une démonstration de médecine, ils se rencontrent, et sont amenés à se revoir régulièrement.

Hazel veut coute que coute devenir médecin, allant jusqu'à se grimer en homme pour y parvenir. Et Jack de son côté, va tenter de lui fournir des cadavres pour ses études.

Évidemment, il y a une romance là dessous. Mais il y a aussi des références à Mary Shelley dans ce côté Dr Frankenstein.



Les personnages sont attachants, en particulier Hazel, prête à tout pour mener son projet à bien. L'ambiance Edimbourg du XIXe contribue à jouer sur l'atmosphère du roman. Et les disparitions et mutilations mystérieuses de cadavres apportent la touche de suspense qu'il manquait !

J’avoue j’ai craqué sur la couverture de ce roman, j’avais envie de le découvrir d’autant plus grâce à son quatrième de couverture qui donnait envie et qui prévoyait quelque chose d’étonnant. On se retrouve en Ecosse au 19e siècle, Hazel est passionnée par la médecine et ne veut qu’une chose devenir chirurgienne mais dans cette société machiste, elle n’a aucune chance d’y parvenir. Pourtant, elle va insister et défier tous les interdits. L’ambiance est intéressante, on se retrouve dans une sorte de roman historique. Jeune noble, elle a forcément accès à plus de choses que le bas peuple. Elle va réussir à trouver de l’aide grâce à Jack qui lui procure des corps ou des malades pour pouvoir étudier à sa convenance. Même si il y a un fond de romance dans tout cela on ne peut pas dire qu’elle soit énormément développer même si elle est réelle. L’ensemble du roman se focus sur la médecine. J’ai été très étonnée par la fin à laquelle je ne m’attendais pas le moins du monde et je trouve cela agréable de ne pas voir forcément les choses venir dans un roman.



En résumé, Anatomy Love Story est un roman original qui sort un peu des sentiers battus et de ce que l’on a l’habitude de lire. C’est un roman qui parle de la condition des femmes dans la société, la position qu’elles doivent tenir mais il y a aussi une petite dose de surnaturel. J’ai aimé même si il a manqué quelque chose pour me passionner un peu plus, le roman étant quelque peu lent.
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