David Gunn

Sur le site de l'éditeur, ils font référence à Starship Troopers pour présenter ce roman. Violent et sanglant. Et c'est assez bien vu. De mon côté, je n'ai pu m'empêcher de penser au Bourbon Kid. Pour son côté froid, cruel et sans pitié, bien entendu, mais aussi pour une sorte de loyauté singulière qui sort largement des sentiers battus. Elle est cependant bien présente ce qui rend ces héros sanguinaires sympathiques malgré qu'ils soient d'une rare violence, coupables d'innombrables meurtres et tueries. Par contre, au niveau qualité d'écriture, rythme et humour noir, j'ai une nette préférence pour les aventures, bien différentes il est vrai, de notre amateur de bourbon.



Cependant, cette lecture a été très agréable. Même si je ne suis, a priori, pas fan de ce genre de littérature. Ce qui est surtout dû à mon ignorance du genre plutôt qu'à un désintérêt. De ce que j'en sais, il s'agit d'un livre de Science Fiction de qualité où violence, sexe et humour noir se répartissent les rôles avec bonheur. Ce qui m'a plu. Notre anti-héros passe de l'un à l'autre. Question de survie. Il paraît d'ailleurs que l'auteur s'est un peu inspiré de son propre parcours, privé et professionnel, pour le caractériser. Mythe ou réalité ? On a presque pas envie de le savoir. Quoiqu'il en soit, on s'attache à ce personnage car on remarque quelques fêlures sous ses abords brutes et bourrus.



L'univers du bouquin a des côtés Mad Max. De planète en planète, on découvre des villes tentaculaires où la pauvreté et la crasse se taillent la meilleure part du gâteau. On la sent d'ailleurs, cette crasse. Cette lourdeur dans un Empire brutal où l'individu n'existe que comme membre insignifiant. L'armée est la référence. Le reste ne compte pratiquement pas. Que les gens se débrouillent. Dans un tel monde, impossible de ne pas tomber dans une violence banalisée. On s'imprègne de cette ambiance et on se laisse porter par les écrits de l'auteur. Assez facilement.



Cet ouvrage est le premier tome d'une série. Je ne pense pas la poursuivre. Décision due principalement à ma PAL à rallonge. Pas à la qualité du livre et de l'histoire. Peut-être qu'un jour, je me replongerai dans les aventures sanglantes des Aux' et de leur chef.
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Même si Sven est loin d'être un héro dans le sens classique du terme, je ne peux pas pour autant dire qu'il soit méchant... Il a des origines mystérieuses, des capacités surhumaines, tue sans remord (ou presque), crée ses propres règles, ne demande pas la permission mais la prend, a une vie sexuelle active, est insolent, a un humour bien à lui, des principes et aussi "bon cœur". Enfin autant qu'un soldat tuant depuis son plus jeune âge puisse en avoir. Alors oui, Sven est peut-être un anti-héro, mais on ne peut pas dire qu'il soit méchant au sens propre du terme. Je peux même dire que je l'aime bien. ^^



Je ne regrette pas cette lecture qui m'a permis de découvrir la plume de David Gunn qui possède un style vraiment agréable, fluide ainsi qu'un bon rythme de narration.



Pour parler de ce livre de façon plus générale, nous sommes dans de la science-fiction (space-opera) teintée de guerres inter-raciales. Il y a beaucoup de sang, de morts, mais aussi de la manipulation, des tests, de la politique, des scènes de sexe (pas trop crues) et pas mal d'humour noir, ce qui rend les informations un peu plus faciles à digérer.



Parce qu'on en apprend des choses, même s'il y a du positif comme du négatif.

Pour commencer par le négatif, je dirais que parfois certaines idées ne sont pas assez creusées. Comme par exemple la description des Ferox que j'ai trouvé insuffisante pour arriver à vraiment me les représenter, tout comme pour le physique de Sven ou des Aux'. Ou encore la différence entre les Exaltés, les NeoImplantés et les Exarches... Ou alors, je n'ai pas saisi les nuances.. :/



Mais, à côté de ça, j'ai totalement été transportée dans l'univers de David Gunn. Les descriptions sont tout de même là, les scènes de combat plus que vivantes, les idées vraiment intéressantes, l'action omniprésente et la trame logique, complexe et vraiment bien pensée. Ce qui fait qu'on a envie de connaître la suite.



Je suis tombée accro d'un personnage qui n'en ai pas vraiment un : l'arme intelligente de Sven ! Une bonne partie de l'humour noir et grinçant (après son apparition) vient d'elle, même si les réflexions de l'ancien légionnaire ne sont pas en reste.

J'ai aussi beaucoup apprécié son équipe avec Neen, Franc, Shil et Haze. Tous ensemble, ils forment une belle brochette soudée, à fort caractère et avec laquelle on ne s'ennuie pas tout en dégustant l'histoire.



En résumé, un premier tome d'une trilogie qui est fort intéressant, complexe, bien construit, plein d'humour noir, d'intrigues et dont la suite promet. Parce que les aventures de Sven et des Aux' ne vont pas s'arrêter là (normal pour une trilogie vous me direz) et j'avoue, même si ce n'est pas un coup de cœur, que j'ai très envie de les connaître. ^^
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J'ai beaucoup aimé ce livre : le langage nous tient en haleine : railleur, violent, et efficace.



On prends les même et on recommence ! Sven, son flingue parlant, la baston et la mort !



Ce coup-ci Sven et son équipe bossent pour l'U/Libre en tant que "prêt" et atterrissent sur Hékati, une planète qui va finir par mourir, rien ne se passe comme prévu et Sven est bientôt dans un sale état, c'est sans compter sa faculté de régénération...



Un feu d'artifice qui pète dans tous les sens. Nous sommes saturés par les sons, les odeurs et les sensations que nous laisse ce livre.

Sven, ex-sergent de l'armée d'Octo V, est sur le point d'être fouetté à mort pour insubordination sur une planète quelque part dans la galaxie. Mais il se retrouve le seul survivant après une attaque de Ferox, des créatures très dangereuses, imbattables sans grosse artillerie.



Si tout le monde pense qu'elles sont dépourvues d'intelligence, Sven est pourtant arrivé à communiquer avec l'une d'entre elle par télépathie. Grâce à cela et peut être parce que lui même n'est pas à 100% humain et a la faculté de se régénérer, il vivra pendant quelque temps au milieu des Ferox avant d'être récupéré par les troupe de l'empereur d'Octo V.



Cet exploit suscite beaucoup d'intérêt chez les militaires, et malgré ses insubordination et autres insolences, Sven va être mis à l'épreuve et devenir un officier “ Faucheur ”, un groupe d'élite.



Ici commence une aventure de science fiction décapante et pour le moins hardcore (âme sensible s'abstenir). C'est un récit très bien écrit, avec un univers S.F. pour le moins diversifié et original -bourré de trouvailles-, une atmosphère et un style qui colle très bien au “ héros ” anti-conventionnel et bourru qu'est Sven et à sa bande d'auxiliaires (origine du titre de la série), et une action vraiment entraînante et rythmée tout du long qu'on ne lâche pas si facilement.



Entre épopée SF et stratégie militaire (comme on en retrouve parfois dans l'héroic fantasy de Raymond Feist par exemple), Le Faucheur est le premier tome de la trilogie “ Les Aux' ” (déjà parue en intégralité) qui est à recommander absolument aux amateur de SF et pourquoi pas de Heroic Fantasy avec laquelle il partage certains thèmes.



Malgré toutes ses qualités, il faudra peut être l'éviter cependant aux publics les plus jeunes (pas avant le lycée) ou les plus sensibles (sexe et violence sont assez présents et explicites).

Livre acheté au hasard d'une promotion dans un magasin au vu d'un quatrième de couverture un peu alléchant.

C'est de la Sf mais dans le sens très large: un univers Sf où le seul coté Sf vient que l'action se déroule sur d'autres planètes et que certaines créatures et objets sont "extra-terrestres" mais point de science là-dedans c'est juste pour le décors et ça aurait presque pu se dérouler dans un univers de Fantasy pour l'essentiel (y compris tous les étripages à l'arme blanche).

Le héros Sven est un légionnaire très caricatural: fort et efficace il déteste les officiers et d'une manière générale toute hiérarchie, il suit ses propres règles et reste prêt à les faire suivre aux autres de façon violente.

En plus il a un facteur guérisseur qui l'aide bien à survivre.

Pour qui est peu familier avec ces univers ou ce type de personnage, une certaine originalité se dégagera peut être de l'histoire.

Pour les autres....

Sven c'est un Volwerine de l'espace (un gars teigneux très diffcile à tuer).

C'est un Riddick qui au lieu d'une vue dans le noir a hérité d'un factuer guérisseur et d'un bras artificiel.

Et il évolu dans un univers de guerres omniprésentes à la Starship trooper.

Quand aux faucheurs...je suis le seul à y avoir vu une transposition assez basique des SS d'Hitler? (au moins sur les uniformes et la mentalité violente et élitiste inféodés à un empereur)

De ce premier volume il ressort peu de chose sinon quelques pistes pour une intrigue future (du moins j'espère que ces débuts vont un jour évoluer vers quelque chose comme cela semble être le but de leur présence) et une succession de combats de Sven et de ses petits gars (et filles) les Aux.

Le tout raconté à la première personne par Sven lui même dans un langage simple et cru qui va avec le personnage mais parfois un peu simpliste peut être.

En résumé ce livre est comme un épisode pilote d'une série B: on le lit facilement, c'est pas désagréable mais pas inoubliable, pas folement original mais avec quelques bonnes idées, on y retrouve plein de choses déjà vue ailleurs (le héros rebelle, le facteur guérisseur, la lame "laser", ...) et quelques inovations (le flingue intelligent, les ennemis). Avec une question qui determinera en partie l'intèrêt de cette série: comment va évoluer l'intrigue dans les prochains volumes? Car celui-ci pris individuellement n'est pas très novateur mais offre des embrions de pistes succeptibles de devenir interessantes.

Pas indispensables mais pas mauvais (surtout pour un premier volume, certaines saga commençant parfois moyennement pour mieux se développer ensuite..mais pas toujours!!)

Je n’ai pas apprécié « le Faucheur » .

Certes, il y a la une séduisante idée d’avoir voulu créer un space opéra, une grande aventure épique avec grand nombre de personnages et des séjours successifs sur plusieurs planètes.

Il y a aussi de bonnes idées comme le passage dans la tribu des Ferox, leur rôle pour l’instant très mystérieux dans ce conflit et le SIG Diablo, le pistolet intelligent de Sven, doté de parole et de réactions quasi humaines le plus souvent extrêmement amusantes.

Mais j’ai été gêné par le style d’écriture et le manque de complexité des personnages.

Apparemment David Gunn est un militaire, cela se sent dans son écriture.

Son style est brutal et peu recherché.

On sent chez lui un intense plaisir à décrire le monde militaire, sa hiérarchie et son mode opératoire.

On pourrait aussi parler de jouissance primaire à décrire de sanglants combats.

Le héros est une brute ultra virile, une machine à tuer invincible ne s’embarrassant pas de réflexions métaphysiques ou de sentiments très profonds.

Je n’apprécie pas ce type de personnages trop caricaturaux à la psychologie sommaire.

J’ai plusieurs fois pensé à Vin Diesel et aux chroniques de Riddick que je trouvais néanmoins plus abouties avec un aspect religieux plus intéressant.

Ces défauts de style ont nuit à mon plaisir et ne me donneront pas envie de poursuivre le cycle entamé.
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Un début de saga SF entraînante et très fraîche ! L'écriture est directe et efficace. On ne peut qu'apprécier Sven, sarcastique, amusant et totalement immodéré ! L'ambiance nous fait plonger de suite dans cet univers à la fois violent, vif et plein de pep's.

C'est un space opera qui se passe dans un univers futuriste où trois grandes puissances se partagent l'univers. Une Union en possède 80 %, le reste est disputé entre les Exades et puis l'Empereur Octon V. La Terre a envoyé des humains coloniser l'univers depuis tellement longtemps et tellement loin que la planète n'est plus qu'une légende.

Sven Tveskoeg est humain à 98%, cyborg à 2% ce qui lui permet de régénérer rapidement ses blessures. Bonne tête brûlée, il faisait partie de la légion avant de se faire capturer par les Fedex, des aliens qui ne font en général pas de quartier. Lorsque Sven parvient à leur échapper après quelques mois de captivité, il est enrôlé de force par l'empereur pour des missions spéciales.

Voilà un space opera militaire bien bas du front. C'est sûr qu'il y a de l'action, du sexe, de la violence, et ça dézingue dans tous les sens. Mais un peu trop systématiquement à mon goût. J'aime bien le bourrin dans la SF mais il faut aussi, selon moi, un minimum de réflexion sur le système politique, sur les technologies et, comme dans tout style littéraire, des personnages auxquels on peut s'attacher. ici, tout est survolé. Certes il y a un bon humour mais ça ne suffit pas. Ce n'est pas une lecture désagréable, mais c'est plus distrayant que passionnant.

La montagne qui accoucha d'une souris hilare!



Car oui! Dès que j'ai lu la note biographique de l'auteur j'ai eu envie de lire le bouquin: "il a effectué des missions secrètes en Amérique centrale, au Moyen-Orient et en ex-Union soviétique en autres"... Rien que ça*.

On m'annonçait du trash, du sex, de l'humour noir... de la lecture badass. De la mort et de la luxure à chaque page...



Au bilan, j'ai bien ri... de la petite SF militaire bien dans le rang; convenablement écrite avec quelques petites idées sympathoches et pis c'est tout.

Alors oui! le héro, Sven, a une énorme paire de C... il le dit pas mais il se déplace sans doute avec une brouette.

Il tue comme moi je manges un yaourt... il b...se des p..tes depuis qu'il a 15 ou 12 ans (je sais plus). il se rase pas souvent, il pue parfois alors il se lave dans les rivières... c'est un tueur professionnel, un mercenaire, un plus qu'humain qui aime la douleur. Un mauvais regard et t'es mort mais il a bon coeur et suit des principes forts et blablabla... Sa seule amie, c'est évidemment la mort... et à la fin tu bailles malgré tous les proverbes sinistres rigilos.



Bref, si vous voulez un livre de guerre trash et dérangeant; lisez Sniper de Pavel Hak.



*Sérieux Bragelonnes, dans le genre putaclic littéraire lol.
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Ce premier opus de la saga, Les Aux’, se révèle être une très bonne surprise compte tenu de ma réticence des premières pages.



La plume fluide et brute de décoffrage convient parfaitement à l’univers militaire et musclé que nous fait découvrir David Gunn. Il nous plonge dans une atmosphère d’opérations militaires et d’infiltrations, en nous donnant la possibilité de découvrir comme il se doit les lieux où se déroule l’action. Ceci est possible grâce à une grosse prise de risque sur l’intrigue. David Gunn, choisi de consacrer la première partie du livre à la découverte du personnage principal. En faisant cela, il prend certes, le risque de perdre le lecteur en ne lui fournissant pas d’éléments pour raccorder l’histoire, mais s’assure de procurer une immersion pleine et entière.



Le personnage principal et l’univers deviennent ainsi facilement accessibles ; et, une fois dépassé le stade de la découverte, on est parfaitement prêt à attaquer les choses sérieuses.



Le seul petit bémol se positionne sur quelques scènes de combats retranscrites d’une manière un peu brouillonne, ce qui ne permet pas de bien les visualiser.



Sven, le personnage principal nous entraîne dans son sillage via ses missions et ses rencontres. Il est notre hôte et l’on va appréhender, en même temps que lui, la situation politique, surtout les complots qui se trament en arrière-plan, et dont il s’avère être un pion pas aussi docile que cela.



L’auteur nous fait prendre notre temps. Si au début, on peut se demander où l’on va exactement, on se rend vite compte que la question finit par ne plus se poser tant l’enchaînement général coule de source.



À ceux qui aiment les intrigues fondées sur le cheminement du personnage principal, je recommande ce premier opus des Aux’ qui est un bon représentant du style.
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Une histoire de plus qui ne m'a pas convaincu. Certes ce livre peut plaire pour un publique plus jeune. Mais pour un lecteur assidu tel que moi on est vite déçu par ce mauvais space-opera. Pourtant le côté bourrin du personnage avait tout pour me plaire. Cela me faisait un peu pensé à du David Gemmell version futuriste. Seulement après la première partie du premier livre, on s'ennuie ferme. C'est répétitif, sans la moindre valeur narrative. En résumé on s'ennuie ferme malgré l'action omniprésente. Cela faisait longtemps que j'hésitais à acquérir ce livre, car Bragelonne est de moins en moins réputé pour sa finesse de choix littéraire. J'espérais me tromper. Mais une fois de plus j'avais bien jugé cette œuvre dont le seul point positif est une lecture fluide. Un livre vite lu et vite oublié...

c'est un coktail d'action et d'action, le tout saupoudré d'un peu de sang, de dialogues acérés et d'encore un peu d'action. De la littérature bourrine.



ma grande réserve réside dans le style de l'auteur: pages entières de phrases courte style: "Sven entre. Il s'assoit et regarde le général avec un grognement. il ne dit rien. Le génral le regarde. " ect ect ect... C'est très lourd au bout d'une quarantaine et après 100 on a l'impression de virer au débile profond. Je posterai une citation si j'y pense, n'ayant pas le livre avec moi.



Sinon l'ambiance et la trame de fond n'est pas si mal, on se retrouve avec un monde qui ressemble un peu au film "les chroniques de Riddick".

Zven est en vacances prolongées ; sur la planète mère du système de l'Alliance il est censé se reposer chez un couple d'amis, les parents d'Aptitude.

Censé parce que comme à son habitude notre héros attire les ennuis encore plus que les femmes. Entre défense de sa jeune protégée, excursion meurtrière à Farlight, un coup d'état, une rébellion, un otage, une exécution et une bataille rangée : les vacances ne seront pas de tout repos...



(la suite ?)
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Le premier tome est l'un de mes coups de coeur lecture pour le genre SF. C'est donc tout naturellement que je me suis précipitée d'aller acquérir le deuxième volume pour retrouver Sven et sa troupe des Aux's, impatiente de découvrir la suite de leurs aventures.

Alors oui, çà fait plaisir de les retrouver et de retrouver le style si particulier de David Gunn.

Mais pourtant, et bien que la trame de fond importait peu dans le premier tome et servait surtout de prétexte à de violentes bastons, on commence à ressentir un léger manquement au niveau de la structure...
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babelio_id:Gunn-Les-AuxTome-1--Le-Faucheur/118785

isbn:9782352943624

babelio_id:Gunn-Les-Auxtome-2--Offensif/122352

Mon livre favori. C'est le livre qui m'a fait adorer la science-fiction dans les livres. Le personnage est super passionnant l'histoire et son passé est super bien travaillé. Le livre contient certaine scène explicite en rapport avec le sexe. La parole était "crue" se qui donnait un charme au livre. Les endroits où se passait étaient hyper bien travaillés que se soit les pays le monde. J'ai hâte de pouvoir me payer le dernier tome de cette trilogie.

Mon livre favori. C'est le livre qui m'a fait adorer la science-fiction dans les livres. Le personnage est super passionnant l'histoire et son passé est super bien travaillé. Le livre contient certaine scène explicite en rapport avec le sexe. La parole était "crue" se qui donnait un charme au livre. Les endroits où se passait étaient hyper bien travaillés que se soit les pays le monde.

Distrayant



Un roman sans prétentions. Se lit rapidement sans se prendre la tête. Un gros dur plein de muscles qui guérit de ses blessures affronte ses ennemis dans un sacré carnage. Voilà Swen! Un vrai militaire !