David Hine parlant du comic, Days Missing
Plains-les pour ce qu’ils étaient. Pas pour ce qu’ils sont.
- Dès mon premier stage, je voulais me battre pour la vérité et la justice.
C'est toujours le cas. Bien plus que tu ne l'imagines.
Mais la plupart du temps, un avocat navigue dans les zones grises.
Le bien absolu contre le mal absolu...
... ça n'arrive pas très souvent.
Pour te trouver c’est facile, il n’y a qu’à suivre les cadavres de rat.
C'était une belle nuit, même avec la pollution lumineuse nocturne, les étoiles étaient magnifiques, comme si elles avaient été en représentation juste pour moi.
Les monstres sont parmi nous. Mais ça n'est pas grave parce qu'il y aura aussi toujours des gentils et parce qu'au bout du compte, le bien l'emporte toujours.
L'ennui suit l'ordre et précède la tempête.
- J'y crois pas. Non mais, tu t'entends ?
"Elle sait."
Tous les assassins de l'histoire ont une mère qui est convaincue que leur fils est un ange.
- Faux. J'ai rencontré des parents de tueurs.
Même s'ils ne se l'avouent pas, ils savent quand leur gosse a fait quelque chose d'aussi terrible. Ça leur pèse sur l'estomac comme du plomb.
Cette femme croit vraiment que son fils est innocent. Elle n'a pas l'ombre d'un doute.
- Dieu n'est pas dans cette pièce.
Il ne se cache pas dans le noir.
Il est dehors, Amos.
En plein jour.
- Tu ferais bien d'être sûr de toi.
- S'il est coupable, je perdrai. Et je n'en mourrai pas.
Mais savoir son fils condamné à mort parce qu'il n'a pas été assez bien défendu...
Je ne m'en remettrai pas.
Pas question que je laisse tomber, Foggy.
—Bon sang, qui c’est, ça ?!
—Ca, c’est M. Souris. Il a été prêté par la CIA. Il a ce nom depuis qu’il a décapité une souris vivante avec ses dents pour intimider un suspect.