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3.07/5 (sur 7 notes)

Nationalité : France
Né(e) à : Maroc , le 05/02/1934
Biographie :

David Max Benoliel est un écrivain français.

Né d'un père juif de Gibraltar et d'une mère catholique espagnole, il naît citoyen britannique dans un Maroc alors sous protectorat français.

Il obtient une licence en droit en 1956 à Casablanca. Inscrit au barreau de Marrakech, il s'installe à Agadir où il sera un des survivants du séisme du 29 février 1960.

La marocanisation totale du système judiciaire l'amène à s'installler en France en 1965. N'étant pas de nationalité française, l'accès aux barreaux français lui est interdit.

Il obtient la nationalité française en 1971 et s'inscrit au barreau d'Aix-en-Provence en juin 1973.

Avocat honoraire depuis 2001, il est installé avec son épouse sur la côte atlantique, à Vaux-sur-Mer, depuis 2004.

Il commence à s'intéresser à se faire éditer à l'âge de la retraite, 68 ans.

Depuis, il a publié onze ouvrages dont sept romans. "Le jeu des assassins" a eu le prix du Salon du Livre de Royan en 2012.

Il a donné quelques conférences sur des thèmes philosophiques et littéraires dans des cadres associatifs.
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Source : Wikipédia
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Bibliographie de David Max Benoliel   (15)Voir plus

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Citations et extraits (8) Ajouter une citation
Il n’était pas de ceux qui s’enorgueillissent d’être sur pied chaque jour avant l’aurore. Le sommeil était pour lui une nécessité biologique qu’il ne boudait pas. Il lui arrivait – pas très souvent – de se réveiller tôt. Son soin le plus important était chaque fois de ne pas troubler le sommeil de sa femme et il se glissait hors du lit avec des précautions de chat ne voulant pas effrayer un moineau.
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J'ai appris à écrire des romans policiers en lisant des romans policiers. C'est à peine une plaisanterie : celui qui aime écrire des romans et qui lit des romans policiers finit presque toujours par en avoir des démangeaisons au bout des doigts.
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— Papa n’est pas rentré ?
La voix était fraîche et sonore, d’une tonalité encore adolescente, avec des trilles argentins d’enfant dans les aigus. Celui qui n’aurait qu’entendu la voix sans avoir encore porté le regard sur elle aurait été surpris de l’image de femme prête à éclore qui était celle de Flavia.
C’était une grande jeune fille, très blonde, aux yeux gris à peine bleutés. Sa chevelure était tressée en une natte qui lui descendait à la taille. Une taille fine, mais qui se raccordait aux hanches par de longs dorsaux fuselés révélant la sportive.
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Elle ne savait pas depuis combien de temps elle était là et sa montre lui avait été enlevée. Elle avait vu à la télévision des reportages concernant des enlèvements par des maniaques, des séquestrations prolongées, des sévices de toutes sortes. Ses vêtements de sport étaient toujours sur elle, ils paraissaient intacts, cependant, non sans crainte elle voulut vérifier si elle n’avait pas été violentée.
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Une enquête sur un crime c’est, surtout lorsque vous n’avez aucun élément de départ, une histoire que vous réinventez. Le terrain doit être le vôtre. Ne vous satisfaites pas de ce que d’autres ont vérifié : vérifiez, contrôlez et mieux encore, chaque fois que cela sera possible, faites-le vous-même. 
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Emma était blanche et blonde comme sa fille ; une femme petite à la silhouette séduisante comme ces actrices américaines des années 40, d’une santé bonne, mais qui nécessitait une certaine prudence. Elle pensa en admirant la solidité élancée de sa fille : « Elle ressemble à son père. »
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Son regard n’était pas seulement beau, il était vif, inquisiteur, intelligent ; celui d’une chasseresse. Elle était grande et mince, la minceur musclée d’une sportive aux courbes harmonieuses. Elle disait d’elle-même : « Je ne serais pas mal si j’avais plus de poitrine. »
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Mon cher, dans la police criminelle, la cravate est un repère essentiel : de celui qui n’a pas l’intelligence de choisir une cravate sans se tromper, on ne peut attendre qu’il ait la pénétration d’esprit nécessaire pour résoudre une affaire complexe.
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