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Critiques de David Stuart Davies (22)
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Sherlock Holmes : Le livre des morts

D'habitude, mes livres nouvellement achetés ont tendance à traîner sur mes étagères durant 2 ans au moins, sauf pour certains... Ce pastiche holsmésien fait partie des petits privilégiés du "aussitôt achetés, aussitôt lus".



Après l'excellent "Un certain docteur Watson" qui se terminait par ce-que-je-ne-peux-pas-vous-dire, je me demandais comment l'auteur allait négocier cet "après M".



Tournant bien négocié, l'auteur n'a pas versé dans le fossé, bien que je lui reproche de ne pas nous en avoir dévoilé un peu plus sur un personnage qui pouvait être agent double ou triple. Là, ça aurait nécessité un petit éclairage de ma lanterne.



L'ambiance est un brin "fantastique" avec une séance de spiritisme à laquelle le frère de Sherlock, Mycroft, a demandé de participer pour démasquer le charlatan qui la pratique.



Sherlock, aidé de son fidèle Milou... heu, Watson, y rencontre un personnage inquiétant - Sebastian Melmoth - obnubilé par la vie après la mort.



Peu de temps après, un meurtre est commis au British Museum et un papyrus égyptien censé donner la vie éternelle a été volé. *musique des dents de la mer*



L'enquête est rythmée, laissant peu de place aux temps morts, surtout avec l'arrivée d'une cliente : son papa, l'archéologue sir Alistair Andrews, s'étant fait enlever. Elle veut retrouver son papounet, la demoiselle ! En tout cas, elle sait ce qu'elle veut et elle perturbe le détective de par son caractère assez agressif (mauvaise semaine ?).



Holmes et Watson, tels deux chiens de chasse, se mettent sur la piste de Sebastian Melmoth, l'obsédé de la vie éternelle, mais ils découvrent que celui-ci est raide et froid.



Tiens donc... Bizarre, bizarre, comme c'est bizarre !



Rebondissements, enquêtes, morts, fausses pistes, pièges, sans oublier l'ombre d'un prêtre égyptien qui aurait découvert la vie éternelle...



Les personnages de Holmes et Watson sont toujours fidèles, bien campés, Holmes gardant par devers lui beaucoup d'indices, comme l'original.



Le fantastique n'est qu’apparent puisque tout s'explique aisément.



Défauts ? Deux. Le premier, c'est qu'il manque l'ingrédient Jamesbondien du premier ouvrage, à savoir Watson en espion de Moriarty : ça donnait du piquant car on ne savait pas ce qu'il allait faire.



Le second ? Trop court... Y'a pas un troisième tome, là ? Non ? Dommage.


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Sherlock Holmes : Le livre des morts

Retrouver les personnages de Arthur Conan Doyle a été un véritable plaisir grâce à ce livre. Ajouté à cela, un respect total que cela soit des personnages, du fonctionnement, de la structure des enquêtes à la Sherlock Holmes dans cette reprise... cela est un vrai régal



150 pages d'un récit où l'on suit les pérégrinations de Sherlock Holmes et son fidèle compagnon, le Dr Watson sur les traces d'un livre pouvant ressusciter les morts. Une plongée dans l'histoire égyptienne, le paranormal... et une fin à la Sherlock Holmes (Watson comme toujours ne comprend pas tout).



Seul bémol : Découverte des coupables trop aisée... cela gâche vraiment le suspens Un récit trop court, pas assez alambiqué pour nous perdre comme savait le faire Arthur Conan Doyle :LolLolLolLol: (oui j'aime qu'on fasse compliqué ( )
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Sherlock Holmes : Un certain Dr Watson

Hérésie ! Sacrilège ! Blasphème ! Profanation ! Outrage ! À l'assassin ! Au meurtrier ! Justice, juste Ciel ! Je suis perdue, je suis assassinée, on m'a coupé la gorge, on m'a dérobé mon argent... (1)



Pardon, je voulais dire "on m'a dérobé mon cher docteur Watson" !



Rassurez-vous, ma lecture fut des plus agréables, mais j'avoue que j'aurais pu crier tout cela en découvrant ce chouette pastiche holmésien...



Pourtant, c'était pas gagné d'avance de chambouler le canon (l'ensemble des aventures de Sherlock Holmes écrites de la main de Sir Arthur Conan Doyle - 4 romans et 56 nouvelles, publiées entre 1887 et 1927) et de faire de ce cher docteur Watson un homme à la solde du professeur Moriarty, le Napoléon du crime !



QUOI ? Ah, j'entends que certains se sont étranglés à cette idée un peu hérétique, à cette vision pour le moins dérangeante.



L'auteur n'est pas le premier à me faire crier : Nicholas Meyer et sa "Solution à 7%" où le professeur Moriarty n'était qu'une projection de l'esprit drogué de Holmes m'avait déjà scié et Michael Dibdin m'avait tué avec son "Ultime défi de Sherlock Holmes".



Ici, je dois dire qu'une fois la surprise passée, le scénario tient la route et m'a emballé.



Le docteur John Walker, qui n'est pas "Texas Ranger" mais médecin militaire en Afghanistan, s'est fait radier de l'armée pour avoir tutoyé jusqu'au bout une bouteille de Cognac. Hips ! Sans doute est-il parent avec le célèbre Johnnie Walker...



C'est lors de son voyage de retour qu'il tombe entre les mains du réseau criminel de Moriarty, qui le rebaptise "Watson" et lui confie la mission d'espionner Sherlock Holmes, un jeune détective dont la réputation ne cesse de croître à Londres.



Watson n'a pas trop envie, mais on ne dit pas "non" à Moriarty, sinon... Couic ! Et puis "Plouf dans la Tamise".



Moriarty, la Némésis de Holmes... Moriarty, un homme intelligent qui a sombré du côté obscur de la Force, nous montrant ce que Holmes aurait pu devenir s'il y avait succombé, lui aussi.



Moriarty, qui, tel un marionnettiste, tire les ficelles de tous ses pantins, dont Watson. Ce Napoléon du crime, qui, tel un scénariste diabolique, écrit l'histoire qu'il veut voir jouer. Tout est prévu... Même l'adresse du 221b. Tout, je vous dis ! Ça fait froid dans le dos, croyez-moi. J'ai poussé quelques "oh, mon dieu" ou "Gottferdom" d'exclamation.



Tel un Dieu qui déciderait de s'inventer un monde, Moriarty le crée de toutes pièces, décidant de qui jouera quoi.



MAIS ! Si les pantins sont sans vie quand le marionnettiste ne tire pas les ficelles, si les personnages de papier n'ont pas de vie propre en dehors de ce que le scénariste leur fait réaliser (désolé, monsieur Pierre Bayard), les créatures de Dieu possèdent une chose : le libre arbitre ! La capacité de réfléchir et d'agir en dehors de tout contrôle.



Voilà pourquoi l'exemple d'un Dieu s'imposait pour comparer Moriarty, plus qu'un scénariste ou marionnettiste...



David Stuart Davies n'est pas un novice dans le domaine de Sherlock Holmes, loin de là. Ceci n'est pas son premier livre, il maîtrise le sujet et son livre est un régal.



Ses personnages sont plausibles, canoniques et j'ai bien aimé les quelques petites confidences de Holmes sur l'amour et le sexe.



L'alternance entre le récit en lui-même (du narrateur) et les extraits du journal de John Walker ajoutaient de la clarté dans le récit, une alternance de point de vue des plus intéressantes à lire, le changement de police de caractère accentuant encore un peu plus le côté "autre récit".



Lecture "confort" aussi en raison de l'interligne 1,5 entre deux paragraphes. Plus clair et mes yeux ne s'en portent pas plus mal.



Bien que j'ai eu droit à une resucée de "Une étude en rouge" et une partie du "Signe des quatre" que je connaissais, le fait qu'ils soient revisités fut une agréable surprise. Bien vu !



Par contre, je me pose des questions sur un personnage... En est-il vraiment ou n'en est-il pas ? Agent double ou triple ? J'espère avoir la réponse dans le tome suivant.



Alors ? Watson utilisera-t-il son libre arbitre ? Holmes est-il aveugle ? Que va faire Moriarty ? Et comment tout cela se terminera-t-il ?



Vous le saurez en lisant "Les Nouvelles enquêtes de Sherlock Holmes", en vente dans toutes les bonnes librairies.



Recommandée par une éleveuse de polars en tout genre - dont un sacré cheptel de polars holmésiens font partie du troupeau.



Mais cet avis n'engage que moi...





(1) Extrait de "L'Avare" de Molière à partir de "Justice, juste ciel" et jusque fin premier paragraphe.




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Sherlock Holmes : Le livre des morts

Je ne suis pas, loin de là, une spécialiste de Sherlock Holmes, mais j'ai toujours aimé le charme so british qui s'en dégageait.

Et là, avec "Sherlock Holmes, le livre des morts", je n'ai pas été déçue.

Le célèbre détective, aidé de son non moins célèbre acolyte, enquête sur le vol d'un papyrus au British Museum, et sur la disparition d'un archéologue, Sir Alistair Andrews. Bien vite, il découvre que la quête des malfaiteurs est celle de retrouver le livre des morts, qui donnerait la vie éternelle, et bien vite, il a dans le colimateur un dénommé Sebastian Melmoth, mais celui-ci meurt dans un accident de chasse...

Mystères, rebondissements, trahisons, coups de théâtre, faux semblants et déductions fulgurantes sur fond de mythologie égyptienne, tous les ingrédients sont là pour passer un très bon moment , le tout parsemé de ce flegme et de cet humour inimitable.

J'ai vraiment eu l'agréable impression que l'esprit général de l'oeuvre de Conan Doyle a bien été respectée et que les personnages sont fidèles à eux-mêmes.

Une lecture qui m'a donnée très envie de me plonger dans les enquêtes de Sherlock Holmes et autres dérivés.

Je remercie chaleureusement Babelio et sa masse critique ainsi que les éditions Fetjaine pour m'avoir permis de découvrir ce livre.

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Sherlock Holmes : Un certain Dr Watson

Un certain Docteur Watson est l’un des deux seuls romans de David Stuart Davies qui ait été traduit en français. Il s’agit ici d’un roman apocryphe. La différence est grande avec Le livre des morts. Mieux vaut ne pas lire la quatrième de couverture et se laisser porter par ses impressions et déductions pour découvrir ce que l’intrigue va dévoiler.



Une fois n’est pas de coutume puisque c’est de Watson dont il va être essentiellement question. Sans faire de révélation intempestive, l’auteur lui prête un rôle très éloigné de ce que le Canon avait prévu. Il va être question de Sherlock mais aussi de Moriarty, de Moran, et de Mycroft sans oublier Lestrade, Gregson et Mrs Hudson… le programme va donc être chargé.



Le roman développe une histoire à tiroirs qui offre des références, ou plutôt utilise plusieurs romans et nouvelles du Canon : Une étude en rouge, Le Signe des quatre, L’interprète grec, Le dernier problème et La Maison vide, sans oublier qu'il donne sa propre interprétation du grand hiatus. Les adeptes pourront crier au scandale, mais pourtant l’auteur fait de son mieux pour créer quelque chose qui offre de surcroît beaucoup de controverses. Il y a ici matière à relire le Canon différemment.



L’histoire et le style sont plutôt plaisants et nous sommes vraiment pris dans un scénario immersif. Le début est long et manque de dynamisme. Il faudra donc s’accrocher, mais l’effort, tout relatif, en vaut la peine. Le roman a beaucoup d’ambition. Du coup, il utilise des personnages qui ne peuvent être laissés de côté mais dont la prestation n’est guère utile (Moran) ou convaincante (Mycroft).



Osé et iconoclaste, ce roman s'adresse aux adeptes qui auront lu le Canon et désirent le relire avec une nouvelle perspective. Un bon cru, qui mérite le détour mais à condition d’accepter le parti pris de l’auteur.
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Sherlock Holmes : Le livre des morts

Attendue de longue date, cette lecture s’est révélée aussi plaisante que le laissait supposer sa couverture. David Stuart Davies propose un ouvrage apocryphe atypique et assez nerveuse.



Le style de l’auteur est contemporain, très différent de celui du Canon. Il ne faudra donc pas ici s’attendre à un respect de la forme, ni du fonds d’ailleurs. L’ouvrage à une identité propre. Il débute par une enquête simple, qui permet de faire intervenir Mycroft, tout en posant des jalons pour la suite. Hélas, les allusions de Watson permettront aux lecteurs les plus expérimentés d’anticiper une partie de la suite.



Il est impossible de prévoir toute la suite mais ses grandes lignes n’étonneront guère. Cette précision a toute son importance car le roman, est construit d’une manière assez originale. Le moment le plus intéressant reste l’enquête qui cédera ensuite sa place à un dénouement qui prendra la forme d’une course-poursuite. Il est alors impossible de décrocher. Bien que cousue de fil blanc, la poursuite réservera quelques surprises et un clin d’œil au Signe des quatre. Il ne s’agit, bien évidemment, pas de la seule référence faite ici, aux écrits de Conan Doyle...



Sherlock Holmes et Watson vont devoir faire face à une cliente à la personnalité bien trempée afin de retrouver une relique égyptienne : Le livre des morts. Le roman est donc l’occasion de revenir sur l’engouement du XIXème siècle pour l’Égypte, tout en proposant une approche toute sherlockienne… difficile d’en dire davantage. Mais tout cela est plaisant et sympathique (ah les momies… l’effet est toujours garanti) !



Sans être fidèle aux écrits originaux et tout en basant son intrigue sur des événements assez convenus, ce roman tient son lecteur en haleine. Le style de l’auteur et surtout les références à l’Égypte devraient séduire plus d’un adepte du grand détective. Les amateurs de steampunk devraient également trouver ici leur bonheur.
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Sherlock Holmes : Un certain Dr Watson

Il m'a fallu quelques jours avant de pouvoir mettre au point cette chronique, tant cette lecture a été un énorme coup de coeur et m'a littéralement scotchée !



Holmésienne devant l'éternel, j'avoue avoir tremblé en lisant le résumé ! Quelle audace de revisiter ainsi le Canon ! Mais au vu des nombreux avis positifs qui émanaient de la blogosphère et étant donné que je vais prochainement recevoir le deuxième tome grâce à une Masse Critique Babelio, je me suis lancée.



Nous rencontrons donc John Walker, médecin militaire à la dérive en Afghanistan. Un soir, il en a ras-le-bol de voir mourir tous ces jeunes soldats, il décide qu'une bonne cuite au cognac est la solution idéale (mais pas à 7% ! ^^). Résultat : emprisonnement, traduction en cour martiale et renvoi manu militari au pays... Mais sur le bateau, notre bon Docteur rencontre un homme chargé d'un "recrutement" un peu spécial : celui du terrible professeur Moriarty, le Napoléon du Crime ! La nouvelle mission de Walker, désormais Watson : espionner Sherlock Holmes, jeune détective ambitieux, devenir son ami et l'empêcher de mettre son nez dans les affaires du distingué Professeur...



J'admire l'auteur, pour sa manipulation du Canon ! Quel talent de réussir à remodeler à sa guise les premières enquêtes du célèbre duo (Une Etude en Rouge, Le Signe des Quatre, L'Interprète Grec et Le Problème Final) sans en perdre la substantifique moelle et surtout en étant cohérent de A à Z ! Souvent, je me suis demandée comment l'auteur allait adapter tel ou tel détail et, à chaque fois, me voilà bluffée ! On se rend compte aussi, à travers ce premier tome, de la main mise extraordinaire de Moriarty : on ne peut rien lui cacher, il voit tout, il sait tout ! Le problème, pour lui, c'est que Watson va réellement s'attacher au détective... Les personnages sont superbement retranscrits et collent parfaitement au Canon, même si certains nous réservent quelques surprises... Une réelle précision dans les détails, une écriture fluide et très agréable à lire, un point de vue différent de tout ce que l'on a pu lire jusqu'alors, de l'action, des déductions : un cocktail explosif pour une série que je ne manquerai pas de suivre tant elle m'a marquée par son premier tome !
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Sherlock Holmes : Un certain Dr Watson

Il y a un petit temps que cet auteur m’attirait. Je n’ai donc pas hésité à postuler pour ce livre lors de la dernière Masse Critique sur Babelio. Et Je ne le regrette pas.

David Stuart Davies est reconnu comme un spécialiste de Sherlock Holmes. Il s’amuse donc à mêler le vrai et le faux dans ce roman original. Il imagine ni plus ni moins que le Dr Watson s’appelle en réalité Walker et est payé par Moriarty pour espionner Sherlock. Rentrant d’Afghanistan, il n’a jamais entendu parler du célèbre détective et désargenté, accepte sans trop rechigner le pacte que lui propose l’ennemi juré de Holmes.

Il fallait oser s’attaquer à un symbole comme Watson, ce Candide, âme de la saga holmésienne. DS Davies n’a pourtant pas hésité. Et son roman est une réussite. Le style est respecté, l’ambiance et l’esprit rendent hommage à Conan Doyle, les personnages sont plausibles… et j’ai goûté l’alternance de point de vue entre le journal intime de Watson et le récit en lui-même. Les deux étant rédigés dans deux polices différentes.



On retrouvera ici un peu du « Signe des quatre » un peu de « Une étude en rouge », un peu de… vous le découvrirez vous-mêmes ! Et beaucoup de liberté prise. Mais le tout reste cohérent, respectueux de l’œuvre et terriblement original. Une lecture vraiment agréable qui donne envie de découvrir la suite imaginée par l’auteur.

Spécialiste ou non de Sherlock Holmes, chacun trouvera un réel plaisir dans cette lecture.

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Sherlock Holmes : Le livre des morts

À la demande de son frère Mycroft, Sherlock Holmes se rend à une séance de spiritisme pour démasquer un faux médium. Il y rencontre un personnage inquiétant, Sébastian Melmoth, un spirite obnubilé par la vie après la mort. Peu de temps après, un meurtre est commis au British Museum, où un papyrus égyptien a été volé. Celui-ci contiendrait le secret du Papyrus des morts, censé donner la vie éternelle. L'enlèvement de l'archéologue sir Alistair Andrews met Holmes et Watson sur la piste de Sebastian Melmoth, mais ils découvrent que celui-ci est mort et enterré. À moins que cette mort ne soit qu'une mise en scène.



Une enquête passionnante, pleine de l'humour flegmatique de Watson, des déductions magistrales de Holmes et de rebondissements inattendus, jusqu'au dénouement effrayant et fantastique de cette affaire où les locataires du 22I Baker Street découvrent qu'il ne faut pas jouer avec les momies...et ne pas tenter de se lancer sur la trace du papyrus qui révèle le secret de l'immortalité




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Sherlock Holmes : Un certain Dr Watson

N’ayant pas lu les œuvres de Sir Arthur Conan Doyle, je ne peux pas vraiment juger de la qualité de cette « réécriture » par rapport à l’original, mais ça a fonctionné pour moi.

Une pointe d’humour British comme je l’aime, des personnages très crédibles, je n’ai rien trouvé à redire.



Mon avis complet ici : https://nathouelecture.wordpress.com/2015/07/17/un-certain-dr-watson-david-stuart-davies/
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Sherlock Holmes : Un certain Dr Watson

Wow ! Quel pastiche passionnant !

L'intrigue du livre aura surpris beaucoup d'entre nous.

Watson ! un traitre, travaillant pour le compte de Moriarty ? À voir !

Je trouve le personnage de Sherlock Holmes, agréablement décrit, et crédible !

Nombreux sont les pastiches oubliant le caractère de l'individu à part qu'est Sherlock !

L'histoire et passionnante, l'écriture agréable. L'auteur connaît son sujet, bref j'ai dévoré ce livre.

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Sherlock Holmes : Le livre des morts

Holmes et Watson sont à la recherche d'une nouvelle enquête à se mettre sous la dent lorsque Scotland Yard vient leur demander assistance sur un vol au British Museum. L'affaire se révèle bien plus complexe qu'escompté car un certain ouvrage capable de rendre la vie aux morts est en jeu, ce qui n'est pas pour déplaire au célèbre détective...



Une écriture honnête, mais une intrigue vite décousue. Sherlock Holmes n'apparaît pas forcément comme un personnage sympathique, lui qui sait tout sur tout et qui sourit souvent avec complaisance face aux "retards de compréhension" de son fidèle acolyte. C'en devient fatigant pour le lecteur, cette surenchère d'intelligence qui permet à l'auteur de ne pas forcément tout expliquer des tenants de l'enquête.

On ne peut pas spécialement dire non plus que l'intrigue génère à la lecture un regain d'intérêt. Ce livre fait tranquillement passer le temps mais n'envoie pas notre imagination dans des sphères étranges et stimulantes. J'ai eu la sensation de ne faire qu'effleurer le concept du Livre des Morts, totalement mystique et pourtant réduit à la simple recherche de ce document caché. L'histoire conclut ce mystère en le qualifiant de simple traquenard qui anéantit complètement la part obscure et profonde dudit trésor.

Enfin, si je remercie les éditions Fetjaine de m'avoir fait parvenir cet ouvrage, je ne les congratule en aucun cas sur le travail éditorial qui a été fait dessus. Car c'est un livre blindé de fautes d'orthographe, de français et même de traduction. Double faute puisque la Miss Confuron a fait quelques calques vraiment laids, mais que les éditeurs et/ou relecteurs (y en a-t-il eu ??) n'ont même pas corrigé derrière. Ainsi, toute cette petite équipe confond plusieurs fois "davantage" avec "d'avantage", oublie par deux fois l'accent circonflexe sur le participe passé de "devoir" (ce qui donne des magnifiques "aurait du" ou "avait du"), met du subjonctif derrière l'expression "après que" qui appelle de l'indicatif (faute commune dans le français oral mais non acceptée par l'Académie), traduit "the eleventh hour" par "la onzième heure" alors que cette expression signifie "au dernier moment" ou encore "lose consciousness" par "perdre conscience" quand le contexte demande un "perdre connaissance", devrait savoir qu'on a "affaire à quelqu'un" et pas "à faire à quelqu'un"... Bref, faut-il que je continue ???

Ah au fait, message aux éditions Fetjaine : je suis disponible si vous voulez embaucher des gens compétents qui méritent leur salaire...
Lien : http://livriotheque.free.fr/..
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Sherlock Holmes : Un certain Dr Watson

Voici un fort sympathique pastiche holmésien.

Ecrit par un spécialiste en holmésologie, ce roman reprend les codes du genre. Et l'auteur nous gratifie en plus d'une belle imagination.

Aussi si David Stuart Davies imagine un Watson à la botte de celui qui va devenir le pire ennemi de Holmes, aussi nous décrit-il un Mycroft retord et pervers passé du coté sombre de la force.

Un point de vue très intéressant qui fait plus que se défendre. On y crois et c'est là tout le génie de l'auteur.

Un excellent roman qui devrait plaire à tous les amateurs du grand détective londonien ainsi qu'à ses fans les plus inconditionnels.
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Sherlock Holmes : Un certain Dr Watson

Superbe idée !

Watson est en réalité un espion à la solde de Moriarty pour donner à Holmes la réputation qu'on lui connait en devenant son biographe. (et oui, Moriarty s'ennuie, il veut un adversaire à sa mesure)

Le roman commence par l'intrigue de "un étude en rouge" et en reprend presque point par point les éléments, pour s'éloigner de plus en plus de Doyle et terminer bien sûr aux chutes de Reichenbach. Ecrit bien sûr à la première personne par Watson en narrateur, on assiste aux tourments du docteur qui se prend d'amitié pour Holmes et à qui son rôle d'espion pèse de plus en plus.

Mais j'en arrive aux critiques. Bien sûr Watson explique qu'il est obligé de "romancer" les enquêtes et que c'est pour cela que les écrits qu'on connait (ceux de Doyle) divergent de la réalité.

Mais il y a tout de même une énorme différence qui ne s'explique pas de cette manière : ce Holmes est extrêmement bien cultivé, connaissant parfaitement bien la littérature et pouvant citer de grands auteurs... alors que moi l'Holmes que je connais n'en a rien à faire de la philosophie et de la littérature à part celle pouvant aider dans son métier.

J'avoue que ce détail m'a gênée.

Autre petit détail gênant à mon sens : il y a d'autres espions de Moriarty qui gravitent autour de Holmes (vraiment Moriarty sort les grands moyens pour faire de Holmes un grand détective) mais est-ce vraiment utile ? leur action est loin d'être décisive dans le roman et donc je me disais que leur rôle allait être développé dans le second tome ... et non !

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Sherlock Holmes : Le livre des morts

Voici un deuxième volume des pastiches de Sherlock Holmes et Watson, sous la plume de David Stuart Davies, maitre es oeuvre holmésienne.



Comme à chaque fois que Holmes est sans affaire à élucider, son caractère s'aigri, et la poudre blanche lui fait de l'oeil. la presse ne semble rien révéler de sensationnel, et l'ennui se fait sentir.

L'inspecteur Hardcastle vient le consulter : dans la salle du British Museum consacrée à l'Egypte, un cambriolage a eu lieu: les objets de valeur sont restés,seul un papyrus incompréhensible a été volé. Ce vol s'accompagne du meurtre du gardien de nuit. Lattention de Holmes s'éveille, surtout lorsqu'il comprend que ce document mène...au livre des morts! Un ouvrage sensé redonner la vie après la mort, si on pratique certains rituels avec ce livre.

Voila alors Holmes et son fidèle ami lancés à la poursuite des voleurs, qui n'hésitent pas à tuer pour obtenir ce qu'ils veulent, ou dès qu'un individu est au courant de leurs projets.

Sebastion Melmoth est bien diabolique, et nous faisons une petite incursion du côté des amis d'Oscar Wilde. Cela n'est pas sans rappeler les livres de Gyles Brandreth qui mettent en présence, pour mener des enquêtes, Oscar Wilde et ses amis, dont...Arthur Conan Doyle.

La rapidité de déduction de Sherlock Holmes lui permet de prendre de l'avance, sans avoir qu'il a été un certains temps manipulé. Les auteurs des crimes espéraient ainsi arriver sans efforts à leur fin, mais on ne berne pas ainsi le plus fin limier d'Anleterre!

Une lecture agréable pour les amateurs du détective.
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Sherlock Holmes : Un certain Dr Watson

Cet auteur est une découverte pour moi, même s'il semble être une pointure dans l'étude holmésienne (est-ce comme cela qu'on dit?). Et il faut vraiment être un expert pour pouvoir pasticher un auteur et son personnage archi-célèbre. Mais en le lisant, on se dit ''Elémentaire, mon cher Watson''.

Bien qu'ayant eu peur de me lancer (je n'imaginais pas Watson au service du Dr Moriarty, le terrible ennemi de Sherlock Holmes), je ne suis pas déçue. Le personnage de Watson est judicieusement traité, et l'histoire nous est présentée de telle façon qu'on a l'impression qu'elle comble des lacunes et explique les motivations des vrais Holmes et Watson.

Contrairement à l'oeuvre classique vue à travers les enquêtes de Holmes, même si elles sont présentées par Watson,nous voyons ici toute l'histoire du point de vue de la psychologie de Watson. L'angle d'approche ouvre d'autres perspectives, tout aussi intéressantes, et la très grande connaissance des oeuvres originales permet à l'auteur d'être pertinent dans sa prise de risque.

Une belle découverte, originale.
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Sherlock Holmes : Un certain Dr Watson

Dans les plaines désertiques de Maiwand, John Walker, médecin au Cinquième régiment des fusillés du Northumberland (complètement rétamé par les guerriers de Ayub Khan), las de voir ses camarades mourir autour de lui, se prend la cuite de sa vie en laissant ses patients en plan. Emprisonné, traduit en cours martiale pour faute lourde, renvoyé de l’armée, il rencontre lors de son retour en Angleterre le capitaine Alexander Reed, un homme affable, sympathique, se présentant comme une sorte de » chasseurs de têtes » au sein d’une organisation aux ramifications tentaculaires qui lui propose de lui trouver un travail. Introduit auprès du professeur Moriarty, il est engagé par celui-ci pour une mission spéciale : espionner Sherlock Holmes.



Ce dernier, fraîchement arrivé à Londres, rêvant d’être un détective privé à part entière, aide Scotland Yard à résoudre certaines énigmes et tente de mettre au point une solution qui permettrait de détecter les traces de sang.







David Stuart Davies se penche ici sur les origines de la rencontre Holmes/ Watson et sur la main mise du professeur Moriarty dans l’organisation criminelle. Nul n’est à l’abri de son pouvoir, de son appétit grandissant sur son envie de dominer le monde. Une main de fer dans un gant de fer! Ennuyé par la vie en général, il trouve en Holmes le seul réceptacle capable de le défier dans son entreprise, un ennemi à la mesure de son intelligence quoique agaçant et bien qu’ayant tout le loisir de l’éliminer, décide de se lancer dans une partie d’échecs tendue en plaçant tous ses pions : Walker/Watson, Kitty Hudson une ancienne comédienne qui a déjà collaboré avec l’organisation et Mycroft Holmes dont les intentions sont pour le moins troubles.







Les puristes hurleront peut-être mais avant de pousser leur cri d’indignation, j’attire leur attention sur certains points.



- La narration est largement supérieure à celle Conan Doyle ( guère compliqué, il écrivait comme un pied! n’en déplaisent aux gens de mauvaise foi) et en respecte l’esprit. Les cannons holmesiens sont présents :



- l’année de la rencontre des deux héros,



- l’ami, le confident, l’hagiographe Walker/Watson,



- les spécificités de la personnalité de Sherlock Holmes,



- les ennemis de toujours : le professeur Moriarty, le colonel Moran son second,



- Mrs. Hudson, sa logeuse,



-Scotland Yard avec son plus fidèle représentant, Giles Lestrade,



- Mycroft Holmes, maître du Diogenes Club,



- les premières aventures de notre couple mythique certes signalés en passant mais tout de même : A study in scarlet, The sign of four, The Greek interpreter, The final problem,



le tout très agréable à lire!



La série THE FURTHER ADVENTURES OF SHERLOCK HOLMES, qui compte plus d’une dizaine de livres sur le sujet ici présent, invite des écrivains à donner leurs interprétations ou vues en mettant en scène le plus célèbres des détectives, un personnage de fiction qui a son musée, ses biographes (si, si!), ses clubs de fondus totaux ( pour certains l’asile n’est pas loin!), qui a généré plus de deux cents films, téléfilms, pièces de théâtre, séries… Si ce n’est pas une putain d’icône, je ne sais pas comment l’appeler! He’s bigger than life itself!



C’était une lecture revigorante, surprenante, palpitante. La manière dont David Stuart Davies s’approprie le mythe de Conan Doyle fait preuve d’une certaine subtilité, d’une connaissance approfondie sur l’ensemble de l’oeuvre originale, d’une élégance intellectuelle. Bon bouquin! Même Neil Gaiman s’est fendu d’une nouvelle sur le sujet!



Je vous invite à regarder le site suivant : www.titanbooks.com
Lien : http://www.immobiletrips.com..
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Sherlock Holmes : Le livre des morts

Tout d'abord, je tiens à remercier Babelio ainsi que les éditions Fetjaine pour ce partenariat.



J'avais eu un énorme coup de coeur pour le premier tome de ce pastiche holmésien. La suite a-t-elle répondu à mes attentes ? Oui et non, je dirais...



On retrouve nos amis dans une enquêtes aux accents fantastiques. La mythologie égyptienne est au coeur de l'intrigue, de même que la vie après la mort. Plusieurs meurtres et morts non élucidés mettent nos amis sur la trace du mystérieux Livre des Morts, qui contiendrait le secret de la résurrection. J'avais hâte de voir comment l'auteur allait s'en sortir après un premier tome très réussi. Autant dire que le pari est gagné ! La plume est toujours aussi agréable, les personnages sont fidèles au Canon (Holmes qui garde par devers lui certains éléments cruciaux de l'enquête et qui ne les dévoile qu'au dernier moment de façon théâtrale), mais l'intrigue est un peu trop simple à mon goût. J'en ai percé les tenants et les aboutissants facilement. Malgré tout, les personnages secondaires sont très bien pensés (Sebastian Melmoth glace le sang ! Brrr...).



J'aurais juste deux petits regrets : la position d'agent double de Watson enlève du piment à l'intrigue, et j'aurais aimé qu'on nous éclaire plus sur ce personnage double - triple ? - que l'on avait découvert dans le premier tome, de même que sur Mme Hudson... Ceux qui ont lu le premier opus comprendront...



Néanmoins, j'ai beaucoup apprécié ma lecture et j'espère d'autres tomes au plus vite !
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Sherlock Holmes : Un certain Dr Watson

Ce deuxième tome propose une nouvelle approche de la première rencontre entre Sherlock Holmes, le Dr Watson et le professeur Moriartry. Au travers d'une réécriture de quelques grandes aventures relatée dans différents tomes de Conan Doyle, nous avons le plaisir de découvrir l'agencement d'un plan diabolique orchestré par le professeur Moriartry... un vrai plaisir à lire avec de nombreuses nouveautés concernant l vraie personnalité de personnage croisé au long des récits de cette saga.



Bon je vous le dit de suite... j'ai vraiment aimé cette adaptation fidèle-infidèle... Les personnages sont mis en exergue avec un côté sombre plus marqué, plus sournois, bref... vous risquez de vous dire : "Non lui aussi !!! ou non elle aussi !!" La structure du récit est sympa et claire avec des extraits de journaux tenus par le Dr Watson et du récit en "direct" où l'on peut suivre le professeur Moriartry dans ses pensées, dans ses actes.



Ajouté à cela un voyage rapide et succinct dans les grandes enquêtes de Sherlock Holmes revues et corrigées par David Stuart Davis comme Une étude en rouge, Le signe des quatre... Une vraie plongée dans les oeuvres de Conan Doyle !!
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Sherlock Holmes : Un certain Dr Watson

Lors de la dernière masse critique de Babelio, j’ai pu recevoir ce livre. Dès que ça parle de Sherlock Holmes, ça m’intéresse ! Malheureusement, au contraire des échos positifs présents sur Internet, je n’ai pas apprécié ma lecture plus que ça.



A la lecture du synopsis, j’ai trouvé l’idée originale – que le Dr Watson soit un espion envoyé par le Professeur Moriarty – mais il fallait voir comment cela serait amené. Finalement, cela est plausible mais ça ne m’a pas plu. Toutes les personnes que Sherlock Holmes rencontrent sont à la solde de Moriarty. Cela illustre certes sa grande influence mais c’est trop. Il n’y a plus personne à qui faire confiance.



En ce qui concerne les personnages, ils ressemblent aux originaux. Leurs traits de caractère sont réalistes. J’ai particulièrement apprécié le Dr Watson. C’est d’ailleurs le véritable héros de ce roman. L’histoire est racontée à travers des extraits de son journal ainsi que quelques passages avec un autre narrateur quand le Dr Watson n’assiste pas aux événements. Je n’ai pas grand-chose à dire sur Sherlock, il ne m’a pas vraiment marqué ; tout comme Moriarty. Quant à Mycroft, il est à mon regret trop effacé. Par ailleurs, on ne sait pas réellement quel jeu il joue. C’est Mycroft, j’ai envie de dire, mais en savoir un peu plus sur lui aurait été intéressant.



Ce qui m’a le plus déçu, ce sont les enquêtes. Celles-ci sont directement reprises du canon holmésien et ne sont guère modifiées. Elles arrivent subitement et sont résolues en quelques pages. Il y a aussi de trop brusques coupures notamment quand John Watson fait la rencontre de Mary. La rapidité des événements m’a vraiment gênée.



Les chapitres sont courts et le livre se lit plutôt rapidement ce qui m’a permis de ne pas faire s’éterniser ce roman. Il y a une alternance entre récit et dialogues. Ces derniers, ceux d’Holmes, ne m’ont pas toujours paru crédibles mais dans l’ensemble, c’est correct. La narration externe et le journal de Watson sont de deux polices différentes mais il y a parfois quelques oublis.
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