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4.13/5 (sur 288 notes)

Nationalité : États-Unis
Biographie :

Deborah Spera est une productrice de séries télé américaine propriétaire de sa propre société de télévision, One-Two Punch Productions. Elle est également journaliste.

Le chant de nos filles est son premier roman.

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Citations et extraits (84) Voir plus Ajouter une citation
Il s'était habitué à mes visions depuis le temps. Ce qu'on était heureux! J étais encore trop jeune pour savoir que la vie ne vous donne rien sans rien. Tout, même les grands bonheurs, tout a son revers. Y a qu'à retourner une feuille d'arbre pour voir que l'envers est ien différent de l'endroit.
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- Shaker Rag est un enclos fermé Vous croyez que vous avez inventé la souffrance ? Les temps sont durs partout. Y suffit de traverser la rue pour voir que l'on est pas les seuls à avoir mal. Le chagrin ne fait pas de différence de couleur. Vous devriez toutes le savoir depuis le temps.
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Mon œil me fait mal. La douleur palpite en rythme avec mon cœur, elle s’étend dans ma tête et gagne mes épaules comme un feu de forêt. J’ai peur qu’Alvin m’ait cassé quelque chose et j’y vois plus de cet œil-là. Après toutes ces années, je connais assez bien Al pour savoir quand il va cogner, mais cette fois-ci il était de dos, alors j’ai pas vu son poing quand il s’est retourné pour m’envoyer valdinguer en arrière. Il est resté là, à tituber au-dessus de moi, et après ça il a brûlé ma lettre, il a vomi partout par terre et il s’est écroulé sur le lit. 
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Ta présence,ton odeur ont disparus du jardin,de la cuisine,de notre lit. A ta place,il y a un silence qui fait un boucan de tous les diables. C'est bizarre,pas vrai ?
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Il perd trop de temps à craindre le monde qui l'entoure.
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J'lui ai obéi mais mon Dieu, mon Dieu, ça m'a rongée. Maintenant, je me demande si les problèmes finissent pas toujours par nous retrouver quand quand on dit pas la vérité. Je ma demande s'y faut appeler les choses que l'on voit par leur nom pour chasser le mal.
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Le simple fait d'être jeune est un atout et nous ne l'apprécions à sa juste valeur que lorsque la jeunesse s'est enfuie.
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Mrs Coles sort, me regarde du haut des marches et demande :
— Gertrude Caison ?
— Oui. C’est Pardee maintenant, mais c’était Caison quand j’étais pas mariée.
— Vous êtes la fille de Lillian Caison ?
— Oui, m’dame.
— C’était une femme de bien.
— Oui, m’dame, c’est vrai.
— Qu’est-il arrivé à votre visage, Gertrude ?
— J’suis tombée, m’dame.
Elle me toise d’un regard dur et dit :
— Qu’est-ce qui vous amène ?
— Je viens pour le travail à l’atelier de couture et pour la maison de Mrs Walker.
— Vous savez coudre ?
— Ça oui, patronne. J’suis bonne en couture. C’est ma mère qui m’a appris.
— Votre mère aurait pu coudre n’importe quoi.
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Tuer un homme, c’est plus facile que tuer un alligator, mais c’est le même genre de traque. Faut guetter le moment de faiblesse, et lui tirer derrière la tête. L’alligator que j’ai dans le viseur, il m’a à l’œil, lui aussi. Il a flairé l’odeur du sang – la fin de mes règles –, il est à moitié sorti de l’eau et il reste campé sur le bout de terre qui nous sert à traverser le marais pour rejoindre la grand-route. Je suis adossée à un vieux cyprès. On fait la paire, lui et moi.
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Hier après-midi, il a fermé la scierie à une heure, mais il est rentré chez nous que tard dans la soirée. Ensuite, il est tombé sur la lettre de mon frère Berns qui me parlait d’un travail à Branchville. Al déteste Berns parce qu’il veille au grain alors que lui en est incapable. Il m’a flanqué une raclée et interdit de bouger d’ici. Il m’en veut encore pour la dernière fois où j’ai demandé de l’aide à mon frère.
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