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"_Tu as dit tout à l'heure que si tu avais pu aider Maman à sortir de la dépression, rien de tout cela ne serait peut-être jamais arrivé. De quoi voulais-tu parler ?
_C'est du passé, ma Ninie. Avec des "si", la vie serait tellement facile."
"_C'est difficile pour une femme de tout concilier, compatit Janelle. Reprendre le sport, cela voudrait dire t'astreindre à un horaire auquel tout le monde devrait se plier.
_Je ne vois pas quand...
Connie enchérit :
_La différence entre un homme et une femme, c'est qu'une femme va garder du temps pour elle quand tout le reste sera fait, alors qu'un homme s'occupe du reste quand son temps pour lui est écoulé."
"Ensemble, ils lui ont rendu un dernier hommage et Connie a murmuré en caressant son cercueil :
_Vous voyez bien que vous comptez pour des gens. Le cimetière est peut-être rempli de personnes qui se croyaient indispensables, mais vous nous manquerez, Paco."
"Il n'y a pas de hasard dans la vie. Que des signes, disséminés çà et là, qui montrent le bon chemin."
Si tu tombes, ne reste pas à terre trop longtemps. N'offre pas la possibilité aux autres de te piétiner.
"_Poinsettias en nombre, amaryllis, œillets, crocus, roses de Noël...Tout est là pour vous satisfaire, vous et vos clients, gente dame.
_Firmin, soyez gentil, arrêtez votre badinage.
_Quel badinage, mademoiselle Connie ? On ne badine pas avec les fleurs !"
Tu m'as d'abord montré tes faiblesses avant de me dévoiler le reste. C'est rare chez un homme.
Qu'on le veuille ou non, nous sommes toutes liées les unes aux autres. Les histoires des générations précédentes nous poursuivent et nous façonnent.
Rien ne vaut l'ordinaire quand on est capable de le transformer en extra.
Tirer des enseignements des pires drames. S'en servir pour répandre le bonheur autour de soi. N'est-ce pas la définition du mot "résilience" ?