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Citations de Diana Rowland (73)


Elle va s'en sortir. Mais vous êtes trop stressée. Il faut que vous mangiez mieux, vous avez meilleure mine avec un peu de chair sur les os. (Il me tendit une scie.) Ça vous dit d'ouvrir un crâne ?
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"Tu m'as manqué. Et j'ignorais qu'il me manquait quelque chose."
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Je fronçai les sourcils.
- J'étais confortablement installée.
- Le confort est un piège.
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Ryan se tourna vers Crawford, alors que je passais la porte.
— Ça fait combien de temps qu'elle est folle ?
— Depuis que je la connais, agent Kristoff, répondit Crawford avec un soupir déchirant.
—Je vous ai entendus, criai-je.
Le rire des deux hommes me suivit à l'extérieur. 
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J'étais en train de préparer du café, lorsque mon téléphone sonna.Je l'attrapai, en remarquant distraitement que la sonnerie était inhabituelle.
- Kara Gillian, dis-je en versant le café en poudre dans la machine.
- Madame Gillian, ici Rebecca Stanford, de la clinique Nord du Lac Neuro. Votre tante s'est réveillée, et elle vous demande.
Je restai figée pendant ce qui me parut un très long moment, mais qui ne dura sans doute pas plus de quelques secondes. "Ca à marcher. Elle est revenue !" Je finis par laisser échapper un rire fébrile.
- C'est... incroyable !
L'infirmière hésita.
- Oui, enfin... Je dois malgré tout vous prévenir que son comportement ne sera peut-être pas tout à fait celui auquel vous vous attendez.
- Que voulez-vous dire ?
- Parfois, après une longue période de coma, le cerveau a besoin d'un temps pour fonctionner normalement de nouveau. Les patients peuvent dire des choses qui semblent n'avoir ni queue ni tête, et cela peut causer un choc, si l'on n'est pas préparé.
- Quel genre de chose dit-elle ?
J'entendis la femme soupirer.
- Elle a dit: "Prévenez ma nièce que si elle croit pouvoir échapper au savon que je vais lui passer pour s'être soumise à un seigneur démon, elle se fourre le doigt dans l'oeil."
J'éclatai de rire. Oui, Tessa était bien de retour !
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- Il s'inquiète pour toi, souffla-t-il. Et moi aussi.
Je savais que c'était de Ryan qu'il parlait, et je sentis ma gorge se nouer.
- Je sais. Et j'y suis sensible. (Je pris une grande inspiration et me forçai à lui sourire.) Mais pour le moment, le plus urgent, c'est de découvrir qui a pu s'en prendre à ta nouvelle copine.
Il réprima un éclat de rire.
- Mais non, je la vois plus comme une soeur, rétorqua-t-il en acceptant de changer de sujet. Mais j'aime vraiment sa musique. Tu crois qu'elle voudra bien me dédicacer un de ses CD?
Je levai les yeux au ciel.
- Zack, je crois qu'elle te dédicacerait le cul si tu lui décochais l'un de tes sourires légendaires, dis-je, alors que nous reprenions le chemin du bar.
Il prit l'air ravi.
- Et ainsi souiller ma perfection? Mauvaise idée.
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"Une fois, c'est du hasard, deux fois, une coïncidence, trois fois, c'est une tendance."
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- Tu aimes bien gagner, pas vrai ? murmurai-je.
- Je n'aime pas les conséquences d'une défaite, répondit-il.
- Il y a aussi des conséquences à une victoire.
- Mais on a souvent plus d'influence sur lesdites conséquences quand on est le vainqueur.
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Parfois, ce n'est pas simple de déterminer qui sont les méchants, ajouta-t-il d'une voix étrangement intense. Le mal est souvent une affaire de perception.
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—Vu toutes les rumeurs et les théories insensées qui circulent, je ne sais même pas par où commencer. Officiellement, il n'y a pas de version officielle. (Il sourit.) La police de Beaulac refuse de donner une explication à ton absence et à ta réapparition, mais officieusement, on fait courir discrètement le bruit que tu appartenais à une unité top secrète du FBI. (Il rit.) C'est certainement le scénario le plus intelligent, étant donné la grande quantité de ton sang retrouvée sur les lieux et le fait que vingt officiers t'aient vue surgir de nulle part au poste, dans un éclair de lumière blanche. Nue comme un ver, qui plus est, précisa-t-il avec un sourire encore plus grand.
— Et tu as raté ça, le taquinai-je. Il s'assit sur le bord du lit.
— Oui, mais ce n'est pas grave.
— Ah bon ?
—Tout à fait, dit-il en se penchant vers moi. Parce que je crois que j'aurai très bientôt l'occasion de le voir en privé.
Je levai un sourcil interrogateur, incapable de refréner un sourire.
—Tu penses?
Son sourire se fit malicieux.
—Oui. Car je suis persuadé que les photos font le tour d'Internet en ce moment.
Mon cri de désarroi informa tout l'hôpital que j'étais effectivement vivante, à défaut d'aller bien. 
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— Allez, fais place au nouveau seigneur, dis-je en riant pour cacher mon inquiétude.
Il rit à son tour.
— Bon sang ! tu es sûre que j’ai signé pour cette merde ?
— Comme nous tous, oui.
— En gros, on a imité notre signature.
— Ouais, on va dire ça.
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Il leva le visage pour me regarder, tandis qu'il essayait de dénouer le cordon de mon pantalon.
— Est-ce que tu comptes le garder?
Je lui souris et admirai en silence ses muscles lisses et son corps magnifique. J'ignorais quelle était sa nature, mais désormais, ça n'avait plus aucune
importance. Il m'avait déshonorée en me contraignant, et remboursait à présent cette petite dette en m'apportant tout le bien-être et le soulagement
qu'un partenaire attentionné pouvait procurer. Au final, ce n'était pas très différent, et l'ironie de la situation ne m'échappait pas, mais le choix
m'appartenait cette fois-ci, et c'était une différence fondamentale.
—Non, répondis-je en riant.
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Ses cheveux argentés étaient tirés en un chignon si serré que je me dis que cette femme devait avoir en fait deux fois plus de rides qu'il n'y paraissait au premier abord.
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Le policier ne se dérida pas.
- Avez-vous bu de l'alcool, ce soir? demanda-t-il.
- Non, je planchais sur un dossier.
J'entendis alors des griffes grincer sur le métal du coffre de la camionnette, et il me fallut tout le sang-froid que j'avais en réserve pour m'empêcher de réagir. Pendant un quart de seconde, j'eus l'espoir que le bruit n'avait pas été si fort et que je l'avais seulement entendu parce que je m'y attendais, mais la chance ne me sourit pas. Le policier tourna vivement la tête et il fronça un peu plus les sourcils.
- Vous avez quoi dans le coffre?
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Je regardai le serveur qui s'approchait de notre table, et je lui dis, en repoussant mon assiette presque intacte:
- Vous pouvez remporter ça, j'ai fini.
Il prit l'assiette, mais faillit tout lâcher lorsque des grognements et des aboiements retentirent derrière la porte qui donnait dans la ruelle.
Une des serveuses, vaguement occupée à passer un coup d'éponge léthargique sur les tables, leva les yeux.
- Tommy, dit-elle, va chasser ces sales clébards. Je t'ai dit de ne pas leur donner les restes.
Tommy jeta mon assiette dans une bassine en plastique qu'il posa sur une table, près de notre box, tout en jetant un regard furieux à la serveuse, avant de retourner jusqu'à la porte en traînant les pieds.
- La prochaine fois, tu pourras m'emmener dans un restaurant vraiment classe, murmurai-je à Ryan. Comme la baraque à frites de la station-service, par exemple.
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- ... que des affaires pourries, se plaignit Pellini de sa voix nasale de baryton. Ce n'est pas moi qui devrais me retrouver avec ces conneries de violences conjugales. C'est Gillian, vu que c'est une nana.
- Tu m'étonnes, répliqua Boudreaux. Je n'arrive pas à croire que le capitaine lui ait filé le meurtre. C'est du n'importe quoi.
Je ne pouvais pas distinguer son visage, mais percevais sa colère.
- Elle couche avec lui, c'est forcé, poursuivit-il. Je te parie que c'est aussi comme ça qu'elle a eu sa mutation.
Pellini ricana, mais je n'attendis pas sa réponse. Tant pis pour la diplomatie, songeai-je en marchant à grands pas vers eux.
- Salut les mecs! clamai-je gaiement, en tendant la main pour prendre une tasse. Purée, j'ai bien besoin d'une dose de caféine, là. (Je leur adressai un sourire super joyeux en me versant du café.) Je suis crevée, à force de baiser avec la capitaine pour obtenir les meilleures enquêtes! m'exclamai-je en les saluant avec ma tasse tandis qu'ils me regardaient fixement. Vous devriez essayer un de ces jours! ajoutai-je avant de me pencher et de baisser la voix. Mais d'abord, vous feriez mieux de vous entraîner l'un sur l'autre pour ne pas vous mettre la honte. Parce que ça fait un bail que vous avez pas niqué autre chose que votre main.
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- On devrait peut-être lui donner un autre nom.
Eilahn me contempla d'un air troublé.
- Quel est le problème avec son nom actuel ?
- Eh bien, ce n'est pas vraiment très sérieux, répondis-je. Or, elle s'avère être une chatte plutôt classe. Même si elle me hait.
Eilahn secoua la tête.
- Ce nom lui va très bien, décréta-t-elle d'un ton ferme. Il ressemble à "Poh Pineth", ce qui signifie "les larmes tourbillonnantes de la justice".
En effet, cela lui convenait parfaitement.
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—Super. Évite les ennuis, Tio, OK ? Il me fit un clin d'œil et sourit.
— Ce sont eux qui me courent après.
—Eh bien, fuis, gros bêta! 
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-j'ignore qui tu es, dis-je en luttant pour garder un minimum de dignité, mais il semble que tu ressentes un certain interêt à mon egard, puisque tu essaies de m'invoquer depuis un bon moment.
-cela fait bien plus longtemps que ça que tu m'interesses, repliqua-t-il.
il s'accroupit et contempla d'un air indifférent les dessins gravés dans la pierre.
-j'imagine que tu crois que si tu trouves le moyen de mourir dans cet univers, tu retourneras dans ton monde. ( il leva ses yeux argentés vers moi).Ces transferts deviennent de plus en plus difficiles. il y a beaucoup moins de chances que tu parviennes à traverser le néant une seconde fois.
il dit tout cela sur le ton de la cnversation,comme s'i était en train de me conseiller de prendre un parapluie au cas ou. je sentis mon estomac se serrer. mon seul plan d'évasion venait de tomber à l'eau. je baissais les yeux vers l'objet qu'il tenait à la main.on urait dit un ras de cou joliment ouvragé.
et il etait d'un métal rosé similaire à du cuivre que je reconnus immédiatement.
je détournai le regard, essayant de le river ailleurs, n'importe ou ailleurs que sur le collier.et, pour la première fois . je vis vraiment la piéce ou nous nous trouvions.des parois en marbre anthracite.suffisamment nombreuses pour faire paraître la piéce circulaire. je baissai les yeux, m'attendant presque à voir les debris d'une statue à mes pieds,mai je savais déjà qu'il n'y avait rien dans le cercle.
-quel est cet endroit ? parvins-je à demander en luttant contre la terreur qui menaçait de me faire tomber à genoux.
il entra dans le cercle.
-tu ne le reconnais pas ? s'étonna-t-il en levant le collier.
je ne lui opposai aucune résistance,de toute façon, ça n'aurait servi à ren. je me contentai de secouer la tête en signe de négation.un sourire plein de ruse lui étira les lévres.
-c'est ton ancienne chambre d'invocation.
et il referma le collier autour de mon cou
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- Ryan, dis-je d'un air lugubre, tes cheveux ressemblent à une brosse à cheveux qu'on aurait trempée dans du jus de raisin. Qu'est-ce que tu as utilisé comme teinture? Du soda?
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