L'apprentissage du guerrier est le premier tome de La saga Vorkosigan qui semble malheureusement arrêtée. Sur la planète Barrayar, Miles Vorkosigan est le fils du régent mais il handicapé sa faible constitution physique. Il part pour la planète Béta, avec son garde du corps, le sergent Bothari, et sa fille Elena. Dominique Latil et José Maria Beroy adaptent le space opera de Lois McMaster Bujold, en commençant par le quatrième roman (sur quinze). L'intrigue est fluide et intéressante et les dessins réussis. Une lecture plaisante qui donne envie de découvrir les romans.
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Quand je lis une bd, je souhaite quand même avoir un minimum d'intelligence dans la construction du scénario avec un tant soit peu de crédibilité.
Ici, nous découvrons des couvertures hideuses, un dessin très limite, et surtout une histoire ennuyeuse et répétitive. L'enchaînement de combats ne m'a jamais fait trépider. Je crois qu'on atteint une limite dans la médiocrité avec des dialogues indigents avec tous les poncifs du genre.
La carte géographique à la Arleston pour décrire le monde fantastique imaginé par les auteurs ne fait plus recette. C'est un hideux pompage.
Par ailleurs, même le héros de cette aventure est totalement insignifiant et sans psychologie propre. C'est un naufrage total et encore je suis gentil ! Une série qu'on peut oublier sans regret.
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Une série Soleil qui commence à avoir de la bouteille et sur laquelle je suis tombé par hasard lors d'un salon BD.
De Pellet, je ne connaissais que les Forêts d'Opale auquelles je n'ai d'ailleurs jamais accroché et là il y avait quelque chose, un monde fouillé (avec une carte, j'adore les cartes), bourrin mais intelligent, ces couleurs un peu ternes propres aux éditions fin 90 et qui font tout leur charme. Ça ressemblait un peu aux premiers Lanfeust aussi, mes premiers albums.
Et surtout, un monde de fantasy peuplé d'autres êtres qu'elfes, nains...un univers tout neuf, ça donne un peu d'air frais.
Dans ce premier tome, on voit surtout les Viks, ces gros bourrins qui ne vivent que pour la guerre (et qui s'en prennent plein la tronche dans cette fameuse forteresse de Cormandel). Mais on a également un aperçu de plusieurs autres races que l'ont croisera plus souvent dans la suite des aventures de Talian. Car celles présentées sur la carte ne sont pas les seules, il y en a bien d'autres.
Une très bonne série de fantasy à lire et à relire.
Seul bémol, le tome 7 introuvable...
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Et on continue de ne pas se prendre la tête avec tome 3. Ce coup ci, Moréa est véritablement en danger malgré ses pouvoirs et on se sait toujours pas quelles en sont les raisons, de quoi ménager le suspens jusqu'au(x) prochain(s) tome(s). Le décor change, le récit évolue puisque nous en apprenons un peu plus sur la guerre millénaire qui opposent les Anges aux Dragons. Rien de bien surprenant, encore moins de révolutionnaire mais force est de constater que le scénario est tellement bien écrit qu'on se laisse facilement happée par cette bd, on dévore les 48 pages sans aucune difficulté, d'autant que les graphismes sont plutôt bien réussis. Parfois les scènes d'action ne sont pas toujours très lisibles mais qu'importe, on se laisse emporter par le feu de l'action, qui elle, est plutôt bien dosée.
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Moréa est prisonnière des Anges sur une station orbitale secrète. Elle sert de cobaye aux Anges qui souhaitent découvrir le secret de l'immortalité des Dragons. Moréa devient très efficace dans son rôle de combattante, cette fois, elle doit se débrouiller seule. Mais pourquoi est-elle toujours nue ? Elle est superbe, c'est sûr mais cette répétition devient inutile, même le personnage finit par s'agacer de cette situation. Symptôme de l'époque ?
Merci
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Troisième tome de la série. MOREA, retenue prisonnière à l'intérieur d'un satellite en orbite autour de la terre doit se débrouiller seule pour retrouver la liberté. pendant que sur la terre les querelles de succession occupent les directeurs de la société. L'histoire est toujours aussi intéressante, l'action et le suspense sont au rendez-vous. La qualité des graphismes permet de se plonger pleinement dans cette épopée. Vraiment de la bonne bande dessinée d'aventure.
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Le rythme ne faiblit pas avec un attentat dans les locaux de la DWC. J'ai adoré les nouveaux personnages, une stagiaire belle, efficace et combative et un adorable petit singe qui joue les invités surprises tout au long du tome.
L'intrigue Ange / Dragon passe au second plan ici, le complot est bassement humain et c'est peut-être pire.
Merci
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Poursuite des aventures de Moréa Doloniac dans ce tome 4, dans lequel exotisme, action et espionnage s'entremêlent pour donner une histoire à rebondissements judicieusement calculés et jaugés. Ce tome met également un peu plus l'accent sur l'humour avec quelques scènes comiques de situation, le champion de l'humour acide étant le personnage de Théo mais également à sa façon le majordome, qui opte plus pour un humour fin, qu'il glisse judicieusement au détour d'une réplique. Il y a quand même beaucoup d'action dans ce tome, ce qui me donne l'impression que cela part un peu dans tous les sens, d'autant plus que le scénario s'éparpille un peu également. Vivement que l'on revienne au coeur du récit, la guerre Ange/Dragons, qui paraît plus intéressantes que les nombreuses mais non moins réussies scènes d'action.
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La suite immédiate du tome précédent avec l'arrivée en Afrique de Moréa à la recherche de Nonce. Crash, enlèvement et autres joyeusetés, de l'action pure dans ce tome. Des pointes d'humour que j'apprécie particulièrement pour alléger l'ambiance.
Mais maintenant que ce complot est déjoué, vivement la reprise de la bataille entre Anges et Dragons.
Merci
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Légère et décomplexée, soutenant un rythme effréné, offrant des graphismes réussis, des personnages attachants et très bien caractérisés, et un humour fin qui ne gâche rien à l'ambiance mais participe même du ton, cette bd me plaît pour sa facilité de lecture, sa capacité à nous propulser dans un monde exotique rempli d'aventure.
Chaque tome se construit autour d'une histoire, liée aux autres tomes, se lit agréablement mais n'approfondit pas pour autant ni la mythologie ( guerre Dragons/ Anges) ni la psychologie des personnages. L'entrée en scène d'un nouveau personnage féminin et son adhésion à l'équipe n'apporte rien sinon une idylle possible avec Terkio.
L'histoire avance bien tout de même et la disparition d'un personnage principal aura des répercussions évidentes sur la suite du récit.
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La mort dans le sang, #6 de Moréa par Laurent Libessart sur un scénario de Christophe Arleston et Dominique Latil, signe le retour tant attendu de la patronne immortelle de la puissante compagnie DWC (à suivre La colère des Anges). Dernière descendante et héritière de l'empire commercial de la famille Doloniac, protégée par le chevalier Terkio, Moréa veut utiliser toutes les ressources à sa disposition pour préparer le futur des siens et leur retour sur leur planète d’origine, quitte à faire alliance avec les ennemis hériditaires, mais elle est contestée au sein de la communauté des Dragons, par une faction qui ne veut céder en rien dans la guerre multimillénaire qui les oppose aux Anges.
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Morea est devenue présidente du conseil des dragons et souhaite trouver un terrain d'entente avec les anges, les moins extrémistes. Mais des factions extrémistes dans ses propres rangs vont tenter de mettre en échec son plan de paix. Torrés va même s'allier avec ses ennemis pour abattre Moréa. Enlevée par Immaros, soit disant mort, Moréa va découvrir que sa naissance recèle des parts d'ombre et qu'elle est plus proche des anges que prévu.
Retour de Morea avec un nouveau dessinateur, très proche en style du précédent. Arleston nous offre une intrigue classique mais moins héroic fantasy que dans ses autres séries. Quelques pointes d'humour, quelques pointes d'érotisme (on voit souvent Morea toute nue) et beaucoup d'action.
Changement de paradigme avec Cuba en place financière de premier plan.
Les anges veulent récupérer Mars et poursuivre la terraformation.
Pas mal du tout.
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À ma précédente lecture, je m'étais arrêtée au tome 4 et l'histoire a finalement bien avancé. Moréa défend chèrement sa vie car elle a une place privilégiée dans les rangs des Dragons. On en apprend un peu plus sur ces deux « peuples » et que l'histoire est bien plus compliquée qu'il n'y paraît au premier abord, à savoir une lutte de pouvoir sans merci entre les Anges et les Dragons. On verra ainsi apparaître un Ange particulièrement retors qui veut la puissance dans son camp...
J'apprécie les histoires inventées par Christophe Arleston, elles sont d'habitude plus tournées héroïc fantasy comme Lanfeust, Les forêts d'Opale ou Les Naufragés d'Ythaq (dont certaines séries sont toujours en cours, surtout celles liées au monde de Lanfeust). Cette série est plus axée fantastique avec un monde ressemblant au nôtre mais dans quelques années et où la technologie a fait un bond en avant avec des voitures volantes du style « Le Cinquième Élément ». La particularité de Moréa m'a également fait penser à la série « Highlander », entre autre avec l'utilisation des épées pour se défendre. Par contre, le changement de dessinateur m'a un peu surprise mais finalement, son style graphique est relativement proche du précédent donc cela ne gêne pas plus que ça.
Heureusement que j'ai tous les tomes sous la main, au vu de la fin de ce tome, il me tarde de lire la suite, même si on se doute de quel camp va sortir vainqueur de cette lutte sans fin.
Sur ce, bonnes lectures à vous :-)
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Moréa prend son rôle de dirigeante au sérieux ainsi que sa place dans la guerre Anges/Dragons à tel point qu'elle est prête à signer une alliance avec l'ennemi. Mais sa décision ne ravit pas tous les membres du conseil et provoque même des événements inattendus, qui relancent le récit. Moréa est prise en chasse et devient la cible prioritaire à cause de ce qu'elle porte dans son sang. Pour cela elle en devient également la victime et l'on mesure tout le poids qu'elle porte alors sur les épaules. Moréa se rend également compte à quel point l'immortalité ne signifie pas éternité.
Même si le tome est centrée sur l'action, on y devine une intention de faire évoluer psychologiquement le personnage principal. Mais c'est avant tout une histoire d'aventure et les préoccupations des personnages, autres que celle de sauver le monde, passent après.
Après ce sixième tome, je commence à me lasser des aventures de Moréa, qui finissent par se ressembler un peu toutes.
Le dessinateur a changé et je m'attendais à être déçu aux premiers visionnage mais finalement, mais si le trait de Libessart est moins précis, son graphisme reste de qualité. Je reprocherai enfin toujours un manque de lisibilité dans les scènes d'action, le manque de cohérence flagrant d'une case à l'autre nuis à l'ensemble.
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Retour du conflit anges / dragons dès le commencement de ce tome, on revient dans le vif du sujet et on en apprend plus sur les dragons, qui ne sont finalement pas tous "des anges" (ok elle était très facile, je l'avoue). Querelles de pouvoirs, complot, mise à l'écart, Moréa subit tout mais garde style, efficacité et humour, une vraie héroïne !
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Ce tome voit l'arrivée d'un nouveau scénariste, Latil, qui reprend les commandes tout en suivant la ligne directrice de Christophe Arleston.
Jusqu'au tome 5, l'histoire se cantonnait à La Havane, voire un peu sur Mars. Mais depuis le précédent, Moréa voyage un peu plus : en France, dans le 6, et en Russie, dans celui-ci. Par contre, depuis la mort de son mentor, c'est un peu la débandade autour d'elle et pas forcément de leur plein gré. Mais j'ai bien aimé le petit clin d’œil fait à Léo Loden dans ce tome. Il me tarde quand même de savoir comment tout ceci va se finir pour Moréa, ses amis et l'ensemble des Dragons.
Sur ce, bonnes lectures à vous :-)
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changement équipe scénariste/dessinateur, et cela se sent mais ce n'est pas péjoratif, simplement informatif.
Le dessin prend un autre style, plus en courbes et les couleurs beaucoup plus intenses. Moréa est toujours accorte, et le décors reste soigné quoique un peu moins détaillé.
Toutefois le scenario se perd un peu en complications inutiles quoique les plans des anges soient bien ficelés
bonne lecture
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Terkio est mort laissant Morea profondément troublée. Ses adversaires n'ont pas désarmé, Torres poursuit son travail de sape au sein de son groupuscule Les Hydres qui prend de plus en plus de place. C'est alors qu'un attentat est mené en Russie, soit disant un problème de climatisation, en vérité propagation du virus anti dragon mis au point par Immaros. L'Onu mandate un agent efficace, Bishop, qui va très vite s'apercevoir que le nom de Morea surgit de partout. Un journaliste perspicace va lui aussi mener son enquête. Ce qui ne va aider Moréa à retrouver son ennemi...
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