On sentait néanmoins, dans le dos de cette femme puissante qui gravissait lestement les escaliers avec deux seaux d’eau sous le bras, la fragilité désolée d’un brin d’herbe, la tristesse éperdue d’un animal égaré dans le désert et qui n’arrivait pas à comprendre pourquoi il était né et ce qu’il faisait en ce monde.