Selon leur niveau social les enfants au XIXe, avant les lois de Jules Ferry, sont orientés vers des établissements différents. Les plus pauvres, quand ils fréquentent l’école, vont à l’école communale, école qui peut être dirigée par une congrégation. Les plus riches fréquentent des établissements payants où ce dernier critère permet une sélection et une certitude de bonne fréquentation. Sou-vent ces enfants commencent l’instruction à domicile avec leur mère ou un proche du cercle familial ou encore une personne rémunérée : le précepteur ou la gouvernante. Des enseignants peu-vent intervenir à domicile, surtout pour des matières spécifiques (le piano avec un musicien, le latin avec un ecclésiastique) ou lorsque l’enfant grandit pour avoir des notions plus complètes que les premières bases. Enfin, le jeune finit son instruction dans un pensionnat ou dans une institution, en tant qu’interne ou en tant qu’externe. Selon l’âge de l’enfant, une ou plusieurs de ces solutions sont choisies.
L’odeur âcre et nauséabonde me réveille. Je tousse et crache. Des murs suinte un ruissellement fétide. L’oppression m’oblige à m’asseoir afin de respirer. La Gargouille a encore sévi. Je la sens près de la ville. La tension des habitants arrive jusqu’au fin fond de ma geôle. Le dragon est sorti de son marais cette nuit et a semé la panique dans le cœur de Rouen. Une odeur pestilentielle domine l’humidité de la prison. Combien de victimes a-t-elle fait cette fois ?
"Devenu inoffensif, le dragon exprime toute sa beauté. Mes anciens compagnons tailleurs de pierre sont là. Ils sont curieux et prennent des notes. Certains font des croquis. Les prochaines sculptures seront plus vraies que nature !"