Citations de Elisia Blade (45)
Je veux que les flammes de la passion ne s’éteignent jamais
- Prenez 500 grammes de charme fou ;
- ajoutez-y 250 centilitres d’arrogance ;
- tamisez quatre grosses cuillères à soupe d’égoïsme ;
- versez un grand saladier de sex-appeal ;
- saupoudrez de beaucoup de luxure ;
- malaxez le tout jusqu’à obtenir une pâte onctueuse et succulente ;
- Enfournez pendant quinze minutes et vous obtiendrez un David Matthews tout chaud. extrêmement chaud
La vie est cruelle, parce qu'elle vous offre l'amour d'un homme adorable, mais vous pousse à en aimer un autre qui n'est absolument pas pour vous. Les choses seraient tellement plus simples si les gentilles filles n'aimaient pas les mauvais garçons. Quand je pense que je trouvais mas vie monotone et ennuyeuse, maintenant je la regrette amèrement. Je ne sais pas quel idiot a affirmé qu'aimer et souffrir était préférable à n'avoir jamais aimé. Parce qu'il est évident que ce type n'a jamais souffert d'un amour à sens unique. Et aucun tourment aussi grand que celui-là n'en vaut la chandelle.
Dans certaines cultures, les chevilles d’une femme par définition fines sont censées être un symbole de délicatesse et d’érotisme.
Le seul moyen de tout oublier et espérer avoir une vie normale dorénavant est d’avoir recours à la lobotomie – une pratique interdite depuis la fin des années 80 dans bon nombre de pays.
Je ne sais pas si c’est le fait de tout déballer ou de manquer d’air, mais je me sens petit à petit plus légère. L’alcool a réussi à délier ma langue et c’est un flot continu qui se déverse de ma bouche.
Mon cerveau, complètement anesthésié par les cocktails maison du pub ne sert plus de remparts à ce qui me traverse l’esprit… et ça me fait du bien, vraiment du bien ! Toute cette haine contenue avait besoin de s’épancher.
De toute façon, une personne ne peut vivre autant de situations embarrassantes en un laps de temps aussi court. Les lois de la métaphysique le démontrent ! Aristote, Platon et même Socrate ont certainement écrit quelques livres à ce sujet, à n’en pas douter…
N’importe lequel de ses comparses masculins n’y aurait vu que du feu, préférant certainement ignorer une femme en pleurs plutôt que de devoir la consoler.
Ma seule envie du moment c’est de me lobotomiser pour vous oublier ou vous fuir comme la peste. Repenser à vous me donne la chair de poule et pas dans le bon sens du terme, je vous assure ! Vous êtes certes le mec le plus canon de la terre, mais vous êtes aussi froid que la toundra sibérienne. Vous vous croyez hyper intéressant peut-être ? Vous êtes antipathique et ennuyeux, loin d’être mon idéal masculin… très loin !
Qu’attend-il de moi ? De l’argent ? Ce serait ridicule ! Tout le monde sait que je suis étudiante, et qui dit étudiante, dit fauchée comme les blés.
À chaque fois qu’il me fixe de ses beaux iris, j’ai l’impression d’être comme Ève dans le jardin d’Eden, soumise à la pire des tentations. Plus irrésistible que cette fameuse pomme… oh oui, bien plus.
— Qu'est-ce que c'est ?
— Notre punch card, énonça-t-elle.
— Tu veux dire comme ces cartes de fidélité que les cafés offrent ?
—L'idée est là sans le côté fidélité. Ici tu as une face quadrillée avec huit carrés. Quatre sont pour tes rencards et quatre pour nos rendez-vous pros.
Elle tourna la carte pour révéler le verso en question. La main de Mark effleura la sienne. Elle aurait dû reculer ses doigts, prétendre qu'elle n'avait rien senti. Au lieu de quoi, elle resta là, pétrifiée. Le pouce de Mark vint caresser timidement son index, puis son majeur. Harper prit une profonde inspiration tremblotante. Son toucher fut bref, presque éphémère.
— C'est toi qui as dessiné ça ? s'enquit-il en attrapant la feuille cartonnée.
Mais la vérite,c'est que je ne me suis pas épilée . Et sincerem,je n'ai aucune envie que l'homme le plus beau et parfait de la Terre me prenne pour une HOBBIT tout droit sortie du seigneur des Anneaux !
- Vous savez, Adelia, que vous êtes la première femme que j'invite, qui vérifie toutes les issues de secours comme si son seul but était de s'échapper.
Prise la main dans le sac, je rive mon regard à celui de Nate, incapable de camoufler la vérité.
Le sommeil est réparateur.
Peu importe notre âge, il nous est indispensable. Pourtant il lui arrive de se dérober, nous laissant tomber à genoux. Nous meurtrissant.
- Putain, c'est bon, je vais me les faire, cracha David en jetant avec violence le magazine sur la table de la cuisine, si je mets la main sur ces ordures, je leur fais la peau !
Marchant de long en large dans la pièce tel un lion en cage, il tenta de prendre de profondes inspirations. Il se massa les muscles du cou alors qu'il réfléchissait à ce qu'il allait faire.
Il y avait tout un tas de choses qui révulsaient Lizzy. Les yaourts à l'abricot par exemple. Ramasser les crottes de Jennifurr et Clawdia, ses deux chats. Entendre les chansons de ce nouveau chanteur britannique James peu-Importe-Son-Nom. L'eau de Cologne d'Harold Smith. Le timbre de voix d'Harold Smith. Le regard lourd de sous-entendus d'Harold Smith. Harold Smith, dans son intégralité.
Que son altesse David Matthews du royaume de Pearl essaye d'exercer son droit de cuissage sur toutes les servantes du palais était une chose. Mais qu'il ignore la façon dont elle avait refusé de diner avec lui en était une autre.
Lizzy plongea les yeux dans ceux de David. Carrant les épaules, elle était plus que prête à livrer cette bataille silencieuse. Mais son regard erra sur son visage notant à quel point cet homme était superbe et élégant. En réalité, ces mots ne lui faisaient pas justice, mais l'esprit de Lizzy avait toutes les difficultés à aligner deux pensées cohérentes. Superbe et élégant ?
De la mannequin décérébrée à la journaliste d’un grand magazine politique, toutes étaient des cibles potentielles du moment que leurs mensurations respectaient le diktat du 60/90/60 et que leur QI ne dépassait pas celui d’un écureuil faisandé.
Il était magnifique. De manière totalement objective, elle devait bien se l’avouer, ce mec était absolument sublime. Aussi sublime qu’elle était banale. Ils étaient les deux opposés. Le yin et le yang. Le jour et la nuit. Le ketchup et la moutarde. En bref, plusieurs galaxies les séparaient.