Citations de Emma Samary (73)
Le pire c’est lorsque
Tu ne ressens plus de colère
Envers celui que tu aimes,
Mais du dégout.
C’est faux,
Un cœur ne se brise pas,
Il se déforme,
Et nous fait
Aimer n’importe comment.
Je peux supporter tous les conflits,
Tant que je ne suis pas la seule à me
Battre pour arranger les choses.
C’est faire le bon choix
Qui peut faire souffrir
Ce qui fait mal c’est
D’avoir besoin de
Me confier à toi,
Et de clairement voir
Dans tes yeux que je t’ennuie.
Regarde ce que j’ai fait de toi.
Regarde ce que tu as fait de moi.
Regarde tous ce qu’on
N’a pas fait de nous.
Lorsque tu sors d’une relation
malsaine, tu découvres qu’ un beau
tas de fumier peut faire pousser
une belle fleur.
Survivre,
Ça offre des cicatrices,
Comme des pétales
Si je souffre
C’est que je suis
Très douée pour dire au revoir,
Mais incapable de dire adieu,
J’espère
Que je serais
Encore capable d’espérer
Si tu aimes tant mon sourire,
arrête de me faire pleurer
Il est difficile de
Faire comprendre à
Un Cœur amoureux
Qu’il peut mériter mieux
Que ce qu’il veut
Le jour où il m'a quittée, j'étais persuadée qu'il pleuvait, j'ai levé la tête et; rien, le ciel était bleu, et le soleil doré, pourtant, pour moi, il pleuvait, là, dans mon cœur.
Et ses mains sentaient l'essence d'un briquet ayant allumé mille mensonges.
Je n'ai certainement pas fait assez de sport dans ma jeunesse pour supporter ainsi les mouvements irréguliers de mon cœur.
DAVID FOENKINOS
Il y a des gens qui, paisiblement, m'apportent des déceptions, des trahisons ou des blessures que je vois venir de loin.
Pourtant je ne fais rien pour les éviter.
J'ai toujours espoir qu'ils vont en valoir la peine.
Ça n'a jamais été le cas.
J'aime les amours audacieuses qui, même les pieds sur terre donnent des vertiges au cœur.
J'aime les amours classiques qui, même la séduction passée, ne s'arrêtent pas de surprendre.
J'aime que l'on aime chez moi, plus, bien plus, que ce qu'il y a à aimer.
Il y a des amours comme ça, dont même les souffrances ne peuvent effacer les plaisirs.
Lorsqu’il avait le temps, il venait me voir. Moi, je trouvais le temps pour venir le voir. Toute la différence est là.
- Ne me demande pas pourquoi je suis partie. Demande-toi pourquoi je ne pouvais plus rester.
À même acte, différente volonté.