Eric Quesnel

L’histoire est excellente, digne des meilleurs polars que j’ai lu ces derniers temps mais c'est mal écrit, à l'emporte-pièce. Exemple : quand un personnage rit, le lecteur le sait par des « Ha! Ha ! Ha ! » ou des « Hi ! Hi ! Hi ! », quand ils parlent fort ou crient le texte est juste écrit en majuscule. La psychologie des personnages est réduite au minimum, en fait tout est réduit au minimum Le point fort est l’intrigue qui a quelque chose de celles d’Yrsa Sigurdardottir mais dans un cadre comme celui d’Ilaria Tuti dans Sur le toit de l’enfer ou du Baztan de Dolores Redondo : le grand nord canadien. Belle matière, bon sujet. Il y a aussi du rythme, accentué par des chapitres très courts (mais pourquoi faire occuper à chaque titre de chapitre une pleine page, à part pour gaspiller du papier?), malgré tout il m’est difficile de dire que cela tient bien en haleine, tellement ça se lit vite. Le style est si minimaliste qu’il en paraît plat, à peine rattrapé pour le lecteur français par le pittoresque des expressions canadiennes . L’impression que l’auteur a fourni un très bon travail préparatoire, puis qu’il a attaqué l’écriture du texte et publié le premier jet tel qu’il était. Un sujet pareil, il y a de quoi faire un minimum de 250 pages, et même presque 500 sans rajouter aucune scène. C’est dire si Eric Quesnel est concis !

Je n’ai pas beaucoup aimé. D’abord c’est mal écrit, à l’emporte-pièce. Ensuite je me suis braquée dès les premières pages (se faire relire me semble un minimum) : le premier chapitre s’intitule « Montréal, juillet 2020 », au deuxième chapitre Martin écoute les infos dont il est question au premier chapitre et il reçoit un mail l’invitant à une soirée en août 2019 ! J’ai cru un instant avoir mal compris, être dans un flash-back, mais non, c’était juste une coquille (de taille) ! Il y a quand même quelques points forts dont le rythme, soutenu, qui tient bien en haleine. Par contre j’ai eu du mal à supporter jusqu’au bout cette accumulation de théories du complot. Sans spoiler, tout ce que vous avez pu entendre y passe pratiquement, imaginez un truc genre Da Vinci Code en moins de 150 pages. Je n’étais pas loin de craquer, mais je voulais savoir dans quel sens l’auteur concluait. Et je n’ai pas été déçue, les deux dernières pages rattrapent le reste, doublement d’ailleurs. Ce qui explique que je n’ai pas mis une étoile mais deux et demi. Une jolie progression pour deux pages. Mais il faut s’accrocher pour arriver à ces deux pages tant on a droit à tout le fatras du tout venant du complotisme.

Les P’tits papiers de So pour Collectif Polar

Un tueur en série. Des flics. Des énigmes. Seule la solution peut sauver les victimes.

La Maître des énigmes est une vraie découverte. Amateurs du genre vous devriez trouver votre compte dans ce premier roman d’Eric Quesnel. Véritable page turner, l’auteur nous entraîne dans une traque haletante et efficace d’un tueur en série qui joue sérieusement avec les nerfs des flics, et bien plus encore avec ceux du lecteur. L’écriture est fluide, simple, efficace, ponctuée de délicieuses expressions québécoises. Si ces expressions peuvent surprendre dans un premier temps, on s’habitue très rapidement au style et au jargon du pays du sirop d’érable.

On se laisse prendre au jeu, les énigmes ponctuent le roman, bien pensées, bien placées, elles servent avec brio l’enquête, les solutions sont bien amenées, compréhensibles.

Des personnages malmenés auxquels on s’attache. Le scénario est travaillé, tout s’emboîte.

Contrairement à ce que pourrait laisser paraître la couverture, point de gore dans ce roman, mais une bonne dose de suspens pour vous agacer page après page. Y’a pas à dire, pour un premier roman, c’est bon. Très bon. Moi qui ne suis pas douée en casse-tête en tout genre, j’ai pris un plaisir certain à suivre cette enquête et à me prêter au jeu. J’ai aimé cette plume vive, cette poursuite agaçante, et n’ai qu’une hâte, connaître la suite des aventures de l’équipe de Jay Harrington , dans un second opus bien plus sombre encore !
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Je lis pas mal de romans policiers et de thrillers; rarement qui m'ont tenu aussi en haleine que celui-ci. Pourtant avec un peu de recul certains aspects ne sont pas vraiment crédibles. Mais en cours de lecture on s'en fout un peu tellement on veut connaître le nouveau plan machiavélique du tueur, le genre d'intrigue qu'il soumettra aux enquêteurs, leur capacité à résoudre ou pas avant l'échéance qui est toujours très, trop, courte. Et comme ça se passe au Québec, dans ma région en plus, mon enthousiasme n'en est que décuplé. Je ne connaissais pas cet auteur mais je compte bien vérifier si cette pépite n'est qu'un accident de parcours ou pas. Chose certaine je suis enchanté de cette lecture, sans restriction !

Bonjour les babeliophiles petit retour sur ma dernière lecture.

J'avais aimé la première partie de "Derrière les arbres" donc je me suis jeté sur la seconde partie. Même si l'enquête est toujours aussi prenante car les meutres continuent et l'on veut savoir et surtout comment cela est possible. Et c'est la que le bat blessé sans trop en dévoiler j'ai eu du mal à y croire malheureusement. Mais je vais continuer à lire cet auteur. Mr Quesnel puis je vous demander une faveur arrêtez avec vos HA!HA!HA! 24 dans cette 2eme partie un peu trop à mon goût.

Mais comme je dis toujours ceci n'est que mon avis personnel.

Le Maître des énigmes, l'intégrale c'est 650 pages de pure folie.

C'est 3 livres dévoilés : #1 "Le Maître des énigmes", mais aussi #2 "Dites-leur que je vais tuer" et enfin #3 "Vivre pour tuer"

C'est la confrontation entre un policier, Jay Harrington (et son équipe) et un tueur en série. Un dingue comme on n'en voit rarement. Le mal incarné

650 qui vous tiendront en haleine jusqu'à la dernière page de ce suspense policier.

En plus vous aimez les énigmes et si vous adoré être mis au défi alors c'est sur ce livre est pour vous.

Une fois la lecture de ce livre commencée, vous ne pourrez plus vous arrêter c'est certain.

Alors vous attendez quoi pour découvrir la trilogie "Le Maître des énigmes"






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Bonjour les babeliophiles petit retour sur ma dernière lecture.

J'ai carrément adoré ce thriller des chapitres courts ce qui nous fait continuer tant on veut savoir la suite de cette intrigue. Des restes humains sont retrouvés dans un cimetière improvisé il y a pres de 9 ans. Et donc Catherine et François enqueteurs vont essayer de résoudre ce cold case. Le seul petit bémol à cette lecture c'est la répétition de certains.mots canadiens et le ha ha ha et hihihi mais à part cela rien à dire mais comme je dis comme toujours ceci n'est que mon avis personnel.

Et je vais vite je jeter sur le tome 2

Énorme trilogie de 650 pages racontant l'enquête policière de Jay Harrington contre celui qui se fait appeler Le maître des énigmes.



D'abord, le livre. Celui-ci est format géant, mais vraiment GÉANT et rempli d'images et photos tout au long de l'histoire qui permettent de bien visualiser la ligne de pensée de l'auteur.



En ce qui concerne le style d'écriture, on sent un peu la maladresse dans le tome 1, mais je crois qu'il s'agit du premier roman de l'auteur. Toutefois, cela s'améliore aux tomes 2 et 3. L'expérience ;-)



J'ai particulièrement apprécié les petits sauts dans le futur; la façon dont Eric Quesnel nous informe de ce qu'il adviendra d'un personnage qu'on ne reverra pas : "Après cette expérience traumatisante, il avait dû prendre une année sabbatique. Toutefois, il récupéra et retrouva son poste de patrouilleur. [...] Il était aujourd'hui sergent". J'ai lu beaucoup de polars / thrillers dans ma vie et je n'ai pas souvenir qu'un autre auteur ait fait la même chose. C'est rafraîchissant!



Bien sûr, il y a les énigmes. Il y en a plusieurs; certaines assez faciles, et d'autres très difficiles. C'est assez amusant de se creuser les méninges pour trouver la réponse.



Pour moi, un excellent thriller doit comprendre un dénouement où tout se mettra en place. C'est mon petit bémol sur cette trilogie. Il y a beaucoup d'action, mais je suis restée un peu sur ma faim. Il n'y a pas eu de "Ouahhhh c'est comme ça qu'il a fait". Aussi, la surutilisation du mot merde et les incalculables cafés pris dans le roman m'ont un peu exaspérée.



L'histoire... Jay Harrington est enquêteur. Deux personnes disparaissent; un journaliste bien connu et sa femme. À leur domicile, dans la cour, deux croix ainsi que deux énigmes attendent Jay et son équipe. Le temps est décompté, peu de temps en fait, afin de sauver lesdites personnes. Et voilà comment Le maître des énigmes apparaît dans la vie de Jay! À partir de ce moment, celui-ci l'entraînera dans une spirale sans fin d'énigmes à résoudre pour sauver la vie de plusieurs personnes dont son amoureuse.



Malgré tous les efforts déployés, Jay et son équipe se retrouvent toujours en réaction face au tueur en série. Jay devra trouver un moyen de prendre les devants s'il veut avoir une chance de le coffrer.

Bonjour à tous,



Ce livre est ma première plongée dans l'univers d'Eric Quesnel.

Je n'ai lu aucun de ses écrits précédents mais le profil chaleureux du bonhomme m'a donné envie de lire son dernier bébé « Un funeste récit ».

Autant vous dire que ce dernier n'a pas fait long feu ! Je l'ai dévoré en une journée. J'ai été embarquée dès les premières pages. Faux semblants, manipulations, rebondissements, entrelacement de faits réels et de fiction… l'auteur nous mène par le bout du nez et semble s'en amuser.

Les deux protagonistes de ce roman sont bien campés et complètement atypiques. Martin est un homme somme toute banal. Surmené par son travail et détruit par sa dernière relation amoureuse, il a décidé de prendre une année sabbatique pour se reposer et se recentrer sur lui-même. Martin nous ressemble, chacun d'entre nous peut se reconnaître en lui. En tout cas, moi, je me suis identifiée à lui.

Et puis, il y a Bastien. le meilleur ami d'enfance de Martin. Les deux amis s'étaient perdus de vue. Il réapparaît dans la vie de Martin da manière inattendue pour lui demander un service. Bastien est nerveux, mystérieux voire complètement perché.

L'association de ce duo improbable et de la trame originale du récit forme un scénario étonnant !

Les chapitres courts apporte un rythme trépident à l'histoire ; le style de l'auteur, vif et fluide, est agréable à lire.

Entre bienveillance et méfiance, votre libre-arbitre sera malmené et vos certitudes bousculées.

Sacrée imagination Eric ! J'ai passé un très bon moment de lecture.

Bonjour à tous mes amis psychopathes...



Me voilà embarquée dans une enquête à 100 à l'heure.... Un tueur machiavélique, qui déborde d'imagination, pour faire subir à ses victimes les pires horreurs... Un tueur machiavélique, qui dévoile ses crimes sous forme de petits poèmes (sizain), remis à l'inspecteur Jay Harrington et son équipe. Un prédateur et des sizains qui font perdre la boule à l'équipe mais aussi au lecteur...



Un suspens qui va crescendo, et si l'on pense avoir trouvé la clé de l’énigme, et bien Non ! Une autre piste nous attends ailleurs....



Une intrigue originale, une fin déroutante, à lire absolument...
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Dans le dernier opus, un doute, le maître des énigmes a-t-il réellement disparu ?

Que nenni....

Jay Harrington est à nouveau confronté au tueur en série le plus recherché du Canada. Cet homme cruel et machiavélique, joue avec ses proies, et impose une pression psychologique intense à l'équipe de Jay.

Arriveront-ils à déchiffrer les énigmes et délivrer les victimes ?

L'auteur, joue avec nos nerfs, le suspense va crescendo, en bref, lisez-le, vous ne serez pas déçu...
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et bien que dire de cet lecture qui ma fais pensé au zodiac avec les code

bof un thriller trop facile a comprend je droit c'est plus pour jeune ados

sa aurais été bien pour eux.

Si vous espériez vous creuser les méninges pour résoudre des énigmes, passez votre chemin. Le maître des énigmes n'est en rien un maître. Ses énigmes sont d'une facilité déconcertante. Pour les amateurs d'énigmes, ce sont même des classiques du genre.

Le principe du roman : Jay Harrington, flic québécois, est confronté à une série de meurtres dont il est parfois lui-même l'assassin involontaire. Des personnalités sont mises dans des situations potentiellement mortelles. Jay doit résoudre à chaque fois une énigme. Il répond bien, la victime en réchappe. En cas de mauvaise réponse, la sentence est irrévocable : la victime meurt.

Mais, comme je vous le disais précédemment, les énigmes sont très faciles. C'est à se demander si l'auteur ne suppose pas que les flics québécois sont d'une bêtise sans nom pour ne pas réussir à les trouver.

Car oui, le livre est en québécois. C'en est même marrant. On découvre les différences entre notre bon vieux français et le français de nos amis nord-américains. Mais je vous rassure : le livre est totalement compréhensible.

Mais le gros point noir est l'orthographe.Chaque page comprend au moins une faute. Certes, le livre est en québécois. Mais je pense que les bases sont communes avec le français de chez nous. Un pluriel reste un pluriel et prend donc un "s" ou un "x". La conjugaison d'un verbe à l'imparfait prend "aient" à la fin lorsque le sujet est "ils" et non "ait". Ce ne sont malheureusement que deux exemples. Vous en trouverez pléthore dans le roman. Le pire, c'est que l'auteur remercie sa correctrice à la fin du livre. Un conseil : qu'il en change et que celle-ci envisage une reconversion !

C'est bien dommage car l'histoire, elle, est intéressante. Des énigmes un peu plus compliquées et moins de fautes en auraient fait un très bon livre.

Québec, 13 mai 2002 : Jay Harrington, inspecteur aguerri du Bureau des Crimes majeurs est destinataire d’une lettre contenant l’image d’une pierre tombale avec les dates suivantes : 12 février 1962- 13 mai 2002 ainsi qu’une suite de chiffres. Cette mise en scène macabre signe le début d’une course contre la mort et la montre pour sauver la vie d’un homme. S’il veut le sauver, Harrington devra résoudre l’énigme des chiffres. Ce que l’inspecteur ne sait pas encore, c’est que ce jeu mortel n’en n’est qu’à ses débuts car huit mois plus tard, le tueur dénommé le maître des énigmes va récidiver et relancer une partie diabolique en faisant monter la pression de plusieurs crans.



Un tueur en série, des énigmes à résoudre, des victimes innocentes et un flic lancé à toute allure dans une course contre la montre : tic tac, tic tac, tic tac… Ferez-vous mieux que Jay Harrington ?



A vous de voir, pardon! A vous de lire...



Mon avis :



Le maître des énigmes tient les promesses contenues dans son titre et offre un agréable moment de lecture. J’ai trouvé beaucoup de très bonnes choses dans ce tout premier thriller et je pense qu’Eric Quesnel a un gros potentiel pour passer "maître ès thrillers".



La plume est très québécoise et les petites réticences de langage du début ont très vite disparu au profit de l’intrigue qui a vite pris le dessus.



Car oui, le gros point fort de ce thriller est l'intrigue et le rythme insufflé au récit. Tout va vite, tout le temps, il n'y a pas de temps mort et je ne me suis pas ennuyée.



Eric Quesnel livre un scénario digne d’un film hollywoodien, calibré comme il se doit avec des moments de tension bien maîtrisés. J’ai trouvé ce livre assez cinématographique et visuel avec de bons rebondissements et je me suis très rapidement piquée au jeu des énigmes mortelles du maître. Plus d’une fois je me suis surprise à chronométrer mon temps de résolution afin de savoir si j’aurais mieux fait que Jay. Le résultat n’était pas brillant^^… Ces énigmes vous impliquent forcément dans cette course contre la mort et vous prenez un ou deux points de tension à chaque nouvelle devinette mortelle. L’intrigue fonctionne, même si j’ai pu trouver quelques longueurs de temps en temps.



(Les titres donnés à chaque chapitre sont en revanche inutiles et suggère, selon moi, beaucoup trop le contenu de chaque chapitre.)



En ce qui concerne les personnages: c'est pas mal même si je pense que l'auteur aurait pu mieux les développer dans leurs personnalités. Le duel entre Harrington et le Maître fonctionne bien mais aurait pu, à mon sens, être plus diabolique et pervers grâce à cela.



Le personnage de Jay Harrington, en flic aguerri et abîmé, est bien campé mais il reste surtout décrit dans ses actions de policier et n’est pas assez introspectif selon moi. Ce personnage a encore plein de facettes à dévoiler pour se rendre véritablement attachant. Dans l’hypothèse d’une suite, j’espère que l’auteur fouillera beaucoup plus son personnage. Le Maître des énigmes est aussi bien campé et réserve un joli final, tout en demeurant là aussi, pas assez fouillé, selon moi, dans ses motivations et dans sa construction personnelle. L’auteur utilise la technique du journal intime du tueur afin d’incruster des passages personnels sur ce maître des énigmes. C'est une super idée, mais j'ai un peu regretté que ce journal n'en dévoile pas plus...



Pas bien grave,



Au final, j'ai passé un bon moment de lecture avec ce premier thriller efficace d'Eric Quesnel qui tient ses promesses en termes d'intrigue et de suspense.

A découvrir pour ceux qui veulent se creuser un peu les méninges.

Alors là, un grand bravo Eric, ce livre est une pépite !

Dès les premières pages, impossible de s'arrêter, un vrai page turner ! Des chapitres très courts, super efficaces, qui donnent envie d'avancer rapidement dans l'histoire.

Les énigmes sont géniales, on essaye de les résoudre en même temps que l'enquêteur pour sauver la vie de toutes ces personnes.

Jusqu'à la fin on est pris dans l'enquête, et on se demande si ce serial killer va enfin être arrêté !

Et la fin, mais quelle fin ! On ne s'y attend pas du tout !

Alors certes il y a quelques petites coquilles restantes, un langage québécois qui peut en dérouter certains, mais je vous assure ça ne gêne en rien la lecture !

C'est mon premier coup de coeur de l'année, je me devais de vous en parler !

Eric, tu as fait fort, on attend le prochain avec impatience, et tu as la pression, arriveras-tu à faire aussi bien ? 😅

Courrez l'acheter !
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Il était une fois… non, non. Il était… sept fois, sept auteurs qui ont écrit sept nouvelles basées sur sept histoires vraies. Sérieusement, j’en ai eu des frissons dans le dos!



C’est lors du dernier Salon du livre clandestin que je me suis procurée ce bouquin à l’entrée. J’étais curieuse et puisque j’aime bien encourager les auteurs de mon petit coin de pays, je n’ai pas hésité longtemps avant de l’acheter.



Et puis, je savais que j’allais sortir de ma zone de confort en lisant ce livre et je peux vous confirmer que ce fut effectivement le cas. Certaines nouvelles m’ont laissé voir une telle noirceur de l’être humain que ça fait peur. J’ai de la difficulté à imaginer que de tels événements ont eu lieu. J’ai bien aimé retrouver à la fin de chaque nouvelle, les liens et les preuves que les événements ont bien eu lieu.



Malgré le côté sombre et glauque de ce recueil, je dois saluer le talent des auteurs pour avoir su mettre ces événements véridiques sous un angle aussi réalistes et qui m’a permis de ressentir une panoplie d’émotions. J’écris cette chronique et je revois dans ma tête toutes les images qui me sont venus en lisant le bouquin.



Je suis bien heureuse d’être sortie de ma zone de confort. J’ai découvert des auteurs de talent et qui m’ont donné le goût d’aller voir ce qu’ils ont écrit en dehors de ce recueil. Voilà une des raisons pour lesquelles j’adore lire des recueils de nouvelles. On y découvre toujours de jolies pépites d’or!


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Neuf tombes découvertes dans une forêt, neuf croix en bois, neuf noms. Mais aucun indice.

Une dizaine d’années plus tard, Catherine Tremblay et Philippe Arsenault, du département des affaires non classées, reprennent l’enquête.

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Ouvrir un nouveau livre d’Éric Quesnel est toujours un plaisir. Parce que je suis certaine de passer un bon moment, Éric arrivant toujours à m’entrainer dans son histoire.

On retrouve ici les deux enquêteurs des 35 doigts pour un démon, Catherine et Philippe, dans une enquête complètement indépendante.

Pour ceux qui ne les connaissent pas encore : Catherine est la cousine de Jay Harrington, le célèbre policier qui travaille sur l’affaire du Maître des énigmes. Il lui a proposé d’embaucher Philippe Arsenault, avec qui il faisait équipe et qui a perdu une jambe lors de l’enquête. Philippe ne peut plus travailler aux Crimes Majeurs, mais est tout à fait apte pour aider Catherine. Un duo complémentaire s’est formé.

Ils travaillent sur des affaires non résolues, essayant de les regarder avec un œil neuf pour peut-être trouver un détail non exploité à l’époque de l’enquête, quelque chose qui aurait paru anodin et sans valeur.

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L’écriture est toujours aussi agréable à lire, parsemée de quelques mots ou expressions typiques, qui nous apportent une touche d’authenticité sans pour autant gêner la compréhension du lecteur français.

Comme dans Les 35 doigts, on connait très vite le coupable. Mais ne croyez pas que le livre perd son intérêt. Au contraire ! On suit avec un plaisir non dissimulé le travail des enquêteurs, leur avancée, leurs idées, parfois bonnes, parfois erronées. Éric sait travailler ses personnages et faire des descriptions sans longueur. Juste ce qu’il faut pour que les images nous viennent à l’esprit. On se surprend à tourner les pages pour avancer nous aussi et voir comment ils vont arriver à résoudre cette affaire.

J’ai essayé de ralentir le rythme pour savourer ma lecture, sachant que l’attente avant le prochain sera longue, mais pas moyen. Chaque fois je me fais avoir par l’écriture, par l’histoire, par le plaisir que j’y prends. Et je termine mon livre sans presque le vouloir… Il faut dire qu’Éric est un conteur né et j’aimerais avoir un jour la possibilité de le rencontrer.

Juste un mot sur la fin : j’ai eu envie de commettre un « auteuricide » …Vous comprendrez pourquoi lorsque vous y arriverez. Comme moi, vous n’aurez qu’un seul mot à la bouche « bourrique » (je précise que c’est gentil !!)

Je vous souhaite une bonne lecture

Eric Quesnel a réussi à me surprendre une nouvelle fois. Il « torture » son lecteur et le pire c’est que le lecteur y prend plaisir !!

Dès les premières pages, l’envie d’avancer dans le livre est là et ne nous lâche pas. D’autant plus que l’on connaît déjà Jay et ce qu’il a traversé. C’est pour cela qu’il faut lire dans l’ordre, sinon vous serez un peu perdu et ce serait vraiment dommage !

L’auteur n’a pas ménagé sa peine pour nous réserver surprises et rebondissements. Chaque fois que j’ouvre un nouveau livre, je me dis que ce coup-ci il n’arrivera pas à m’avoir ,que je serai « vigilante ». Mais, et pour mon plus grand plaisir, je me trompe chaque fois. Eric arrive toujours à trouver le petit truc qui fait que je plonge dans l’histoire et que j’arrive à la dernière page sans m’en rendre compte tellement je suis happée !

Et cette fin !!! Comment dire…je n’ai pu m’empêcher de m’exclamer « oh la bourrique ! » (terme tout à fait gentil je précise !) C’est simplement qu’il nous laisse dans une situation qui nous donne des envies d’auteuricide, autrement dit qu’il nous donne envie d’avoir la suite, là, tout de suite, maintenant !! Quand je vous dis qu’il aime torturer son lecteur !!! Mais… on adore ça !!!!(Ne lui répétez pas surtout ! il serait capable d’inventer encore bien pire…)

J’aime beaucoup Jay. Il est intelligent, méthodique mais aussi en proie à des doutes et des blessures. Avec ses collègues, ils forment une équipe soudée, presque une famille. Un nouveau membre va les rejoindre, Kellyann Gauthier, qui sera très vite intégrée.

Je pense que vous avez compris, j’ai adoré ce livre !!!Un coup de cœur ! Pas moyen de résister à l’envie d’avancer dans l’histoire, même si je sais que je vais regretter d’avoir fini trop vite.

Et vous, oserez-vous vous confronter à Quiz ?

Je vous souhaite une bonne lecture.

Découverte d’un auteur canadien, enfin découverte… il a déjà quelques livres à son actif ! Parsemé de quelques expressions québécoises, cela ne nuit en rien à sa compréhension… j’aime bien les thrillers et les auteurs de la Belle Province ! (un nouveau nom qui va s’ajouter à ma liste de chouchous québécois !)

Dans ce premier tome, on fait la connaissance de Jay Harrington du bureau des crimes majeurs et de son équipe ! ils sont confrontés à un individu particulièrement retors qui ponctue ses crimes d’énigmes que l’équipe doit déchiffrer rapidement, sinon le parcours sera balisé de cadavres, et ce Maître des énigmes a de l’ambition en la matière !

Des crimes particulièrement tordus et très soigneusement préparés, pas du meurtre bâclé à la petite semaine… On se laisse embarquer par l’histoire, bien sûr, ce n’est pas toujours rationnel, mais on ne demande pas forcément à un thriller de l’être, surtout quand un individu aussi démoniaque mène la danse ! j’ai adoré ! un coup de cœur ! j’ai noté la suite : dites-leur que je vais les tuer, vivre pour tuer, quizz, faites vos jeux, rien ne va plus ! gageons que le maître des énigmes n’a pas fini de sévir…

C’est mon tout premier livre de ce grand auteur et j’ai presque honte de le dire… J’ai tellement entendu parler de lui sur le groupe Facebook « Lecteurs de romans noirs/horreur » (un groupe que je ne peux que vous connaissez mais pas pour votre compte en banque 🤣🤣)! Tous les lecteurs ne disent que du bien de ses livres et j’étais donc impatiente de le découvrir enfin! J’ai ce livre chez moi depuis plusieurs mois, j’ai attendu volontairement pour le lire et zéro déception!!! Je comprends complètement l’engouement que suscite Monsieur Éric Quesnel! Déjà il a l’air d’être un homme exceptionnel mais il a une plume remarquable en effet et un sens de l’intrigue magistral!



Pour l’histoire : Amarok, un octogone, tué plusieurs personnes en les mettant en scène sous forme de contes de Disney (Blanche-Neige, Cendrillon,…). Pourquoi commet-il ces horribles meurtres? Dans quel but? Vous le découvrirez en lisant ce livre et je peux vous garantir que vous ne serez pas déçus!



J’ai encore plusieurs livres de cet auteur chez moi mais il m’en manque encore pour les commencer car ce sont des séries donc je vais attendre de me procurer ces séries complètes pour pouvoir le lire à nouveau avec grand plaisir!