Cette représentation [de la femme instrumentalisée] est notamment fondée sur une critique féministe de la commercialisation du corps féminin remontant aux années 1980, et selon laquelle la gestation pour autrui est assimilée à la prostitution, à la traite des femmes ou à la pornographie. La représentation est paternaliste, dans le sens qu'elle dénie à la femme promettant une paternité pour autrui toute possibilité de former librement sa volonté.