- (…) Vous avez réussi à détourner les contes de leur propos premier : ils sont là pour aider l'humanité à vivre, pas pour lui nuire !
(…)
- Vous êtes d'une grande naïveté, commissaire. Vous êtes-vous réellement penché sur l'abîme que sont les contes ? Il y a là toute la boue humaine : craintes, envies, pulsions destructrices. (…) Jamais la littérature n'améliore quoi que ce soit. Elle se contente de constater la permanence du mal, voire de l'entretenir.