-Votre dernier album s'intitule "Dead Fuckers". C'est également le titre de la chanson-phare où vous racontez l'histoire d'un homme qui va violer des cadavres. Ces cadavres prennent ensuite vie et le violent à leur tour. Pourquoi cette volonté de choquer?
-Moi je ne trouve rien de choquant là-dedans, rétorqua Azarian. Cet homme se livre à son vice et il en est puni par ceux-là mêmes qui sont ces victimes. J'ai surtout voulu montrer le caractère contagieux du vice qui se transmet comme un virus. En fait, c'est une chanson très morale...