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3.42/5 (sur 33 notes)

Nationalité : Uruguay
Né(e) à : Montevideo , le 12/10/1976
Biographie :

Romancière, professeure, traductrice et lectrice pour drivers éditeurs.
Elle a gagné en 2004 la bourse d’études Aschberg de l’UNESCO pour écrivains et a passé ainsi cinq ans en France, en 2006 elle remporte le prix de la fondation BankBoston pour la culture, en 2012 une bourse à l’université de New York en création littéraire, et depuis lors de nombreuses distinctions.
Elle publie en 2023 "Crasse rose", un roman d'anticipation à consonance écologique.

Source : Heliotropisme.com, wikipedia
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Fernanda Trías, ganadora del Premio Sor Juana Inés de la Cruz


Citations et extraits (10) Ajouter une citation
C'était mercredi ou jeudi. C'était vendredi ou samedi. C'était égal; les jours, les heures, si c'était l'hiver ou le printemps. Ce qui comptait c'était l'épaisseur du brouillard ou les fils rouges des nuages; ce qui comptait c'était le silence ou le hurlement de l'alarme annonçant le vent.
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Le début n'est jamais le début. Ce que nous confondons avec le début, ce n'est que l'instant où nous comprenons que les choses ont changé.
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Il n'y a pas de manière gracieuse de tomber.
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Delfa remuait la tête : on ne va plus avoir besoin de dents maintenant que plus personne ne mange de vraie viande.
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Pour toi qu'est-ce qui compte le plus, la liberté ou la vie?
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L'épidémie nous avait restitué ce que nous pensions quelques années plus tôt avoir perdu de manière irréversible : un pays de lecteurs, enterré loin de la mer, les riches dans leurs maisons de campagne ou leurs villas sur les hauteurs, les pauvres venant grossir les villes de l'intérieur, celles-là mêmes dont nous nous moquions auparavant car vides, défaillantes, obtuses.
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La pensée est un endroit dangereux.
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Elle s'efforçait de survivre à la maternité, ce champ de mine qui ne te permet pas le moindre écart sans prendre le risque de voler en éclats.
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L'épidémie nous avait restitué ce que nous pensions quelques années plus tôt avoir perdu de manière irréversible : un pays de lecteurs, enterré loin de la mer, les riches dans leurs maisons de campagne ou leurs villas sur les hauteurs, les pauvres venant grossir les villes de l'intérieur, celles-là mêmes dont nous nous moquions auparavant car vides, défaillantes, obtuses.
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- Si l’usine était trop vieille ? Oui, elle était vieille. Mais tout ce qui est vieux ne mérite pas d’être jeté à la poubelle. (…) – Vous avez eu de la peine quand ils l’ont fermée ? – Ce qui me fait de la peine c’est d’être tellement vieux que je ne reconnais plus rien. Ce monde n’est plus le mien. – Je ne le reconnais pas moi non plus, don Omar. – Mais le monde te reconnait encore, toi. – Vous n’avez pas peur de ce qui est en train de se passer ? – Ne t’inquiète pas, petite, je ne vais pas mourir à cause d’un quelconque phénomène, moi. Moi je vais mourir parce que c’est ce que je veux.
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