Fiona Neill

Sorti en 2007, ce roman est un peu aux "mères de famille-débordées- quarantenaires", ce qu'avait été Le Journal de Bridget Jones en son temps, pour les célibataires dans la trentaine... Et si je dis ça, c'est parce que le point de départ est grosso modo le même : Fiona Neill , journaliste free-lance au Times, se voit proposer une chronique hebdomadaire, de ces billets naîtra ce roman...

Qu'est ce qu'une mère indigne ?

Visiblement Lucy n'est pas la meilleure cuisinière du monde, elle n'est pas non plus, la femme d'intérieur la plus accomplie, et ne remportera pas non plus cette année le concours de la mère la mieux habillée...Un peu débordée par sa progéniture. Trois jeunes garçons, mère au foyer, une maison au nord de Londres et un mari souvent absent pour raison professionnelle (il est architecte), Lucy va se voir dépassée également par un gros crush, à la sortie de l'école, pour un parent d'élève qu'elle surnomme "Papa Sexy". C'est que Madame est mariée depuis des lustres, Madame s'ennuie un peu...

♫ Madame rêve d'apesanteur, de vertiges...♫

Entre son mariage, ses enfants, ses copines célibs' et les réunions de parents d'élèves, la vie de Lucie suit son cours...et ce n'est pas un un long fleuve tranquille...

Ce roman est une réflexion douce amère sur le couple qui dure, le couple plan-plan, , les hommes infidèles, les femmes trompées, les maîtresses, les fantasmes qui ne devraient rester que fantasmes.

Et les enfants dans tout ça ? Et bien , ce n'est pas le sujet principal, c'est pour ça que Lucy est une "mère indigne"..

Ce n'est pas "hilarant ", comme le promet Anna Wintour sur la couverture.... [ en même temps, qui suit les conseils d'Anna Wintour pour une bonne "marade" ? !]. Mais quelques jolies tirades ponctuent cette lecture, comme les surnoms trouvés par Lucy pour désigner les parents d'élèves :" Mère- efficace", "Mère-parfaite 1", "Père-célèbre".

J'ai trouvé ce roman bien écrit pour un roman de chick-lit , et quelques réflexions profondes et pertinentes sur les relations hommes/femmes peuvent faire réfléchir.

Par contre, est-il possible d'être à ce point aussi maladroite, idiote et inconséquente lorsqu'on est chargée de trois (petits) enfants et mère au foyer ? Héroïne sympathique et fofolle, c'est bien pour une "Bridget Célibataire", par contre, dans ce cas , c'est un peu exagéré et surjoué. Tout ça manque un peu de nuances ... C'est le seul reproche que je ferai.

Le reste est bien sympathique et une petite ballade au nord de Londres en ces temps troublés ne peut pas faire de mal...

Quand la tentation est trop grande pour une mère anglaise

*

Une comédie féminine qui m'a été piochée dans le challenge Pioche dans ma PAL. Je voulais me "vider" l'esprit après une lecture difficile.

Et encore une fois, je pourrais dire que les apparences sont trompeuses.

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Le résumé laisserait penser à un roman pour trentenaires frivoles. Que nenni! Malheureusement la couverture colorée et trop joyeuse la dessert. Dans ce livre, le ton est parfois dramatique et douloureux. Certes, il y a aussi beaucoup d'humour. Mais de cet humour un peu grinçant et de dérision.

L'auteure parle beaucoup d'éducation parentale. Un sujet assez tabou apparemment en Angleterre (du moins dans la classe aisée). Et de tentation d'adultère.

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L’héroïne a du mal à jongler entre les différentes tâches quotidiennes. Maman de 3 garçons turbulents, épouse d'un mari monomaniaque, voisine de familles ultra-bien-sous-tous-rapports. Dépitée par ses journées fades, elle lorgne sur un père au physique avantageux. De plus, elle a deux amies aux abois.

Résumé de cette manière, on a une trame assez classique, de "déjà-vu".

Les catastrophes pleuvent sur cette pauvre Lucy. C'est toujours la malchance au mauvais moment, au mauvais endroit. Caricatural et parfois "too much".

Et pourtant cela fonctionne sur moi. Peut-être que je m'y retrouve un peu. Une certaine tendresse se dégage aussi dans ses interactions avec son mari. De questionnements incessants en doutes multiples, Lucy sort son épingle du jeu.

L'auteure, avec ses phrases si "justes" , pose les bonnes questions sur le couple.

Et je dirais donc "encore une lecture légère mais pas tarte"

Terminé et ce n’est pas trop tôt !

J’ai été séduite par la couverture de « La Vie Secrète d’une Mère Indigne » de Fiona Neill. La quatrième de couverture était, elle aussi, très prometteuse car je cherchais un roman amusant et reposant ! « Hilarant » a dit Anna Wintour (Vogue). Je l’ai lu, lentement (pas bon signe) mais pas une seule fois j’ai ri !

Je reviens un peu sur l’histoire : Lucy, femme étourdie, désordonnée, olé, olé est mariée à Tom, son opposé ! ils ont trois enfants. Mère au foyer elle accumule les bêtises : exemple, ayant perdu l’étui, elle fait tremper ses lentilles de contact dans une tasse, bien entendu son mari, bois l’eau et les lentilles, elle accumule les PV, elle conduit ses enfants à l’école en culotte de pyjama (bien visible sous son manteau) etc….

Lucy prend, en tant que parent d’élève, part aux activités de l’école de ses enfants, elle y rencontre Mère-parfaite n°1, Mère-efficace, Père-Célèbre mais surtout Père-au-foyer-sexy.

Son fantasme : avoir une relation amoureuse avec Père-au-foyer-sexy ! Va-t-elle y parvenir ?

Lucy a aussi de bonnes amies, Emma, et Cathy, toutes les deux à la recherche de l’amour.

Je n’en dirai pas plus, tous ces personnages dont les histoires se croisent et s’entrecroisent, vivent des moments burlesques tout au long de ce livre de 475 pages.

Ce livre qui se veut amusant, ne m’a pas fait rire, j’ai peut-être du mal avec l’humour anglais. J’ai d’ailleurs quelques difficultés à faire un retour sur ma lecture, j’ai l’impression que je n’ai rien à dire.

J’ai aussi pensé qu’il s’agissait de la biographie matrimoniale de Fiona Neil qui vit à Londres, avec son mari et ses trois enfants elle a été journaliste tout comme Lucy.

Mon ressenti : bien écrit, normal Fiona Neill est journaliste ! J’ai trouvé ce livre terne, long, ennuyeux.

Je le conseille aux amoureux de l’humour anglais !

J'ai mis un petit peu de temps a entré dans cette histoire, je lis occasionnellement de la chick lit et j'aime bien cela mais ici ce livre est un peu plus gros que ceux que je lis en moyenne.



Nous faisons ici connaissance avec Lucy son mari Tom et leurs trois enfants Sam, Joe et Fred. Lucy a arrête de travailler afin de s'occuper de ces enfants et elle est plutôt une madame catastrophe puissance mille, sa voiture ressemble clairement à une décharge, son sac à main idem, elle oublie clé et passeport à longueur de temps. Même son petit Sam l'aide à taire la plupart de ses pertes.



Elle est entourée de mamans parfaites et de mamans super efficaces à ses yeux et tout son monde va être chamboulé quand elle va faire le connaissance d'un père hyper sexy qu'elle va d'ailleurs rencontré étant vêtu d'un pyjama en dessous de son manteau.



Un bon point pour le frère de Lucy qui se nomme Mark qui est un psychologue complètement allumé.



Lucy a également des copines complètement débridés sexuellement alors qu'avec Tom cela n'a plus rien de passionnel.



Une lecture divertissante mais ce n'est pas le meilleur livre chick lit que j'ai lu.

Titre intriguant. Couverture suggérant un sujet tabou traité avec humour. Une sorte de Bridget Jones maman à temps complet. Je vais allez droit au but un gros ingrédient a manqué pour en faire un bon roman.

Lucy la trentaine passée, mariée, mère de 3 garçons fort attendrissants, mère au foyer débordée et pas très à l’aise dans son corps. Et parfois pendant ses périodes d’absences parle sans filtre. Ah détail important elle fantasme sur Père-sexy-au-foyer.

Les points positifs de ce chick lit : le sujet tabou de l’éducation. C’est quoi être une bonne mère de famille? Qui n’a pas jalousé lors de la sortie d’école ces mamans au foyers toutes parfaites, super bien gaulées après 3 ou 4 accouchements, celles qui n’ont pas besoin de travailler pour faire la popote, aller au coiffeur, faire la causette à la sortie de l’école ou même délègue pour avoir du temps pour elle. Comment gèrent les mamans Wonder Mum qui refusent de lâcher leur carrière professionnelle ? Et puis surtout comment peut-on dire qui est ou pas une bonne maman ?

Pour faire la critique de ce roman je pense qu’une introspection s’impose.

Je suis « une mère indigne » : il était hors de question que je sois une mère au foyer, la popote et moi c’est 2, je cuisine et mon mari repasse et fait le ménage, je déteste faire la causette au maman à l’école j’ai l’impression de ne rien avoir à leur raconter, je préfère mes copines avec ou sans famille avec qui je parle sexe ou se faire de grosse bringue comme à mes 20 ans, je n’ai pas culpabiliser de laisser mon fils pour partir en vacances avec mon mari pour m’ envoyer en l’air comme je veux, et je n’ai jamais culpabilisé de l’emmener aussi depuis sa naissance à droite à gauche (voyage au 4 coins du monde) et tant pis pour sa sieste il suit et puis c’est tout. Participer aux événements de l’école est un exploit pour moi. Mais je le crie haut et fort j’aime mon fils plus que tout. Ah oui les grasses mat j’adore c’est mon mari qui gère. Et je précise j’ai une vie chargée pratiquement tous les week-ends et mon fils suit la majorité du temps.

Alors ce titre explicite on me l’a sorti. Je suis égoïste parce car je reste sur l’enfant unique pour garder mon temps libre, je fais subir ces voyages incessants à mon petit garçon (et oui comment tu fais quand il tombe malade, pour sa sieste, pour changer ses couches dans des pays sous-développés). Et bien je me suis toujours défendue : qu’il tombe malade au Sri Lanka ou en France il existe des pharmacies, la sieste peut se faire dans le bus, pour la nourriture et bien autant l’habituer à manger de tout, et surtout je veux que mon fils soit ouvert au monde. Et ma dernière réflexion : si mon fils et mon mari me sentent épanouie alors ils seront heureux et on formera une famille bien dans ses baskets. J’emmer……. Les autres, chacun sa vie.

Pourquoi avoir été narcissique dans ma critique ? J’ai compris Lucy sur certains points et j’assume d’être une mère indigne sur certains points aussi selon les critères de mathusalems.

Autre point intéressant du roman : la tentation qui est le fil conducteur jusqu’à la dernière ligne et rend l’histoire de Lucy addictive. Je défie quiconque je lui jeter la première pierre. Car la tentation elle y est tous les jours, on y succombe ou pas c’est le choix de chacun. Quand tout part en vrille et qu’un homme particulièrement séduisant peut vous sortir de votre cambrousse, je peux comprendre qu’on se sente prise dans un tourbillon d’émotions ambiguës. Je dis toujours à mon mari : toi et moi on ne fera jamais une soirée en célibataire si dans notre couple on n’est pas en osmose. Et oui un homme ou femme en souffrance peut vite se faire réconforter et toucher le point de non-retour.

Bon j’en viens enfin à la recette. Les ingrédients parfaits mais je pense qu’il manquait un élément plus qu’important : la fluidité. Le « lait » pour rendre l’ensemble agréable à lecture. Je m’explique, aux passages loufoques, l’auteure tombe à plat complet. Elle ne va pas au bout de sa plume. Je racontais à mon cher mari et c’est là que j’éclatais de rire. Elle traite le mal-être de Lucy assez maladroitement dans sa trame. Parfois des retours en arrières qui déconcertent le lecteur. Des conversations qui commencent et finissent à un autre moment. Un coup on est en vacances et après à l’école. Et Tom personnage important et trop omniprésent. Pour moi Fiona Neill tenait un sujet parfait mais n’a pas réussi sa recette. Dommage car je me retrouve dans un cas complexe. Une histoire géniale mais une plume et un ensemble pas assez maitrisés. Dilemme vais-je mettre la moitié ou l’accorder un petit supplément car j’ai adoré les sujets tabous abordés en essayant l’humour. Mais le mélange est resté parfois sans saveur. Obliger de me refaire les scènes dans ma tête pour rire toute seule et comprendre la vie de Lucy. Et ça ce n’est pas le but d’un roman, c’est de le vivre en direct.

Donc pour moi ce sera ce mélange qui est la grosse déception et franchement je suis dégoutée surtout qu’on tient une trame géniale dans l’air du temps. Mais je le conseille quand même à toutes les mamans qui cherchent une référence pour savoir si elles sont des mères indignes ou pas…..

Note : 3.5/5

Encore un roman de la veine de Bridget Jones pour nous dire que que tout le monde a ses défauts, même ceux que nous admirons en secret. En fait, le sujet est un peu trop éculé pour être d'être traité avec aussi peu de subtilité et d'originalité, finalement c'est un roman assez peu divertissant.



Cette mère franchement cracra (elle a des bouteilles à pipi dans la voiture jamais vidées) finit par taper sur les nerfs. RIEN ne peut être bien fait par elle et on finit par se dire que son mari est inconscient de la laisser seule avec les enfants.



Dans ce genre," la meilleure d'entre-nous" place la barre nettement plus haut.

Lucy est la mère débordée de 3 enfants légèrement turbulents. Ajoutez à cela qu'elle a une tendance bordélique et vous vous retrouverez dans sa vie joyeusement fouillis. Et ce n'est pas Tom, son psychorigide de mari qui va lui donner un coup de main. Entre emmener les enfants à l'école, gérer le quotidien et les crises existentielles des copines, Lucy a plus que son lot de galères. Le quotidien amusant d'une mère complètement débordée.



Lucy c'est la Bridget Jones des mères de familles. Elle multiplie les situations complètement loufoques et improbables. Au début, ses mésaventures sont amusantes, mais on se lasse très vite de ses déboires. C'est de pire en pire et à la fin, on voit arriver les situations. Je suis contente d'en avoir fini avec ce livre parce que le récit devenait vraiment lassant. Dommage.

Grosse déception pour ce livre qui raconte l'histoire d'une mère au foyer de trois enfants, complètement desorganisee qui fantasme sur un autre parent d'élève. Le scénario est très mince, on rit un peu mais c'est très vite indigeste. C'est le problème de ces livres dans la veine de Bridget Jones, c'est qu'ils en font trop. L'héroïne est agacante tellement elle accumule maladresses, oublis, inattention, entre les pertes de clés, la panne d'essence, les factures non payees ... et ça s'enchaine comme ça dans tout le livre.... j'ai mis du temps a accrocher, le milieu du livre s'est lu un peu mieux mais la fin est sans queue ni tête histoire de faire un happening de cinéma. Je ne vous recommande pas cette lecture.

J'étais enthousiaste au début. Lucy est une maman dépassée. Tom est un homme maniaque enfin tant que ce sont ses affaires et celle de sa femme. Leur duo est malassorti, la routine s'installe, le quotidien est un capharnaüm pour la femme. Tom est les pieds sous la table comme tout homme qui se respecte. Lucy est lasse. La flamme s'est éteinte. Les défauts semblaient équilibrés des deux côtés. Leurs trois enfants sont des terreurs, mignons, mais de loin. Bref, j'étais séduite.



Qu'est-ce qui a tout fait capoter ?



Lucy se met à baver sur un père de famille, père au foyer comme elle, son pendant masculin tout parfait. OK, pourquoi pas ? Elle le croise en bas de pyjama et tout poli qu'il est _ pas du tout_ il le lui fait savoir. Elle est moquée. Elle revient en rampant. Je m'agace. ça se sent hein.

La suite de ma chronique :
Lien : https://lesparaversdemillina..

Lucy, mère au foyer de 3 enfants, mariée à Tom, architecte.

Lucy est une mère désordonnée, débordée, fofolle, distraite... Tandis que Tom est plutôt maniaque.

Un beau jour elle s'aperçoit qu'elle a le béguin pour père au foyer sexy, alors que son couple est sur la corde raide. Alors, tentera ou tentera pas la folle aventure de l'adultère???



Je suis bien contente d'être arrivée à la fin de ce livre!

Autant les 10 premières pages m'ont amusées, j'y retrouvais des traits de caractères de mon mari et moi même, autant cette lecture est vite devenu barbante...

En effet il y a sans arrêt des retour dans le passé, ce qui aide à comprendre le présent, mais c'est chaque fois en plein milieu d'une action et je trouve que ça casse l'entrain de l'action décrite.

De plus il y a énormément de trèèèèèèssss longues description, pour ma part ça manque de dialogues.

Enfin, la fin est vraiment "to much"... Jamais une telle histoire ne pourrait arriver.

Bref, c'est déçue que je referme ce livre. Je ne laisse jamais un livre inachevé alors je suis allée jusqu'au bout mais c'est avec empressement que je vais en commencer un autre en espérant être enfin captivée.

Je ne suis pas très fan de ce genre , entre chick-lit et journal de Bridget Jones. Cependant je boude rarement une LC alors me voilà lancée avec mes copines Anne, Marie et Gaëlle.

Que dire ? C'est une comédie plutôt très caricaturale mais qui fait sourire et rire de bon coeur parfois.

Nous suivons le quotidien de Lucy qui se débat tous les jours dans les nombreuses contraintes journalières d'une maman avec trois enfants. En effet pas facile, de plus c'est bien connu le travail d'un femme au foyer n'est pas vraiment reconnu et l'auteur met bien en avant cette problématique. Cathy, Emma les meilleures amies de notre héroïne le relèvent parfois, mais comment Lucy se débrouille-t-elle et que fait-elle de ces journées ?

Pour couronner le tout, Tom le mari de Lucy très carré voire maniaque se désole du manque d'organisation de sa femme. Petite femme qui outre le fait d'être dépassée est miss catastrophe et s'empêtre dans des situations les plus improbables . En face d'elle des mamans super-parfaites qui maitrisent la gestion de leur temps, toujours à l'heure, toujours tirées à quatre épingles, une belle-mère dans le même ton, même la baby-sitter semble mieux se débrouiller que notre héroïne.

Et c'est là ou le bât blesse pour moi, ce qui fait dire que le personnage de Lucy est très caricaturé, trop même, celle-ci part en pyjama à l'école (OK je l'ai vu parfois) perd ses clefs toutes les trente secondes, sa carte bleue, met ses verres de contact dans une tasse, oubli d'emporter les caleçons de son mari dans la valise pour les vacances et ne culpabilises pas un brin de toutes ses frasques...., ce qui donne des scènes cocasses et je dirais que pour certaines c'est un peu trop, et j'ai quand même souri et même ri souvent. Cependant l'auteure stigmatise un peu trop le manque de participation des hommes, pauvre Tom! et que doit faire pour être la mère parfaite en nous dépeignant tout son contraire

Cependant, force est de le reconnaitre, Fiona Neill traite parfaitement le délitement de la passion amoureuse

-(..) le problème, c'est que meme si c'est le sexe qui engendre les enfants, ce sont les enfants qui tuent le sexe"

et les conséquences d'un train train quotidien et des crises dans une vie de couple, les questionnements de toute femme, et oui le sexe féminin s'en pose plus que les hommes.

Le personnage de Tom est particulièrement attachant malgré son coté rigide et voire coincé, il m'a plus touché que Lucy. Pour autant j'aurais dû compatir pour elle, contrainte d'abandonner un métier plutôt passionnant pour un quotidien assez monotone rythmé par les catastrophes hebdomadaires dont elle est bien souvent responsable et qu'elle apprécie parce qu'ils cassent sa routine.

Alors doit-on comprendre son fantasme sur Père-au-foyer-sexy et son besoin de pimenter sa vie ? Je dirais oui, meme si ça peut choquer. Et de nous demander jusqu'au ira-t-elle et ce papa-sexy sera-t-il intéressé par une jeune maman aussi déjantée et si peu soigneuse de son apparence alors qu'il semble avoir une femme parfaite que malheureusement nous imaginons seulement , car elle est simplement entrevue ?

Je dois admettre que, même si je trouve son approche trop caricaturale avec tellement "too much", le style de l'auteur est plaisant malgré quelques digressions et le tout particulièrement agréable à lire. Les mésaventures de Lucy nous poussent en avant et l'on se demande bien ce qui va advenir de ce fantasme. Père-au-foyer-sexy et Madame-mère-indigne vont-ils "fauter" ? les personnages secondaires sont amusants et l'auteure brosse un tableau semblant assez réalistes et place nos protagonistes secondaires dans situations complexes et sujettes également à interrogations sur leur devenir. J'ai aimé cette ambiance Anglaise, son coté charme désuet et très moderne à la fois qui donne un ton agréable à cette aventure. Parfois la traductrice ponctue le tout avec des références très françaises, du moins je pense parce que Copains d' Avant ça existe en Angleterre ?

Le final est époustouflant et j'avoue que meme si j'avais deviné très vite la vérité sur le trio Guy/Emma/femme de Guy, je ne m'attendais pas du tout à une issue aussi vaudeville et Tom m'a vraiment séduite ( j'évite de penser que là aussi c'est un peu trop, je veux croire qu'un mec comme ça existe) .

Par contre je n'ai pas toujours compris comment une femme comme Lucy qui avait exercé un métier à responsabilité ait pu, en devenant mère au foyer se perdre totalement à ne plus parvenir à se plier à des codes sociaux comme si en acquérant ce nouveau statut, elle tombe dans une autre dimension et que ceux sont les mères parfaites de extra terrestres

Parmi toutes les scènes cocasses que nous suivons je suis restée frustrée sur la scène de la fête de Noël, j'en aurais voulu plus. J'ai eu aussi un petit soucis avec les personnages de mère parfaite et mère efficace, je me suis parfois un peu perdue jusqu'à ce que l'auteure attribue un prénom à l'une d'elle.

Merci à Anne pour avoir fait de ce roman un petit livre itinérant et m'avoir permis de passer un agréable moment de lecture sur un genre qui n'est pas cependant mon préféré. Quant à la note a lui attribuer, cela me pose un petit problème, parce que même si j'ai ri, souvent, je ne peux m'empêcher de trouver scènes et situations hautement improbables. Non je n'arrive pas à croire à la réciprocité de l'attirance de Lucy et bien d'autres choses encore, je vais me répéter, comme l'impossibilité d'une femme qui gérait sa vie professionnelle avec brio, du moins on le suppose, à moins que ce ne soit pas le cas et dans toutes ces digressions l'auteure n'y fait aucune référence, de gérer une famille et d'être à ce point une catastrophe ambulante qui pourrait attirer les hommes ! Ce coté trop improbable m'a dérangé.

Mais allez je vais être généreuse parce que j'ai souvent ri.

Lecture sympathique mais qui ne me laissera pas un souvenir extraordinaire.

Cette maman est bien une catastrophe ambulante, drôle souvent malgré elle et particulièrement agaçante à certains moments.

Certaines lenteurs mon coupé l'entrain sous les pieds plus d'une fois.

Plus d'une fois aussi j'ai trop eu un sentiment de caricature grotesque et c'est bien pour cela que je n'ai pas confirmé le coup de cœur qui m'a poussé à prendre ce livre

Dommage

Fiona Neill nous entraîne avec elle dans la vie trépidante de Lucy, maman au foyer de 3 enfants et mariée à Tom, un architecte.

C'est avec humour que l'on va suivre l'évolution de cette femme gaffeuses, mais qui reste aussi femme, avec ses fantasmes (sur un papa de l'école de ses enfants). On va suivre l'évolution de cette relation entre Lucy et père-au-foyer-sexy et la culpabilité qu'elle peut ressentir (qu'il y ai quelque chose ou pas).

Mais on rit aussi beaucoup avec toutes les gaffes de cette femmes au quotidien (perte des clés, panne d'essence, envoi d'un mail personnel à tous les parents d'élèves de l'école, ...). On découvre aussi les histoires de ses amies qui vont mener Lucy dans d'autres aventures également.



On ne s'ennuie jamais dans ce livre, avec un rythme soutenu.

Mais je reste sur ma faim avec la fin de l'histoire. J'aurais aimer un peu plus de détail et que le livre ne se termine pas a ce moment là.

Bon vu ma note que dire de plus ?

Je n'ai même pas réussi à le finir ! Il ne se passe tout simplement rien...



On nous fait miroiter que notre mère de famille va tromper son mari avec le père au foyer sexy mais à la page 250 il ne s'était toujours rien passé à part un frôlement de bras... Je suis donc très sceptique.. et n'ai même pas eu envie de continuer.



D'autant plus que l'humour n'est même pas présent dans ce tome. Le style est complètement plat. Pour un chick-lit on s'attend à une héroïne maladroite, drôle... et la rien de tout ça.



Bref, en quoi cette mère est indigne ? Peut-être dans la dernière page du roman ?! Je ne le saurais jamais et ça ne m’atteint même pas !

Une bonne petite comédie sur les mères qui sont proche de la quarantaine entrain de se remettre en question.

J'ai beaucoup aimé le côté miss catastrophe de Lucy. Il y a un truc à ne pas faire à ne pas dire... c'est pour elle.

J'ai passé un agréable moment en lisant ce roman

Dès les premières pages, j’ai compris que ce livre serait juste divertissant. J’avais une impression de déjà vu et les situations un peu trop surfaites. Finalement, la vie des amies de Lucy m’a plus amusée que l’intrigue principale.



Quant à la fin, je l’ai trouvée un peu trop tirée par les cheveux.



A bouquiner donc si on a rien d’autre à lire ou qu’on veut un petit moment sympa.

Lucy était productrice d'émission de télé avant de décider de tout quitter pour se consacrer entièrement à ses enfants. Mais le moins que l'on puisse dire, c'est qu'elle cumule les bourdes et les catastrophes. Lucy est le genre de maman complètement dépassée par la surcharge mentale que génère l'emploi de maman à plein temps. Et pour compliquer le tout, elle commence à craquer pour un papa de l'école, risquant de mettre en péril son mariage.



Je pense que l'on peut tous se reconnaître à un moment donné dans le personnage principal. Quelle maman ne sait pas à un moment senti complètement submergé par les émotions au point d'en perdre la tête.

Bien sûr, c'est exagéré ici à outrance mais le fond prend sa source dans la réalité.



J'ai eu des difficultés à me plonger dans cette histoire, les 100 premières pages m'ont paru interminable. Mais je suis de celles qui finissent toujours un livre même dans le cas où il ne me plaît. J'ai bien fait car la suite du roman était plus divertissante.

Lent, des éléments comiques mais où il manque un je-ne-sais-quoi pour que la sauce prenne. Je l'ai lu en entier mais il m'a fallu du temps... Je n'étais jamais impatiente de découvrir la suite. Bof bof donc!

Il y a des mères "parfaites" et il y a les autres comme Lucy notre héroïne. Celle-ci enchaîne les catastrophes, les oublis...Heureusement qu'elle est attachante parce qu'elle serait presque énervante tellement certaines situations sont rocambolesques et qu'est ce que c'est que cette fin??? Pour moi, ce n'est pas le meilleur du genre.
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