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3.2/5 (sur 2037 notes)

Nationalité : France
Né(e) à : Paris , le 16/03/1972
Biographie :

Agnès Abécassis est une romancière qui vit et travaille à Paris.

Elle débute comme rédactrice et illustratrice dans un magazine féminin, où elle tient également une chronique mensuelle : « le Billet d’Humour d’Agnès ABK6 ».

Après la parution de son premier roman, elle travaille comme scénariste pour l'émission Ça Cartoon, sur Canal +. Aujourd’hui, elle est journaliste et chroniqueuse littéraire.

Écrire des comédies est l’une de ses activités favorites. Juste après se faire des brushing.

Son site : http://www.agnesabecassis.com/

Source : Wikipédia
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Aujourd'hui qu'est-ce que l'amour ? "C'est l'art délicat d'un texto. C'est hésiter, répondre, effacer et réécrire. C'est le coeur qui bondit après l'avoir reçu. C'est une déclaration dans un long mail. C'est un long mail qui devient une déclaration. C'est un selfie à deux ; une photo que l'on fait tirer. Les messages qui arrivent, du matin au soir, se répondent et parfois s'entrecroisent. C'est écrire la même chose, au même moment. Les SMS qui font sourire, les échanges sur WhatsApp qui deviennent des romans-fleuves, les stories et les reels. Ce sont aussi les charmes, les coeurs, les matchs sur les applications de rencontres". Telle est la nouvelle définition, mouvante et connectée, qu'Éliette Abécassis propose de l'amour moderne, dans les premières pages de son livre "De l'âme soeur à Tinder", une analyse de l'amour moderne, pris entre les dangers de la marchandisation, de l'individualisme et du capitalisme. Savons-nous encore aimer ? Comment penser l'amour dans le nouveau vocabulaire - et donc le nouveau paradigme de pensée - des applications ? Matcher, swiper, stalker ou encore ghoster : les verbes à la mode seraient-ils le symptômes d'un appauvrissement de la relation ? Éliette Abécassis s'interroge sur le renouveau des expressions du sentiment amoureux et livre une analyse du mythe de l'amour au XXI° siècle. Pour elle, tout n'est pourtant pas à rejeter des formes nouvelles de l'amour : ainsi elle définit le texto comme le descendant du billet amoureux, de la correspondance galante : "Je crois que le texto c'est une manière de retrouver le romantisme de s'écrire." Olivia Gesbert invite à sa table l'écrivaine Éliette Abécassis pour parler d'amour. #RéseauxSociaux #Amour _____________ Prenez place à La Grande Table pour rencontrer d'autres personnalités qui font l'actualité des idées https://www.youtube.com/watch?v=5mhkxIUzX-o&list=PLKpTasoeXDrpsBVAaqJ_sANguhpPukaiT&index=5&t=617s&ab_channel=FranceCulture ou sur le site https://www.franceculture.fr/emissions/la-grande-table-2eme-partie Suivez France Culture sur : Facebook : https://fr-fr.facebook.com/franceculture Twitter : https://twitter.com/franceculture Instagram : https://www.instagram.com/franceculture

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Citations et extraits (395) Voir plus Ajouter une citation
C'est toujours le même scénario : on se rencontre, on se plaît, on se découvre, on se cherche, on se désire, on s'aime, on se chope, on s'habitue, on s'agace, on s'insupporte, on se sépare. Non, allez, je suis trop fatiguée pour refaire un tour de ce manège-là.
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C'est toujours le même scénario : on se rencontre, on se plaît, on se découvre, on se cherche, on se désire, on s'aime, on se chope, on s'habitue, on s'agace, on s'insupporte, on se sépare. Non, allez, je suis trop fatiguée pour refaire un tour de ce manège-là.
A moi la retraite (des sentiments) anticipée !
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Il y a des hommes attirants physiquement, qui deviennent tellement moins ensorcelants dès qu'ils ouvrent la bouche, qu'on n'a plus du tout envie d'y faire adhérer la nôtre.
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Un jour, dans une prochaine vie, j'aurrai moi aussi un de ces petits engins si pratiques pour tout gérer dans une maison. Comment ça s'appelle déja? Ah oui
: une femme.
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- Excuse-moi d'avoir un mari cloué au lit par une gastro ! Je t'assure que j'aurais préféré venir parader avec toi ce soir dans ma petite robe noire, plutôt que de le regarder vomir !
- Mais tu ne le regardes pas vomir, puisque tu es là.
- Ouais, ben il a une mère, qu'il s'en serve. Il n'a pas voulu assister à l'accouchement du petit pour préserver notre vie sexuelle, je refuse d'assister à la délivrance de ses tripes pour les mêmes raisons.
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Car mon grand-père était de ces amoureux du livre qui veulent partager leur passion. Il en offrait à tout le monde, tout le temps ; c'était un vieux monsieur pensif, que d'aucuns qualifiaient même d'«éteint», mais lorsqu'il vous parlait d'un roman, ce n'était pas une lumière qui s'allumait brusquement dans son regard mais tout un lustre, et il soliloquait jusqu'à ce qu'il n'y ait plus personne dans la pièce pour l'écouter, alors il retournait à ses précieuses pages.

La dernière heure - Maxime Chattam - pages 48-49
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L'âge véritable, c'est celui qu'on a dans sa tête.
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Ce jour-là,
je ressentis ce qu'«être» signifiait.
Je n'avais sûrement pas les mots
mais le cœur, lui, vibrait comme jamais.
Si aujourd'hui je mettrais des mots
sur ce sentiment profond,
je parlerais de «l'âme hors»,
la mort des apparences.

Ce jour-là,
j'ai compris que nous n'étions
rien sans nos racines,
même si, pour rester en vie,
elles doivent être cachées,
dissimulées, reliées à la terre.
Là sûrement est le problème !
Comment se rappeler ses racines si on ne les voit pas ?
Dans ce monde d'apparences, «hors sol»,
y-a-t-il une place pour l'invisible ?
Avons-nous tendance à oublier ce qui n'est pas sous
nos yeux ?

Ce jour-là,
j'ai compris que paraître n'est rien,
que nous sommes sur cette terre pour «être»,
qu'il n'y aurait pas d'arbres sans racines,
pas de fruits sans branches,
rien sans la transmission ...

Les racines de l'Hêtre - Matthieu Chedid - page 61
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Comme le dit merveilleusement Vaclav Havel : «Sauver l'humanité ne dépend de rien d'autre que des actes des hommes et de la bonté de leurs cœurs.»

La Paisible - Hélène Grémillon - page 107
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Mais pourquoi j'en voudrais ? C'est vrai, quoi. J'adore ne pas avoir à servir de femme de ménage permanente et gratuite à un rustre qui me confond avec sa mère. Ni à planquer mes paquets de serviettes hygiéniques au fin fond de l'armoire de la salle de bains pour maintenir le glamour de ma relation. Ou à hurler "vas-y, t'es le meilleur !" un dimanche matin au lieu de faire la grasse mat, en suivant une équipe d'amateurs dégarnis sur un terrain de foot pour prouver mon amour au plus lent d'entre eux.
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