J'ai honte que personne, le soir, ne me prenne entre ses bras, ne me serre fort pour imprimer son coeur sur ma peau, ne me dise ma chérie, mon ange, ma douce, des mots noisettes pour mon coeur écureuil. (p.123)
Oleg m'embrouille avec sa colère.Avant lui, avant sa folie, je n'avais pas encore touché de la main la noirceur[...]La violence d'Oleg, c'est un cauchemar.Je dois tendre les bras et repousser de mes mains la peur, la honte, toute cette masse invisible, aussi lourde qu'un container de plomb.
Les gens qui souffrent n'ont jamais l'avantage. Jamais. Priorité aux gens heureux. Toujours. (p.133)