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Citations de Garance Pommeroy (32)


Pourquoi tout le monde pensait il savoir mieux qu'elle ce que son utérus voulait ou non?!
Les enfants, ça n'était pas fait pour elle, jamais ça ne changerait !
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La nature n'a rien de juste ! Elle est féroce et impitoyable. Son seul but est de survivre !
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Quentin la regarda s’enfoncer dans la foule, un sourire aux lèvres. Cette femme avait un sacré caractère et cela lui plaisait beaucoup.
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Je sais, c’est la mode, c’est la recherche d’un ridicule nouveau.
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L’ampoule ne grésilla même pas. Elle brilla comme une jeune première dans un bal de village et inonda la pièce d’une lumière blanchâtre.
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Dinan, joyau médiéval de la vallée de la Rance, était un chef-d’œuvre et Noël la magnifiait.
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-Je ne crois pas pouvoir tenir cette promesse-là, tu sais. Philippe et moi c'est comme porter un Bibi avec un jogging, on ne va pas ensemble, un point c'est tout.
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Je n'arrivais pas à dormir à cause de tes ronflements, je suis parti courir, le petit-déjeuner est prêt.
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- Je t'ai sauvé la vie il y a quelques mois, morvé dessus il y a deux jours et c'est la troisieme enquete sur laquelle nous travaillons ensemble, je pense qu'on peut passer au tutoiement. À moins que cela ne dépasse les limites de ton arrogance glaciale ?
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Nous ne sommes pas nos propres ennemis, nous avons assez des humains pour nous décimer.
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Linn lui avait toujours dit de faire confiance à la nature, mais que faire quand la nature elle-même vous attaque?
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Quand tout votre monde disparaît, alors que reste-t-il hormis le chagrin et la douleur?
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Moi, ce sont les humains qui me dégoûtent. Tellement égoïstes et imbus d'eux-mêmes. Ils massacreraient leur propre mère pour leurs intérêts personnels.
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C’était un sentiment extrêmement grisant que de travailler à résoudre un crime. Démêler un à un les nœuds bien serrés d’une énigme, jusqu’à mettre en lumière le coupable. À cet instant, elle oubliait les dangers. N
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Les gens dans la rue leur avaient lancé des regards amusés, même si Camille savait pertinemment que personne ne les jugeait. Les Suédois étaient extrêmement tolérants quant à l’apparence extérieure et rien ne les choquait vraiment.
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C’était grâce à lui qu’elle n’avait pas plongé dans le désespoir et encore aujourd’hui, elle le considérait comme la chose la plus importante de sa vie. Son entreprise passerait toujours avant tout et Camille le savait.
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Alors que Camille regardait dehors, son petit nez couvert de taches de rousseur se retroussa, et un sourire illumina son visage. De gros flocons lourds descendaient joyeusement du ciel, formant une couche de neige de plus en plus épaisse sur le muret devant le salon du thé. Cette fois-ci, c'était sûr, l'hiver était bien là. [...]
La jeune femme était revenue en Laponie suédoise depuis à peine trois semaines, mais elle s'y sentait déjà comme à la maison, malgré la dispute qu'avait provoquée son départ.
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- Pouvons-nous rentrer, maintenant ? demanda d’un ton irrité Eva.
La peur de se faire prendre, puis de tomber sur le fuyard et de devoir intervenir l’avait mise sur les nerfs. Elle n’avait qu’une envie : rentrer chez elle et s’effondrer dans son lit moelleux.
- Allez-y si vous voulez, mais moi je reste là ! annonça Camille en croisant les bras et en s’adossant d’un air boudeur sur le siège arrière. On ne sait jamais.
- Bon, très bien, dit Ingrid en soupirant. Je suis désolée, Camille, mais je vais rentrer aussi. Je n’ai plus l’âge de passer la nuit dans une voiture. Mais je viens demain matin à la première heure avec le petit déjeuner. Je te dépose chez toi pour que tu prennes ta voiture ?
Camille acquiesça en haussant les épaules. Même si elle aurait préféré que les filles restent, elle comprenait que l’idée de passer la nuit sur un siège inconfortable, dans un froid de canard, n’avait rien de motivant. D’autant qu’il n’allait probablement plus rien se passer. Cependant, après les événements de la soirée, il lui semblait impossible de simplement rentrer chez elle et de s’endormir comme si de rien n’était.
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" Il restait une seule porte à ouvrir […] Il tourna la poignée et resta quelques instants sur le pas de la porte, le visage grave.
- Non de Dieu, chuchota la voisine. Les copines ne vont pas en revenir!"
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Cela faisait un peu moins de 6 mois qu’il avait rejoint le groupe des collectionneurs anonymes, dans l’espoir de sortir de son célibat et de se défaire un peu de sa passion des coffres-forts, pourtant, malgré les réunions hebdomadaires, il n’arrivait toujours pas à se séparer de son kit de serrurier.
Les autres membres du groupe ne furent aucunement surpris. Chacun d’eux était là pour une collection obsédante et tous savaient que la passion ne vous quitte jamais vraiment. Gautier Pointcarré, par exemple, était en ce moment même en train de tripoter sa petite pièce de lego bleu fétiche qu’il avait fourrée dans sa poche avant de partir, tandis que Margaux Lavigne respirait avec ferveur un bouchon de liège qu’elle avait toujours dans son sac. L’odeur l’aidait à se détendre dans les moments de stress.
En quelques secondes, la porte d’entrée fut déverrouillée et Samuel pénétra le premier à l’intérieur de la maison, en allumant les lumières.
Tout semblait à sa place dans cette maisonnette de célibataire ordonné, mais pas trop. Le coin cuisine, sur la gauche, était propre, sans être nickel et la table à manger, en face, accueillait quelques objets, mais n’était pas totalement encombrée. Le seul élément insolite était cette chaise renversée qui gisait non loin d’Alain, du côté salon.
Samuel traversa la pièce et poussa la table basse avant de s’agenouiller près d’Alain, dont la tête était auréolée de sang. Il posa ses doigts sur la peau froide du jeune homme au niveau de sa carotide. Tous retenaient leurs respirations, les yeux rivés sur leur camarade livide.
Samuel Brazier soupira en baissant la tête.
― Il est mort.
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