Pour qu'un plaisir soit vraiment un plaisir, pensait-il et disait-il parfois, faut que j'en jouisse seul. Faut, du moins, que le nombre de gens qui en jouissent avec moi soit aussi réduit que possible. Ils me font rire tous ces gaillards qui parlent des besoins de la multitude et de la démocratisation des inventions utiles !