Nationalité : France
Né(e) à : Paris , le 24/10/1946
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Né(e) à : Paris , le 24/10/1946
Biographie :
Gérard Unger est un chef d'entreprise et un publicitaire français.
Ancien directeur général de RMC (Radio Monte-Carlo) (1984-1985), puis de la Sofirad (Société financière de radiodiffusion), il est Président-directeur général de Metrobus, régie publicitaire de la RATP, depuis 1997.
Il est également conseiller du président de Publicis, Maurice Lévy et président-directeur général de Médiavision (Jean Mineur, régie publicitaire de cinéma), toutes deux filiales du groupe Publicis.
En 2003, il est nommé vice-président du directoire de Médias Régies Europe, une autre filiale de Publicis.
Depuis 1989, il est administrateur de l'INA (Institut national de l'audiovisuel).
Militant au Parti socialiste, il fait partie du Bureau exécutif du Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF) jusqu'en 2010, de l'Union de la publicité extérieure (UPE) et il est vice-président de la Ligue chargée de la communication de la LICRA.
Il a écrit plusieurs biographies dont l'une sur Lamartine en 1999 ("Lamartine : Poète et homme d'État") aux éditions Flammarion et l'autre sur Aristide Briand ("Aristide Briand le ferme conciliateur") chez Fayard en 2005 (ouvrage couronné du prix Jean Zay).
En 2018, il a publié "Histoire du Second Empire", aux Éditions Perrin.
+ Voir plusGérard Unger est un chef d'entreprise et un publicitaire français.
Ancien directeur général de RMC (Radio Monte-Carlo) (1984-1985), puis de la Sofirad (Société financière de radiodiffusion), il est Président-directeur général de Metrobus, régie publicitaire de la RATP, depuis 1997.
Il est également conseiller du président de Publicis, Maurice Lévy et président-directeur général de Médiavision (Jean Mineur, régie publicitaire de cinéma), toutes deux filiales du groupe Publicis.
En 2003, il est nommé vice-président du directoire de Médias Régies Europe, une autre filiale de Publicis.
Depuis 1989, il est administrateur de l'INA (Institut national de l'audiovisuel).
Militant au Parti socialiste, il fait partie du Bureau exécutif du Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF) jusqu'en 2010, de l'Union de la publicité extérieure (UPE) et il est vice-président de la Ligue chargée de la communication de la LICRA.
Il a écrit plusieurs biographies dont l'une sur Lamartine en 1999 ("Lamartine : Poète et homme d'État") aux éditions Flammarion et l'autre sur Aristide Briand ("Aristide Briand le ferme conciliateur") chez Fayard en 2005 (ouvrage couronné du prix Jean Zay).
En 2018, il a publié "Histoire du Second Empire", aux Éditions Perrin.
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Citations et extraits (7)
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LE LAC
Ainsi, toujours poussé vers de nouveaux rivages ,
Dans la nuit éternelle emportés sans retour,
Ne pourrons-nous jamais sur l'océan des âges
Jeter l'ancre un jour ?
Ainsi, toujours poussé vers de nouveaux rivages ,
Dans la nuit éternelle emportés sans retour,
Ne pourrons-nous jamais sur l'océan des âges
Jeter l'ancre un jour ?
Pour lui la Commune n'a été qu'une sorte de convulsion de la famine, de la misère et du désespoir, et non pas la manifestation d'une école ou d'une secte politique.p196
Gambetta, en bon communicant, se place sur le terrain de l'adversaire et se déclare conservateur. Pour lui, le conservateur est celui qui veut "une société sans privilèges, telle que l'a organisée le Code civil", et non pas celui qui désire "ramener une religion dominante, une religion d'Etat" préparant le retour des biens de mainmorte" p 184
GEO Histoire : Pourquoi avoir consacré un ouvrage au Second Empire ?
Gérard Unger : L’idée m’est venue il y a cinq ou six ans, à un moment où la France versait dans le pessimisme et la morosité. À travers ce livre, j’ai voulu prendre le contre-pied et évoquer une époque dynamique, positive, où les changements étaient porteurs d’avenir et où la France croyait au progrès. Par ailleurs, le Second Empire souffre injustement d’une image dégradée, associée à des stéréotypes de corruption ou de légèreté (la perpétuelle "fête impériale"), alors que ces deux décennies ont été remarquables dans presque tous les domaines.
Gérard Unger : L’idée m’est venue il y a cinq ou six ans, à un moment où la France versait dans le pessimisme et la morosité. À travers ce livre, j’ai voulu prendre le contre-pied et évoquer une époque dynamique, positive, où les changements étaient porteurs d’avenir et où la France croyait au progrès. Par ailleurs, le Second Empire souffre injustement d’une image dégradée, associée à des stéréotypes de corruption ou de légèreté (la perpétuelle "fête impériale"), alors que ces deux décennies ont été remarquables dans presque tous les domaines.
Gambetta, en bon communicant, se place sur le terrain de l'adversaire et se déclare conservateur. Pour lui le conservateur est celui qui veut une société sans privilèges telle que l'a organisée le code civil. p184
"Napoléon III vaut mieux que sa réputation"
Par Frédéric Granier - Publié le 19/06/2018 à 16h30 - Mis à jour le 19/06/2018
https://www.geo.fr/voyage/napoleon-iii-vaut-mieux-que-sa-reputation-189686.html
Par Frédéric Granier - Publié le 19/06/2018 à 16h30 - Mis à jour le 19/06/2018
https://www.geo.fr/voyage/napoleon-iii-vaut-mieux-que-sa-reputation-189686.html
Pour lui, la vraie démocratie ce n'est pas de reconnaître des égaux, c'est d'en faire. p185
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